Demon Slayer – The Hinokami Chronicles, le test sur Switch
Au milieu de l’océan manga-esque actuel, peu de titres parviennent à vraiment tirer leur épingle du jeu. C’est pourtant le cas de Kimetsu no Yaiba, plus connu chez nous sous le nom de Demon Slayer. Cette série provoque un engouement important depuis plusieurs années, amplement mérité. Quelques mois après sa sortie sur console de salon, le titre développé par le studio Cyberconnect 2 et édité par Sega débarque sur Nintendo Switch. Prêt à décapiter du démon dans les transports ? Beau comme un démon Dès le lancement, Demon Slayer rappelle immédiatement une autre série d’adaptation vidéoludique depuis un anime : Naruto Ultimate Ninja Storm. Et pour cause, c’est la même équipe, utilisant le même moteur de jeu basé sur Unreal Engine. La conséquence directe de ce point est une réalisation ultra-maîtrisée, soutenue par un portage réussi en tous points. Les musiques sont celles de l’anime, et les voix de doublage originelles sont inclues (en Anglais ou en Japonais, avec sous-titres). Mais c’est surtout sur le plan visuel que le jeu impressionne, tant on a régulièrement l’impression de visualiser un anime interactif. Le seul petit bémol vient peut-être du framerate, bloqué en permanence à 30 FPS – mais rien de bien