Dordogne, le test sur Switch
Le monde du jeu vidéo sait appâter le chaland. En effet, grand fan de l’artiste Juan Romano Chucalescu, Dordogne pointa son nez avec un trailer faisant place à des graphismes éblouissants. Il n’en fallait pas moins pour que je saute le pas le jour J. Comme à notre habitude, nous allons vérifier si un beau jeu fait un bon jeu. Un scénario riche mais plat Dordogne est une « expérience narrative » qui se focalise principalement de par le point de son héroïne Mimi. L’histoire de celle ci oscille entre son passé d’enfant et sa réalité d’adulte. Ainsi, notre jeune demoiselle se replongera dans ses souvenirs d’enfance. Lors d’un été, son père l’a confia à sa grand mère en Dordogne en garde. Cela sera l’occasion de découvrir les affres de cette famille dont nous ignorons tout. En effet, le père de Mimi est en froid avec sa mère pour une raison indéterminée, le mari de cette dernière est décédé depuis peu sans informations complementaires et un troisième personnage viendra se gréfer à tout ceci. Toutefois, aucune réponse n’est apportée dans Dordogne dont la fin tombera à plat. Ainsi, même si le jeu touchera les plus anciens en évoquant le souvenirs de leurs