Blasphemous, le test sur Switch.
Il en faut peu pour appâter le chaland que je suis. Du pixel art, un univers obscur et mystérieux auront suffi à me faire acheter Blasphemous sur console Nintendo Switch. C’est un peu comme si l’on achetait un jeu à la jaquette. Dans ce cadre, c’est souvent pile ou face et c’est ce que nous allons découvrir. Une peinture religieuse Tout d’abord, le premier point marquant de ce soft est son pixel art d’une qualité stratosphérique. Cela est d’autant plus remarquable en mode nomade ou les traits sont fins, précis et aux textures variées. Par exemple, vous serez estomaqué par des arrière-plans d’une maitrise graphique biblique. Dans Blasphemous, les graphistes ont clairement mis en scène différents personnages et objets liés à la mort. Les références à la religion pervertie font totalement échos à différentes représentations divines. Le personnage principal, que les protagonistes appellent « le Pénitent », dispose d’un style graphique propre et atypique. Parfaitement animé, il saura au travers d’exécutions brutales, parfaitement animées, abattre des ennemis ou monstres dessinés avec brio. Néanmoins, cette explosion graphique reste toutefois à tempérer en mode « dock » ou l’ensemble paraîtra plus pixelisé. Luc 6:21 Le pénitent que vous incarnerez devra libérer le monde d’un terrible destin.