6Souls, le test sur Nintendo Switch
Je ne m’attendais pas à ce que 6Souls soit bon, soyons honnête, j’ai fait du délit de jaquette. Il faut dire que la patte graphique fait enfantine, un peu brouillonne et trop charger pour comprendre ce que va vous apporter le titre. Alors qu’en faites, il n’est qu’un jeu de plate-forme. Enfin, quel jeu, le titre de Ratalaika s’inspire d’un grand nom du jeu de plate-forme indé. Rien de moins que Celeste. Alors forcément, on s’y attarde plus que prévu, on se demande jusqu’où le jeu va emprunter les bonnes idées de Celeste, et puis par mégarde il nous dissémine son philtre d’amour par petite touche. Récit d’une idylle… Celeste revient… Tout commence par notre rencontre avec Jack et Butch, son chien qui parle. Les deux protagonistes vont nous raconter leur histoire en yaourt. Doublage indé oblige, il n’y avait pas de budget. Ils partent à l’aventure pour trouver un château abandonné. C’est après quelques recherches, le château en vue, que nos compères tombent du pont reliant la vallée au château et ils vont devoir gambader dans les sous-sols de la demeure Clifford. Pendant les premiers niveaux, on découvre la maniabilité de Jack, saut, wall-jump, escalade, coup d’épée. OK, on