Old Man’s Journey, le test sur Switch
Dès 2017 j’avais pu profiter lors de l’IndieCade d’une présentation de Old Man’s Journey. Pour le moi de l’époque, le titre quasi similaire à aujourd’hui souffrait de son absence d’explication textuelle. Un parti pris pour laissez place à l’imagination et parcourir avec notre « petit vieux » son monde remplit de solitude. C’est d’ailleurs Angi qui a très bien résumé cela dans son test sur iOS, mais surtout l’importance de la narration. Comme un What remains About Edith Finch, Old Man’s Journey propose une aventure riche en sentiment, malêtre, regret qui au travers du média va se faire ressentir. Tout comme Edith Finch il est impossible de le faire ressentir autrement que par le jeu vidéo. Aujourd’hui je m’intéresse à ce portage Switch débarqué de nulle part. Un portage similaire en tout point à sa version iOS, la maniabilité à la manette en plus. C’est aussi un portage sensiblement plus cher que la version iOS (quasi le double en faites). Et donc vu l’absence de nouveauté : totalement incompréhensible. Cela ne retire en rien à la qualité du titre, mais à minima un petit bonus (artworks, document de conception) pour aider à justifier le portage. D’autant plus que Old Man’s Journey est