Sly Spy, le test sur Switch d’un jeu d’avant-guerre
Vous me connaissez depuis le temps, j’ai un amour inconsidéré pour les vieux jeux. Sly Spy fait totalement partie des titres que je n’ai pas connus jeunes. La raison : une salle d’arcade d’un vieux bar, d’une vieille ville de 1000 habitants composés de 5 bornes et un babyfoot. Autant vous dire que les jeux ne changeaient pas souvent… J’ai quand même pu profiter de Super Side Kick, 64th Street : A Detective Story et d’autres crèmes, mais Sly Spy malheureusement non. Pourtant je suis sûr que je l’aurais apprécié à sa juste valeur. Après tout un titre qui ose COPIER James Bond sans en porter le nom, c’est déjà un titre qui « ose ». Et à défaut d’être génial ou original, c’est un bel hommage. Avec Sly Spy vous êtes donc dans un équivalent de Rolling Thunder, votre espion 00… pardon Sly, un agent américain devra afin de sauver le monde se rendre à la fin de chaque niveau affronter un boss. C’est aussi simple de ça. Sauf que bon, vous avez certes un pistolet, mais la visée est très limitée et tout comme les balles. Vous avez à défaut quelques coups disponibles, mais il vaudrait mieux éviter d’en arriver