Milanoir, le test sur Switch
Boudin noir Je m’excuse par avance pour ce raccourci extrêmement raccourci. Mais c’est la seule image qui m’est venue à l’esprit. En effet, j’ai été dans ma jeunesse traumatisé par le Boudin noir, ce truc ressemblant à une saucisse, ayant une odeur assez attrayante, mais qui à la dégustation me procure un certain dégout. Une fois que l’on connait la constitution du « truc », c’est pire encore. Et bien pour Milanoir de Italo Games, c’est un peu pareil. À la Gamescom il y a deux ou trois ans ça sentait bon, une maniabilité bizarre, mais ça ressemblait à une saucisse. À deux avec Kuk, c’était même l’orgie de cadavres et de sang. Alors après 2 ans de mijotage on se demandait bien ce qu’il en était… Et ça n’a pas loupé, Milanoir m’a ennuyé, presque forcé à la finir comme j’aurai pu le faire devant mon boudin noir. Heureusement le jeu est court (quatre heures tout au plus si je n’ai pas fait d’erreur). Ce qui m’a permis de survivre à mon périple. Car comme il y a deux ans, la maniabilité est toujours aussi particulière, un twin-stick shooter mais qui vous demande de bien viser avec le deuxième stick. Fort