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Olivier B.

Call of Duty, le test sur N-Gage

Lamentable. Honteux. Désolant. Les qualificatifs nous manquent pour décrire l’adaptation du méga-hit Call of Duty sur N-Gage. Pour ceux qui ne le connaissent pas, rappelons ce qu’est Call of Duty : un FPS qui prend place tout au long de la Seconde Guerre Mondiale. Largement plébiscité par les joueurs sur PC, du fait de sa réalisation de haut niveau et de sa mise en scène impeccable, il perd toute sa splendeur sur N-Gage. Tout d’abord, c’est moche, voire très moche. Les décors en 3D et les personnages font souvent place à une bouillie de textures indigeste. Pis, l’animation : tout simplement au raz des pâquerettes. Sans doute aux alentours de dix images par seconde. Ajoutez à cela aussi un clipping très prononcé : on ne voit apparaître les ennemis qu’au dernier moment. Les ennemis, parlons en justement : ils ont l’intelligence d’une moule accroché à son rocher. Ils ne vous détectent que difficilement (un soldat peut voir par exemple son compagnon d’infortune se faire plomber, sans réagir), tandis que s’ils vous voient, vous avez alors très peu de chance de vous en sortir. Call of Duty sur N-Gage est très dur et, si vous avez le courage de jouer plus

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Olivier B.

Ghost Rider, le test sur GBA

Ghost Rider sur GBA suit en partie seulement la trame du « célèbre » film avec Nicolas Cage. Dans cet opus portable, Johnny Blaze, alias Ghost Rider, doit défaire des hordes de démons, aussi bien dans les enfers que sur terre, afin d’empêcher l’apocalypse et accessoirement défaire Méphisto, le maître du mal. Pour ce faire, notre guerrier au squelette enflammé dispose de ses poids et d’une lourde chaine qu’il est possible de propulser dans plusieurs directions. Voilà qui ne manquera pas de faire penser à un certain Castlevania, la référence des jeux d’action et de plates-formes mâtinés de RPG. Dans Ghost Rider, les possibilités d’évolution sont plutôt limitées. Chaque adversaire tué lâchera des orbes, l’équivalent de points d’expérience, qui permettront d’« upgrader » vos quatre caractéristiques principales (puissance poings/chaine, vie, magie) . Vous apprendrez également au fil de l’aventure de nouveaux coups (par exemple, attraper un ennemi avec la chaine et l’amener à vous), bien utiles pour défaire les énormes boss. Les séquences de plates-formes sont régulièrement entrecoupées de scènes à moto, à la Road Rash. Ici, pas de chronomètre, mais simplement un parcours à effectuer en éliminant ses ennemis et en évitant les nombreux obstacles qui jonchent la route.

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Olivier B.

Fortress, le test GBA

Fortress, ou l’histoire d’un concept de jeu sympa gâché par la confusion de sa mise en œuvre et par une réalisation indigeste. C’est sur GBA que cela se passe, et c’est Majesco qui est aux commandes du titre. Le principe de Fortress ? Un dérivé de Tetris, mixé à la sauce châteaux. En empilant les formes qui tombent à l’écran, vous construisez votre muraille, vos tours… Accessoirement, vous aurez aussi quelques canons et catapultes pour faire bonne mesure. En face, le château adverse. Vous l’aurez compris, il faut maintenant debout sa construction et annihiler celle de l’autre. Une fois n’est pas coutume, le principe de jeu est simple à comprendre, mais compliqué à mettre à œuvre tant c’est confus à l’écran. C’est plutôt moche et, lorsque les boulets percent les murs de l’enceinte, on ne sait plus trop où placer ses pièces suivantes. A noter que les tirs sont gérés de manière automatique. Quatre mondes sont accessibles d’entrée de jeu (préhistoire, médiéval, pirates et espace), ce qui n’est que prétexte à changer l’apparence graphique des niveaux et à modifier les armes. Trois modes de jeu sont accessibles : Battle (30 secondes pour construire son château, avant le début des hostilités),

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Olivier B.

The King of Fighters Extreme, le test sur N-Gage

Nokia s’est payée le luxe d’une version exclusive N-Gage de The King of Fighters, sobrement intitulée Extreme. Ce jeu de combat 2D, qui a fait les beaux jours de SNK (et aujourd’hui, de SNK Playmore), s’adresse invariablement à une frange de joueurs passionnés, limite hardcore gamers. Des joueurs exigeants donc, qui seront – disons le tout de suite – forcément un peu déçus par la bancalité de l’adaptation en question. Nous avons là donc un portage de The King of Fighters EX2 : Howling Blood, en provenance de la GBA. Un jeu de combat 2D pointu sur téléphone ? On pouvait avoir quelques craintes coté maniabilité. Et pourtant, c’est une bonne surprise : les commandes répondent bien, le pavé numérique de la N-Gage est utilisé en entier, ce qui permet de conserver la richesse de jeu. Certains coups sont même simplifiés (la touche 2 par exemple pour effectuer un Striker Attack : l’un de vos coéquipiers vous vient en aide). Un tableau positif gâché, malheureusement, par une animation quelque peu asmathique. On dirait que la N-Gage souffre à animer les combats. Si c’est plutôt joli et coloré, il faut se rendre à l’évidence : il n’y a pas grand-chose à

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Olivier B.

Infected, le test sur PSP

Lorsque l’équipe de Planet Moon Studios est aux commandes d’un projet PSP, on ne peut en attendre que du bien. Pensez donc : ses développeurs sont à l’origine de titres tels que MDK, Giants Citizen Kabuto, Armed and Dangerous… Tous ces titres ont un point en commun : de l’action, de la folie furieuse déjantée. Chacun de ces titres avait un petit coté décalé et, sur PSP (exclusivement), Infected, ne déroge pas à la règle. L’histoire ne casse pas trois pattes à un canard : un méchant virus se répand à travers New York, transformant la population en de violents et rapides zombies. Dans la peau de l’agent Stevens, un flic débutant, vous allez devoir éradiquer tous les foyers d’infection et, surtout, survivre ! Vous êtes naturellement immunisé contre cette cochonnerie, mais pas immortel. Et les zombies, eux, sont des durs à cuire : les armes conventionnelles ne pourront que les affaiblir, il vous faudra employer une arme virale spéciale pour les achever. Le scénario est mis en scène par quelques dialogues audio intermédiaires, mais aussi des cinématiques de bonne qualité. Avec un humour noir tout particulier, notamment en ce qui concerne les « dommages collatéraux » ! Infected est

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Olivier B.

Mortal Kombat Advance, le test sur GBA

Mortal Kombat Advance n’a d’« Advance » que le nom. Ce n’est pas encore aujourd’hui que nous aurons le droit à un bon jeu de combat jouable sur GBA ! Nous n’allons pas vous faire l’affront de vous présenter ce jeu de combat sanguinolent qui a fait un carton dans les salles d’arcade américaines au début des années 1990, avant de passer sur les consoles 16 bits de l’époque. Sur GBA, la conversion ne se fait pas sans mal. Déjà en ce qui concerne les graphismes : c’est vieux, c’est moche et c’est pixélisé. Voilà un titre qui aurait grandement gagné en lisibilité avec bon lifting. Oui mais voilà : Midway semble avoir opté pour la conversion directe et rapide. Graphismes ternes et voix digilitalisées d’époque inclus. C’est Mortal Kombat 3 qui a été pris comme référence. Un choix pas trop mauvais, avec ses 23 combattants disposants chacun de leur lot de mouvements, fatalités, etc. Mais on déchante rapidement dès la première partie : l’adversaire enchaîne des combos dévastateurs sans que l’on ne puisse rien faire. On baisse alors le niveau de difficulté et, cette fois, on se rend compte que les contrôles posent un sérieux problème. Certaines combinaisons sont

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Olivier B.

Atari Masterpieces Vol. 2, le test sur N-Gage

Après un premier Atari Masterpieces Vol. 1 franchement catastrophique, Atari et Nokia remettent le couvert. Pas une très bonne idée si vous voulez notre avis mais, en suivant une logique purement économique, on les comprend : on reprend le volume 1, on garde l’habillage, on change le contenu. Ca ne coûte presque rien à produire, c’est fait en un temps record et cela vient grossir le catalogue N-Gage en pleine période de disette. Atari Masterpieces Vol. 2 présente les mêmes défauts que son grand frère : un écran pas adapté aux vieux titres d’arcade proposés, un gameplay peu précis et une absence totale de nouveautés. Une fois encore, ce sont huit (supposés) hits antiques qui nous sont proposés : Asteroids Deluxe, Centipede, Crystal Castles, Liberator, Pong, Space Duel, Tempest et Warlords. Sans doute consciente de la nullité de l’offre, Atari a rajouté quatre jeux 2600 à débloquer : 2600 Air-Sea Battle, 2600 Canyon Bomber, 2600 Mini Golf et 2600 Video Checkers. Autre bonus, quelques vidéos de Nolan Bushnell, en anglais non sous titrées (n’en demandez pas trop !).  

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Olivier B.

Red Faction, le test sur N-Gage

Red Faction est le premier FPS à nous arriver sur N-Gage. Licence bien connue des joueurs PC et consoles, nous étions curieux de voir ce que pourrait donner une version portable. Le résultat est, disons le tout de suite, plutôt mitigé. Le scénario reprend la trame originale : mineur sur Mars, vous vous révoltez contre votre employeur, une méga-corporation, afin de mettre fin à des conditions de travail proches de l’esclavage. Et, comme si cette atmosphère oppressante ne suffisait pas, une mystérieuse peste se met à décimer vos compagnons d’infortune. Red Faction avait fait parler de lui lors de sa sortie en 2001 pour son moteur 3D, qui rendait possible la destruction de décors. Pas de liberté totale en la matière, mais des scènes bien scriptées qui permettaient, par exemple, de contourner une porte blindée désespérément fermée. Sur N-Gage, on retrouve cet aspect, à une échelle moindre bien évidement. Les décors tiennent globalement la route, même si l’on pourra regretter une pixellisation un peu trop présente et la monotonie, le terne des textures proposées… Mais c’est l’univers de Red Faction qui veut cela et bien des joueurs pourront s’en accommoder. Coté musiques et sons, c’est d’un niveau correct et vous

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Olivier B.

Metal Slug Advance, le test sur GBA

Chaque arrivée d’un nouvel épisode de Metal Slug est un petit événement en soit pour les amateurs de la série. Et ils sont nombreux, à adorer ce mix de jeu de tir et de plates-formes, complètement déjanté. Sur GBA, Metal Slug Advance fait honneur à la série, malgré une réalisation technique en deçà de la version originale. On pouvait s’y attendre : la petite console portable de Nintendo n’a pas une Neo Geo sous le capot. Qui dit nouvel épisode, dit nouveaux héros : Walter et Tyra vont devoir faire face à une armée de soldats suréquipés qui prennent d’assaut leur ile. Comme toujours dans ce shoot 2D à la progression horizontale (avec un peu de verticalité aussi, histoire de varier les plaisirs), cela pète dans tous les sens. Pour ne pas décourager les nouveaux joueurs, vos héros disposent désormais d’une barre de vie (auparavant, on mourrait au moindre impact). Différents checkpoints vous permettent de ne pas recommencer le niveau entier lorsque vous mordez la poussière. Dernier « cadeau » aux joueurs : des Continues infinies et, là, ce n’était peut-être pas une bonne idée, puisque le challenge de Metal Slug Advance s’en retrouve considérablement amoindri. Vous devriez finir l’aventure

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Air-Bot

Une brève histoire de la Game Boy et de l’impact qu’elle a eu sur les jeux vidéo

‍La Nintendo Game Boy est la console de jeu vidéo portable ayant la plus belle réussite de l’histoire. Elle a connu un succès massif, se vendant à quelque 118 millions d’unités en 2001. L’appareil est tellement emblématique que son nom est devenu synonyme de « console de jeu vidéo portable » pour bon nombre de familles, tout comme « Kleenex » est devenu synonyme

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La Team

Les 10 jeux les plus cher de la GameBoy (et non « le »)

La GameBoy est LA première console de jeux vidéo portable développée et fabriquée par Nintendo, a été lancée en 1989 (on ne compte pas les Game & Watch). Elle a connu un immense succès et a accueilli une grande variété de jeux. Et forcement aujourd’hui, elle fait des envieux, je vous comprends les jeunes, ça me foutrait la haine de

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¶Dossier
La Team

Les jeux cachés des consoles Blaze Evercade VS et EXP

L’Evercade VS est une console de jeu de salon développé par Blaze Entertainment, une société spécialisée dans les consoles rétro. Sortie après le succès de l’Evercade, sa version portable, l’Evercade VS propose une expérience de jeu plus traditionnelle pour les téléviseurs. Voici quelques points clés sur l’Evercade VS : 1. Conception et matériel : Contrairement à l’Evercade portable, l’Evercade VS

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