Quelques mois après le lancement du jeu de course Table Top Racing sur iPhone/iPad en free-to-play (lire notre test), le studio anglais Playrise Digital fait marche arrière et nous propose une version payante intitulée Table Top Racing Premium Edition. L’équilibre global du jeu n’a pas été chamboulé, mais on progresse désormais plus vite dans la compétition, avec un peu moins de frustration à la clé.   Rappelons que Table Top Racing est un jeu de course à la Mario Kart, avec de jolis environnements colorés, une animation rapide et des contrôles satisfaisants pour un titre tactile. Mais il se révèle aussi frustrant en raison de sa mécanique de jeu, imaginée en fonction du modèle économique du (pseudo) gratuit : on sent bien, après quelques dizaines de tours de piste, que la difficulté a été artificiellement augmentée pour nous inciter à dépenser des sous, pas seulement virtuels… Rendre accessible facilement l’intégralité des contenus de Table Top Racing dans l’édition Premium n’était visiblement pas envisageable pour les développeurs qui auraient dû revoir leur copie en profondeur. Du coup, ils ont opté pour une solution intermédiaire. Dans la version payante Table Top Racing Premium Edition, le coût des voitures, des améliorations (et elles

Lorsque des anciens développeurs du studio Psygnosis (WipEout) se lancent dans le jeu vidéo mobile, c’est pour nous proposer un nouveau jeu de course. Mais ici, il n’est pas question de bolides futuristes ou de Formule 1. Non, les développeurs anglais ont opté pour un genre un peu nouveau pour eux avec Table Top Racing : la course miniature, fun et familiale avant tout. Sur iPhone/iPad, cela ne leur réussi pas trop mal.   Table Top Racing se présente donc sous la forme d’un jeu de course à la Mario Kart, avec des graphismes hauts en couleurs, des pistes aux tracés sinueux et des armes en guise de bonus : missiles, bombes, turbo, impulsion électrique, etc. Sur ce point-là, Table Top Racing n’est pas original pour un sous. Mais on s’amuse tout de même à « dégommer » les adversaires, au pire moment pour eux si possible. Les contrôles de Table Top Racing ont été pensés pour les tablettes tactiles. Plusieurs configurations sont disponibles. On peut jouer en inclinant son appareil ou en tournant avec des boutons virtuels (l’accélération est automatique). Il reste encore l’armement à gérer par ailleurs, en sachant qu’on ne peut transporter qu’un bonus à la fois.

Le mythe de Cthulhu a déjà eu le droit à une adaptation sur iPhone/iPad avec Elder Sign: Omens HD (lire notre test). Cependant, celui-ci n’était pas le premier sur les plates-formes Apple et nous testons aujourd’hui pour vous son aîné, nommé Call of Cthulhu: The Wasted Land. On ne ressortira pas indemne de la rencontre car, tapi sous un jeu de stratégie tout à fait banal, se cache une véritable abomination.   Call of Cthulhu: The Wasted Land vous propose d’entrer dans la peau de soldats de l’Alliance durant la Seconde Guerre mondiale. Vous ferez face au département mystique de l’armée allemande, celui-ci souhaitant réveiller le Grand Ancien Tentaculaire pour les aider à gagner la guerre. Votre équipe, envoyée pour étudier ces agissements, comprendra très vite qu’elle sera la seule disponible pour contrer des plans machiavéliques. Dès les premières secondes, on sent le jeu à budget serré. Au menu : un moteur 3D vieillissant, des textures floues, un monde fermé et statique, des animations douteuses et une magnifique surcouche de traduction hasardeuse. C’est donc une vision cauchemardesque qui s’offre à vous. Mais une fois vos pupilles habituées, vous pourrez enfin découvrir un cœur fondant et ensanglanté. Car non contents de

Lorsque des anciens développeurs de Command and Conquer se lancent sur iPhone/iPad dans un jeu de stratégie, cela nous intéresse forcément. Et plus encore lorsque This Means WAR! nous est annoncé comme particulièrement innovant.   This Means WAR! est un jeu de guerre moderne. Il y a des soldats lourdement armés, des tanks, des hélicoptères… Tout est assez réaliste, si ce n’est que toute l’économie du jeu tourne autour d’une matière première fictive : le mercure rouge. Rapidement, on se rend compte que This Means WAR! reprend les bases d’un Clash of Clans. Une base à construire et à faire évoluer, des troupes à acheter régulièrement, des fortifications à dresser… Avec, comme le plus souvent, la possibilité de participer à des missions de campagne ou de jouer en ligne contre des bases tenues par d’autres joueurs. Mais il ne s’agit pas de véritable multi-joueurs, puisque lorsqu’on attaque, l’autre joueur n’est pas derrière son écran à défendre, la défense étant gérée automatiquement par l’intelligence artificielle du jeu. Clash of Clans fait comme cela, ainsi que la nuée de clones parus depuis. Ce n’est donc pas sur ce point que This Means WAR! fera entendre sa différence. C’est plutôt du côté de

Lorsque le studio RedLynx produit un nouveau jeu de l’excellente série Trials, sur plates-formes mobiles qui plus est, on s’y intéresse forcément. Les amateurs de motos, de cabrioles et de gestion de la physique totalement délirante y trouveront leur compte… A condition de ne pas être allergique aux jeux proposés en free-to-play !   Trials Frontier reprend le principe de tous les précédents opus : il s’agit de prendre le contrôle d’une moto et de traverser un niveau complet, le plus vite possible, mais aussi et surtout en essayant d’arriver en un seul morceau. Le level design est particulièrement retord, avec une nuée de pièges, de rampes, de loopings… Il faut littéralement s’accrocher au guidon de votre monture pour espérer franchir la ligne d’arrivée ! Voilà pour le concept général. A Trials Frontier, RedLynx a ajouté une dimension RPG. Il est question de rencontres avec des personnages hauts en couleurs (l’action prend place dans une sorte de Western), de dialogues, d’évolution de la moto (en remportant des courses on collecte de nouvelles pièces), etc. Il y a aussi toutes sortes de missions spéciales à remplir avec des objectifs variés (effectuer telle ou telle figure, battre un adversaire en duel, etc.).