A Juggler’s Tale, le test switch
Abby est une petite marionnette, faisant partie ou plutôt prisonnière de la troupe d’un cirque. Un jour, elle parvient à s’échapper, ce qui va lui permettre de retrouver sa liberté mais aussi l’obliger à faire face à la dureté du monde. Ainsi s’ouvre A Juggler’s Tale, le premier jeu du studio indépendant Kaléidoscube et édité par Mixtvision. Abby au pays de Guignol Ce qui surprend le plus à l’ouverture de A Juggler’s Tale, c’est avant tout sa direction artistique. Le jeu prend place dans un théâtre de marionnettes, et dans un univers largement inspiré des contes de Grimm. Chaque chapitre s’ouvre dans un décor en carton-pâte et se termine de la même manière, pour laisser place entre temps à des décors en 3D plus classique. Par contre, le titre se parcourt en défilement horizontal en 2D, comme un jeu de plateforme classique. Son originalité provient du fait que l’héroïne ainsi que les ennemis sont des marionnettes, et donc suspendues à des fils jusqu’en haut de l’écran. Ce dernier aspect est ainsi censé, en principe, ajouter des éléments de gameplay et de level design atypique. Les fils seront tantôt contraignants et bloquants, tantôt support pour débloquer un interrupteur situé en hauteur