Final Fantasy (JAP), le test sur Wonderswan
En 1987, Hironobu Sakaguchi de Squaresoft décida de lancer un projet risqué avec la sortie de Final Fantasy sur NES, sachant que si le jeu échouait, cela pourrait signifier la fin pour l’entreprise, d’où le choix du nom « Final Fantasy« . Contre toute attente, le jeu rencontra un grand succès, attirant de nombreux joueurs par son approche novatrice du RPG, avec un système de combat au tour par tour incluant une visualisation des personnages, ainsi qu’une histoire riche pour l’époque. Treize ans plus tard, Square choisit de remettre au goût du jour ce classique sur la console WonderSwan Color. Cette nouvelle édition, bien que potentiellement controversée, fut bien accueillie grâce à sa qualité de « remasterisation ». Le jeu invite les joueurs à choisir quatre personnages parmi différentes classes – combattant, voleur, mage noir (offensif), mage blanc (défensif), guerrier magicien, et mage rouge (équilibré) – pour naviguer dans un monde au bord du gouffre. Cependant une ancienne prophétie prédit la venue de quatre héros sauveurs, est-ce nous? Le début du jeu propose des quêtes initiales et simples. Elles ont pour but de vous faire découvrir le monde vaste et sans aucune indication. (oui on est sur un remake d’un jeu pionner du genre