Air-Gaming

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Labyrinth of Galleria : the Moon Society, le test

Labyrinth of Galleria : the Moon Society est un Donjon Crawler, de la société Nippon Ichi. Il s’inscrit comme une suite spirituelle d’un de leur précédents titres, Labyrinth of Refrain : Coven of Dusk (qu’on avait déja particulièrement apprécié comme on vous l’explique dans notre test). Tous les deux ont commencé leurs carrières sur PS Vita, mais qui n’ont jamais été localisés en occident. Heureusement une version Switch (et PS4/5) nous permet de nous y confronter. Labyrinth of Refrain 1.5 Le scénario des deux titres est distinct, mais utilise les mêmes ressorts. Ici, une jeune fille prend un poste de domestique auprès d’un noble qui tente d’explorer, avec l’aide d’une sorcière, les souterrains de son château. Le scénario deviendra de plus en plus sombre, car les protagonistes cachent souvent des intentions bien peu recommandables. Le fonctionnement du gameplay est similaire entre Labyrinth of Refrain et Labyrinth of Galleria. Vous dirigez une équipe de marionnettes à qui vous avez donné vie. Ces dernières peuvent bien sûr incarner des classes particulières, comme l’équivalent de mage, chevalier, archer, jongleur de lanterne (oui) ou encore chat (on sait tous que les chats sont des combattants sournois), Etc.. Vous dirigez ces marionnettes dans les dédales de labyrinthes

Kuk

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Magic The Gathering : Le guide visuel, l’avis

« Magic The Gathering : Le guide visuel » par Jay Annelli, un magnifique ouvrage pour nous fairedécouvrir la genèse de l’univers de Magic Chez air-gaming, nous sommes fans de jeux vidéo, ok, mais pas que. Certains d’entre nous ontégalement passé quelques longues soirées à jouer à Magic. Et au-delà du jeu et de ses règles quiévoluent au fur et à mesure des différentes éditions, Magic The Gathering c’est aussi un universfantastique rempli de créatures mythiques et de personnages récurrents : les planewalkers. Desmagiciens capables de traverser les plans de l’univers et d’invoquer des sorts. Vous n’étiez pasconscients de cet aspect du jeu ? « Magic The Gathering : Le guide visuel » est fait pour vous. Dans « Magic The Gathering : Le guide visuel », Jay Annelli sera votre hôte. Jay Annelli est consultantpour Wizards of the Coast, et il est avant tout un des gourous de l’univers Magic. Dans ce livre, Jaycommence par les bases en nous expliquant les principes de bases du multivers, l’origine des couleursde vos decks et une présentation globale avec une chronologie et les peuples principaux du multivers. Lasuite de l’ouvrage est consacrée à une description détaillée de tous les univers visités par Magic, avec lesplaneswalkers associés et leur fiche d’identité. Un guide parfait

Flo

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Massive Darkness 2 : Hellscape : Kit de Mise à Jour Massive Darkness 1

Retour sur le Kit d’upgrade Massive Darkness 1 vers Massive Darkness 2 Vous avez craqué, mais en vérité on ne craque jamais au bon moment : vous aviez pledgé Massive Darkness 1 ! le fait est que l’offre de Dungeon Crawler était alléchante. Mais il s’est avéré qu’après quelques parties vous avez senti qu’il manquait un « je ne sais quoi ». Ce « je ne sais quoi » a été corrigé dans Massive Darkness 2. Vous avez donc ré-investi (cette fois-ci en version retail, « parcequ’on ne me la fait pas deux fois »). Mais vous avez gardé la boite du 1 et ses figurines (que vous avez amoureusement peintes !). Pas question de les laisser prendre la poussière, mais pas question non plus de rejouer au 1. Voilà la solution : un kit complet de mise en compatibilité des personnages et monstres du 1 vers l’environnement du 2 ! nous parlons de 18 cartes héros, 72 cartes bandes, 30 cartes de campagne, 144 monstres errants, 3 plateaux de boss. Tout ce qu’il faut de mettre le vieux au niveau du neuf. CMON sort ici un kit très propre pour soigner sa base installée de fan de Massive Darkness. A l’époque, FFG avait effectué le même travail autour d’un kit

La Team

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Like a Dragon: Ishin! , le test sur PS4

Votre serviteur a découvert sur le tard la série des Yakuza à savoir l’année dernière. Véritable licence culte au Japon (NdC: A la rédaction aussi !) , cette dernière avait bénéficié d’un spin off sur Playstation 3 en 2014 relatant la vie du Japon à l’époque des samuraïs. Un trailer du remake plus tard, il me fallait le découvrir dans sa version de 2023. Une ode à Kurosawa L’histoire de Like a dragon : ishin! commence donc au Japon au dix neuvième siècle, période charnière de 1868 entre le passage de l’époque « Edo » et « Meiji ». Le studio Ryu ga Gotoku nous relate donc la fin de l’époque des samuraï et notamment les batailles intestines qui se déroule dans l’archipel. Ici, nous incarnerons Ryoma Sakamoto, qui partira à la recherche du meurtrier de son père adoptif. A travers son épopée, nous assisterons à la lutte des classes, aux batailles contre le pouvoir du Shogunat. Le scénario bien ficelé, on en apprend beaucoup sur la vie au Japon durant cette période notamment en terme social et ce, au travers des dialogues nombreux et des cinématiques digne des films de cinéma japonais. Si à la base ce Like a dragon : ishin! se

VTG

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Lecture: Les Vies de The Walking Dead. En quête d’humanité

Je dois vous l’avouer, dans notre famille, nous sommes biberonnés à la série The Walking Dead. Ma fille, mégafan de la série, est encore pire, en multipliant la lecture des comics, pratique des jeux vidéos et anecdotes liées à la série phénomène. Aussi, dès l’annonce chez Third Editions, il me fallait obligatoirement nous y plonger. Wikipedead L’auteur de ce livre, Maxence Degrendel, s’est lancé dans l’étude et l’analyse de ce phénomène de la pop culture qu’est la série The Walking Dead. Que ce soit à travers la vie de ses créateurs ou bien la naissance de l’oeuvre originelle, on découvre la difficulté et les embûches liées à un nouveau comic book. L’auteur revient également sur la genèse de la série du petit écran ainsi que sur le casting originel. Toutefois, il oublie complètement de parler de certains personnages majeurs que ce soit de la série TV ou du comics hormis les personnages principaux que sont Negan, Rick ou Michonne. Par exemple, on y aborde peu l’apport de Merle, le frère de Daryl Dixon, ou bien la présence importante de Gabriel le pasteur ou tout autre personnage pourtant majeur tant du comics que de la série. Un chapitre sur les jeux

VTG

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Wo Long: Fallen Dynasty, le test sur PS5

Depuis vingt ans, la Team Ninja s’est taillée une place de choix et surtout très marquée dans le paysage vidéoludique. Qualité et exigence constituent probablement les deux mots-clés qualifiant leurs productions de meilleure manière. Arrive aujourd’hui Wo Long: Fallen Dynasty, avec la même recette mais une autre ambiance. Les tribulations d’un Chinois en Team Ninja Wo Long: Fallen Dynasty s’ouvre sur une cinématique de toute beauté, et surtout sur le moteur de création de votre personnage. Ce dernier est très complet à tous points de vue, ce qui constitue toujours un plus bienvenu pour l’immersion. Dans le même registre, les textes sont tous doublés en Français. Les voix sont disponibles en Anglais, Chinois et Japonais. Le scénario nous plonge ensuite dans un royaume Chinois, en plein de contexte de guerres humaines mais aussi démoniaques. L’ambiance générale du titre se veut sombre, horrifique, sanglante et parfois oppressante. A nouveau, on reste dans la continuité des productions Team Ninja – Mais autant que vous soyez prévenus. Dans sa structure, Wo Long: Fallen Dynasty se veut toutefois assez classique. Sans être téléguidée, la progression est souvent moins ouverte qu’elle n’y parait. Même les quêtes annexes portent finalement mal leur nom, car elles s’avèrent

Angi

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Rhythm Sprout, le test sur Switch

Rhythm Sprout, au-delà d’avoir un nom propice aux mauvais jeux de mots franchouillards, est un jeu musical avec un héros prénommé Cibou et à tête d’oignon. Développé par le studio SURT, le titre vous confie la mission de défendre le royaume des légumes, menacé par l’empire du sucre. T’es mignon mais tu causes trop Alors oui, dit comme ça, l’histoire semble farfelue et assez basique. Une fois manette en main, on s’aperçoit vite que le jeu est assez verbeux. Tous les textes sont en Français. Les dialogues entre les niveaux sont très, très, trop nombreux. L’effort scénaristique est louable, mais assez inadapté à un jeu de rythme malgré les nombreux Easter Eggs ici présents. Fort heureusement, vous pouvez zapper toutes ces interludes si besoin. Du côté de la réalisation, Rhythm Sprout ne révolutionne rien mais s’avère agréable et coloré. La direction artistique, cartoon et mignonne, est plutôt sympa. Aucun problème d’animation, sans jamais mettre la Switch en surchauffe non plus. L’aspect sonore est ici bien entendu le plus important. Si aucune mélodie ne correspond à un titre officiel et connu, certaines en rappellent évidemment. Malgré l’orientation initiale assez électro, la variété et la qualité sont de mise. Il y en

Angi

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Wargroove, le test sur Switch

Wargroove sur Switch, un jeu de stratégie tour-par-tour mignon mais pas si facile que ça ! Dans Wargroove sur Switch, vous allez suivre le périple des forces du bien, qui vont traverser un continent pour éviter au monde de tomber sous la domination d’une folle qui cherche à s’emparer d’une arme destructrice. Au-delà de cette histoire gentillette qui va vous faire rencontrer plein de personnages qui ont souvent le sang chaud, Wargroove est avant tout une succession de batailles qui vous demandera un peu de réflexion si vous voulez finir le jeu avec trois étoiles partout. Quelques combats de tutoriel vont vous aider à appréhender les concepts de Wargroove. Rassurez-vous, il n’y en a pas dix mille. Et c’est là le génie des concepteurs de Wargroove, c’est d’arriver à rendre chaque bataille différente et de nous accrocher à partir de règles finalement très simple ! Au début de chaque bataille vous allez incarner une faction, avec son héros (vers la fin du jeu il y aura parfois plusieurs factions, mais passons). Chaque héros a accès à des unités qu’il peut recruter en fonction de sa richesse, qu’il obtient en conquérant des villages. Ces unités ont leurs points forts, leurs points faibles, leur

Flo

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Octopath Traveler II, le test sur Switch

Octopath Traveler II sur Switch, THE RPG de ce début d’année, dans la continuité du magnifique premier opus ! Cinq ans après le premier épisode que nous avions adoré chez air-gaming (test ici), Octopath Traveler revient pour notre plus grand plaisir. Est-ce que le résultat vaut le détour ? Lisez donc mon point de vue dans les quelques lignes qui suivent. Dès le début du jeu, les anciens joueurs de Octopath Traveler ne seront pas désorientés. Les graphismes sont similaires au premier épisode, et vous allez devoir choisir entre huit personnages pour vous lancer dans l’histoire. J’ai choisi de commencer avec Osvald dans une prison glaciale sur l’île du Bagne. Les deux premiers chapitres permettent de complètement s’identifier au personnage, et de partager sa soif de vengeance. Et ce sera ainsi pour chacun des sept autres personnages que vous rencontrerez : le premier chapitre vous permettra de comprendre son histoire, et vous comprendrez peu à peu ce qui se passe à l’échelle du monde… Encore une belle performance narrative de l‘équipe de Octopath Traveler ! Pour progresser dans l’aventure, vous serez naturellement guidés par le « Niveau recommandé » pour chaque quête de personnage, qui s’affiche sur la map. Après libre à vous de

Flo

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Atomic Heart, le test sur PS5

Sans vouloir faire de mauvais jeux de mots, les premiers aperçus d’Atomic Heart avaient littéralement fait l’effet d’une bombe au sein de la rédaction. Uchronie de l’empire soviétique, direction artistique de dingue, savoureux mélange entre Red Alert, Bioshock et Duke Nukem… Le titre avait tout pour attirer nos regards aussi friands de bons jeux que de provocation. Le challenge est-il relevé, camarade ? Une Russie de toute beauté Atomic Heart est donc un FPS qui se revendique aussi du genre Action-RPG, développé et édité par le studio Mundfish. Le jeu réécrit l’histoire. Ici, il est question d’une URSS glorieuse et à la pointe de la technologie. A un tel point que les robots créés par Dmitry Sechenov, un scientifique de renom, sont partout et au service de tout le monde. Sauf qu’un jour, les machines se révoltent et attaquent l’humanité. Sur le papier, tout ceci ne semble probablement pas très original, avec du Skynet dans l’air. Néanmoins, l’équipe de Mundfish a clairement joué à la carte de l’originalité sur l’ambiance – Mais seulement sur ce point, nous y reviendrons. La découverte du jeu prend clairement des allures de Bioshock soviétique, dans une ambiance survoltée et steampunk à souhait. Comme évoqué

Angi