Alisa Developer’s Cut, le test sur Nintendo Switch
Pour ceux qui me suivent sur le réseau social X (instant promo), je voue une adoration aux jeux Playstation 1 au plus grand dam de mes confrères. C’est alors que surgit dans ma TL, un jeu qui s’inspire du style graphique de l’époque avec de bons gros polygones baveux. Ce jeu, du nom d’Alisa en version « developer’s cut » franchit le pas de la version console que nous allons découvrir. Alice…Alisa… On retrouve dans cette aventure un agent de la police royale prénommée Alisa durant une période des années 1920. Après avoir couru à la poursuite d’un voleur notoire, elle se réveille dans un manoir habillée à la manière d’Alice au pays des merveilles. Elle découvrira à son réveil un monde fantastique entremêlant l’horreur, le monde des poupées dans un ensemble délirant. L’histoire empreinte les codes de Silent Hill et autres jeux d’horreurs des années 90-2000. En effet, le jeu avance dans cette histoire avec des éléments propres aux jeux d’horreur. Toutefois, on notera l’absence de notes ou lore comme on l’avait dans les Resident evil par exemple. In fine, dans ce grand manoir victorien, le joueur se sentira souvent seul sans réelle réponse quant à l’histoire… Low poly et hommage