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Angi

Return to Monkey Island, le test sur PS5

Malgré la flopée de suites et autres remastered depuis une décennie, peu de titres vidéoludiques peuvent réellement prétendre au statut de mythe intemporel. Néanmoins, fer de lance de l’âge d’or des points’n click Lucas Arts, la saga Monkey Island est assurément de ceux-là. Plus de trente ans après ses premiers pas, Guybrush Threepwood reprend du services. Dans un épisode édité par Devolver Digital et développé par Terrible Toybox, avec aux manettes le créateur original Ron Gilbert, rien que ça. Play it like it’s 1991 Le moins que l’on puisse dire, pour les gamers quarantenaires ou les fans de la série dont je suis, c’est que l’écran-titre accompagné de la musique mythique fait immédiatement son petit effet. La première séquence de jeu vous met dans la peau de deux adolescents, l’un d’entre eux étant le fils de Guybrush Threepwood. Cette première demi-heure à la fête foraine fait surtout office de tutoriel pour les joueurs ne connaissant pas le genre point’n click. Vous pourriez penser que cette population est probablement peu nombreuse. Pour les trois du fond qui se grattent la tête, les titres point’n click sont des jeux d’aventures. Généralement en 2D, ils consistent en une succession d’énigmes à résoudre en

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Flo

Machinarium, le test sur Switch

Dans Machinarium sur Switch, vous prenez le contrôle d’un petit robot abandonné dans une décharge, et qui veut à tout prix rejoindre la ville. Vous le récupérez dans un triste état, et votre première mission sera de le réparer. Bon, ça va être plutôt rapide, votre robot est loin d’être un Transformers ! Ses « super-pouvoirs » se limitent à pouvoir grandir, rapetisser, et à utiliser des objets. Ne vous attendez pas à de l’action dans Machinarium, vous trouverez votre plaisir ailleurs. Vous allez notamment pouvoir admirer la qualité graphique des niveaux dans lesquels votre robot évolue. Les dessins sont magnifiques, vous allez avoir la sensation d’évoluer sur des toiles de tableaux, avec une bande-son parfaitement adaptée à chaque scène. N’hésitez pas à jouer devant vos enfants, ils apprécieront beaucoup. D’autant plus que dans Machinarium il n’y a ni dialogues, ni textes écrits. L’équipe d’Amanita Design a réalisé un sacré boulot ! Josef votre petit robot va réussir à vous raconter son histoire et à se faire comprendre simplement avec quelques petits dessins dans des bulles façon bande dessinée. Une belle prouesse, effectuée en plus avec une pointe d’humour. Oui, vraiment en y repensant, une fois que vous aurez résolu une première fois tous

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Angi

La cuisine dans Zelda: Les recettes inspirées d’une saga mythique, l’avis

L’univers de Gastronogeek, c’est avant tout celui d’un homme : Thibaud Yillanova. Mêlant gastronomie et pop-culture, le succès de ce créateur sur les plateformes de streaming et les réseaux sociaux est désormais bien établi. Publié aux éditions Hachette, il vient aujourd’hui nous proposer un ouvrage culinaire directement inspiré de l’univers de Zelda. Et de son propre aveu dans la préface, « un rêve de gosse ». Beau comme la Triforce Bien que le fond soit généralement plus important que la forme, impossible de commencer cette critique sans évoquer la superbe réalisation de cette ouvrage. La couverture mêlant or et mauve, clinquante mais élégante, donne le ton. Le relief physique des motifs qui l’habille ne gâche rien. Disons-le tout de go, que vous soyez fan de cuisine ou pas, l’objet est digne de collection. Une fois le livre ouvert, l’intérieur est du même acabit. La direction artistique de Julien Escalas se veut au plus proche de l’univers de la légende de Zelda, entre polices de caractères épiques et tons pastels moyenâgeux. Mais le plus impressionnant vient probablement des photos de Nicolas Lobbestaël et du stylisme de Séverine Augé, véritables mise en scène à la croisée du décor hommage et du cosplay.

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Angi

The Knight Witch, le test sur Switch

Genre tenant une place un peu à part dans le paysage vidéoludique durant les années 80-90, les jeux de type Métroidvania ont littéralement explosé depuis une quinzaine d’années. Avec notamment Castlevania, Guacamele, Shantae, Ori… Team 17 est un studio de développement et d’édition légendaire, connu entre autres pour Worms, Alien Breed, Overcooked 2, The Escapists… Mélangez les deux, ajoutez le studio de développement Super Awesome Hyper Dimensional Mega Team (rien que ça), et vous obtenez The Knight Witch. Motivant, n’est-ce pas ? Zaï Zaï Dagadai The Knight Witch propose un univers et un scénario originaux. En cette époque de version « remastered », « HD » ou « remake » en tous genres, voilà qui fait plaisir d’emblée. L’histoire prend place dans un monde mêlant magie et technologie. Les humains et en particulier le clan Daigadai ont développé des robots et une industrie de pointe, au point d’impacter les ressources de la planète entière et de commencer à la dominer. La révolte gronde, aidée par les quatre Knight Witches légendaires, qui sauvent un monde alors au bord du précipice. Les dégâts étant irrémédiables, les survivants se retrouvent alors contraints de vivre sous terre. Voilà comment s’ouvre The Knight Witch. Puis

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Angi

Goat Simulator 3, le test sur Xbox Series

Développée par Coffee Stain Studios, la série Goat Simulator ne devait au départ même pas exister. Parodie volontairement bourrée de bugs, le jeu d’origine est finalement réellement sorti en 2014, sous la pression de la communauté. On y incarnait une chèvre invincible, dans un monde ouvert rempli de défis idiots et d’un humour absurde. Après de multiples extensions et un réel succès, débarque aujourd’hui le second (et non troisième) épisode. Beau comme une biquette Goat Simulator 3 s’ouvre sur une parodie assumée (et franchement drôle) de Skyrim, qui annonce la couleur. Le contexte n’aura toujours ni queue ni tête. Le principal but du jeu sera toujours de débloquer des défis ridicules et autres items décalés. L’ensemble repose sur l’idée de se payer une bonne tranche de rigolade vidéoludique et de pop-culture, tout simplement. Les actions de base de Goat Simulator 3 sont toujours présentes : sauter, donner des coups de boule et attraper des objets en les léchant. Celles-ci sont un peu plus élaborées, comme le coup de boule chargé ou le vol de voiture façon GTA par exemple. Les objets permettant de booster les capacités ou de s’équiper de nouvelles (planer, tirer des lasers, escalader les murs, tirer des

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Angi

NeoGeo Pocket Color Selection vol.2, le test sur Switch

Il y a un peu plus d’un an, l’ami Kuk vous proposait le test de NeoGeo Pocket Color Selection vol.1, la compilation plutôt réussie de titres historiques de la console portable SNK. Vient aujourd’hui un second volet que, soyons francs, nous n’attendions pas vraiment. Les mastodontes de la console sont déjà passés par le premier opus et pourtant, quelques bonnes surprises sont tout de même présentes ici. On prend la NGPC et on recommence Au lancement de la compilation NeoGeo Pocket Color Selection vol.2, quiconque s’était déjà intéresse au premier volume ou aux portages individuels de titres NeoGeo Pocket sur Switch sera en terrain connu. L’interface comme les fonctionnalités sont exactement les mêmes. A savoir la possibilité de zoomer, de régler l’affichage comme bon vous semble, et de personnaliser les contrôles. Le retour arrière à court terme est aussi de la partie. Beaucoup plus surprenant, aucun save/load à tout moment n’est disponibles. On notera tout de même la possibilité de reprendre le jeu exactement à l’endroit où vous l’aviez laissé, en cas d’arrêt en pleine partie. L’option deux joueurs en écran splitté demeure toujours également. De ce côté-là, donc, c’est du tout bon. Ces titres peu connus, et c’est tant

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Angi

Michel Ocelot – Le poète des ombres, l’avis

A l’approche des fêtes, Third Editions nous gâte en ce moment. Il y a peu de temps, nous vous proposions la critique de l’ouvrage The Heart of a Plague Tale ici-même. Dans un univers totalement différent mais avec la même qualité, débarque aujourd’hui Michel Ocelot – Le poète des ombres, de Nathan Bonvallet. Richesse et complexité… Michel Ocelot est principalement connu du grand public pour la série de films Kirikou, désormais de grands classiques de l’animation pour enfants mais pas que. Mêlant approche artistique originale, scénario construit et réflexion intelligente, cette saga Africaine a connu un large succès bien mérité. Mais l’œuvre de Michel Ocelot va bien plus loin. Evoquons par exemple Princes et Princesses ou Azur et Asmar, pour ne citer qu’eux. L’homme aime sortir des sentiers battus et la complexité. C’est aussi probablement pour ça qu’il a même réalisé un clip pour Björk, Earth Intruders. Vous ne connaissiez pas tout ceci ? Ce n’est qu’une infime partie de ce que tout l’ouvrage évoque, essentiellement structuré autour de la biographie de l’auteur allant bientôt souffler ses quatre-vingt bougies. …Entre ombres et lumières On y découvre un homme à la vie trépidante, mêlant aventure, originalité, expérimentation permanente et même quelques aspects

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Angi

The Heart of a Plague Tale: un making-of illustré, l’avis

Editée par Focus Home Interactive et développée par les Bordelais d’Asobo Studio, la série A Plague Tale jouit désormais d’une jolie réputation vidéoludique. Elle devrait d’ailleurs bientôt faire l’objet d’une adaptation en série télévisée. Et l’ami Flo vous proposait, il n’y a pas si longtemps, le test de l’épisode Innocence sur Switch. A l’occasion de sa suite Requiem, sort aujourd’hui le livre The Heart of a Plague Tale, le making-off illustré , édité par Third Editions. La mort vous va si bien Tout d’abord, le sous-titre du livre est mauvais. Injustement mauvais. Mais pour de bonnes raisons. The Heart of a Plague Tale décrit bien l’histoire du studio et la conception de la série, mais les illustrations qui l’accompagnent sont loin de faire office d’accessoires. Elles sont tout simplement superbes, et le livre pourrait être qualifié de véritable artbook à ce niveau. Attendez-vous donc, à la découverte de l’ouvrage, à en prendre plein les mirettes. D’autant que la qualité de réalisation est excellente et digne de votre bibliothèque – A l’exception peut-être d’un choix de teintes un peu froides à l’impression, probablement pour encore mieux coller à l’ambiance de son sujet mais pas toujours au service de la direction artistique.

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Angi

Star Ocean: The Divine Force, le test sur PS4

Fêtant déjà ses seize bougies (ouch !), la saga Star Ocean tient une place particulière dans le cœur des adeptes de J-RPG. Si le genre a eu un peu tendance à prendre la poussière ces dernières années, la faute à un manque de renouvellement dans le game-system, l’épisode Star Ocean: The Divine Force était très attendu. Le nouveau bébé de tri-Ace édité par Square Enix a-t-il de quoi se réconcilier avec cette série, après un cinquième épisode au goût d’inachevé ? Des Français dans l’espace Star Ocean: The Divine Force vous propose, au lancement, de choisir entre deux personnages principaux : la princesse Laetitia de la planète Aster IV, ou le navigateur spatial Raymond de la planète Vulgus. Ces protagonistes vont passer la majorité de l’histoire ensemble. Ce choix va surtout conditionner le point de vue des phases cinématiques, le personnage contrôlé par défaut et quelques pans connexes du scénario (où les deux héros se séparent temporairement). On suppose également que ce choix vous est offert à des fins d’identification au héros, ou à l’héroïne. L’histoire s’ouvre alors que Raymond vient de s’écraser sur une planète inconnue, après d’être fait attaqué. A peine sortie de sa capsule de secours, il

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Angi

Escape Box Minecraft : l’invasion du village, l’avis

Les Escape games grandeur nature ont connu un boom dans l’hexagone il y a environ une dizaine d’années. Fort logiquement, l’idée de pouvoir reproduire l’expérience (à moindre échelle) à la maison est survenue tôt ou tard. Ainsi naquirent les « Escape Box » et autres adaptations au format jeu de plateau. Nous avons aujourd’hui testé l’Escape Box Minecraft : l’invasion du village, sortie chez 404 Editions. Enfermer des enfants, vraiment ? Les Escape games « classiques » sont plutôt destinés à un public plutôt adulte, voire adolescent. Ciblant de principe les enfants âgés de sept à douze ans, cette Escape box a donc un double pari à relever : procurer une expérience proche à domicile avec des moyens limités, et s’adapter à un public moins âgé. Sur la forme et à l’ouverture, le contenu de cette Escape Box se veut plutôt sommaire mais bien fini : un livre de règles, une quarantaine de cartes (format cartes à jouer) et une carte de terrain imprimée. Détail important à préciser d’emblée, l’ensemble est vendu au prix de douze euros. Ce qui semble donc très raisonnable, à condition que l’expérience soit bonne. Zombie movie avec des briques L’Escape Box se pratique à trois

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♪Reportage
Kuk

[Interview][Gamescom 2023] Entretien exclusif avec Niantic sur Monster Hunter Now

Discussion sur le Stand Monster Hunter de la Gamescom 2023. L’échange est la retranscription la plus fidèle des déclarations de Monsieur Kei Kawai. Je me suis cependant permis de parfois modifier un phrasé oral et d’intégrer une ponctuation. Air-Gaming : Pourriez vous vous présentez et présenter la société Niantic ? Kei Kawai : Je m’appelle Kei Kawai, directeur des produits chez Niantic, Inc.

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¶Dossier
La Team

Gros concours d’aout annuel (Console à gagner)

Vous le savez depuis le temps, chaque année on fait un concours qui va bien pendant la Gamescom. C’est le gros événements de l’année et on veut vous avoir à nos côtés durant cette période incroyable. Pour cette raison et pour vous remercier de votre fidélité, on lance le concours en ce 13 aout, cette année encore de superbe lots

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A LIRE ABSOLUMENT!
On est vraiment désolé, mais internet et Wordpress oblige, on doit surement stocker des cookies sur votre ordinateur. Si vous n'en voulez pas, je vous invite à partir (de l'internet). Sinon, venez, on est sympa!