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Angi

Wo Long: Fallen Dynasty, le test sur PS5

Depuis vingt ans, la Team Ninja s’est taillée une place de choix et surtout très marquée dans le paysage vidéoludique. Qualité et exigence constituent probablement les deux mots-clés qualifiant leurs productions de meilleure manière. Arrive aujourd’hui Wo Long: Fallen Dynasty, avec la même recette mais une autre ambiance. Les tribulations d’un Chinois en Team Ninja Wo Long: Fallen Dynasty s’ouvre sur une cinématique de toute beauté, et surtout sur le moteur de création de votre personnage. Ce dernier est très complet à tous points de vue, ce qui constitue toujours un plus bienvenu pour l’immersion. Dans le même registre, les textes sont tous doublés en Français. Les voix sont disponibles en Anglais, Chinois et Japonais. Le scénario nous plonge ensuite dans un royaume Chinois, en plein de contexte de guerres humaines mais aussi démoniaques. L’ambiance générale du titre se veut sombre, horrifique, sanglante et parfois oppressante. A nouveau, on reste dans la continuité des productions Team Ninja – Mais autant que vous soyez prévenus. Dans sa structure, Wo Long: Fallen Dynasty se veut toutefois assez classique. Sans être téléguidée, la progression est souvent moins ouverte qu’elle n’y parait. Même les quêtes annexes portent finalement mal leur nom, car elles s’avèrent

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Angi

Atomic Heart, le test sur PS5

Sans vouloir faire de mauvais jeux de mots, les premiers aperçus d’Atomic Heart avaient littéralement fait l’effet d’une bombe au sein de la rédaction. Uchronie de l’empire soviétique, direction artistique de dingue, savoureux mélange entre Red Alert, Bioshock et Duke Nukem… Le titre avait tout pour attirer nos regards aussi friands de bons jeux que de provocation. Le challenge est-il relevé, camarade ? Une Russie de toute beauté Atomic Heart est donc un FPS qui se revendique aussi du genre Action-RPG, développé et édité par le studio Mundfish. Le jeu réécrit l’histoire. Ici, il est question d’une URSS glorieuse et à la pointe de la technologie. A un tel point que les robots créés par Dmitry Sechenov, un scientifique de renom, sont partout et au service de tout le monde. Sauf qu’un jour, les machines se révoltent et attaquent l’humanité. Sur le papier, tout ceci ne semble probablement pas très original, avec du Skynet dans l’air. Néanmoins, l’équipe de Mundfish a clairement joué à la carte de l’originalité sur l’ambiance – Mais seulement sur ce point, nous y reviendrons. La découverte du jeu prend clairement des allures de Bioshock soviétique, dans une ambiance survoltée et steampunk à souhait. Comme évoqué

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Manoloben

Dobble Teams, l’avis

Petite surprise côté Dobble, après des cross-overs avec à peu près tous les héros de films (Harry Potter and co.), Dobble s’ouvre au jeu en équipe. Dobble Teams, c’est la vision coopérative, mais pas trop de Dobble. Si vous n’avez joué à Dobble, les règles sont assez simples, le jeu propose 88 cartes avec 10 symboles par carte. Il y a entre ces cartes 10 symboles et il y a toujours 1 et 1 seul symbole commun entre deux cartes. Maintenant vous ajoutez deux équipes et vous avez Dobble Teams. Le jeu qui prend Maintenant, comment transformer cela en jeu? Et bien piochez deux cartes au hasard et posez-les face visible sur la table entre les joueurs. Cherchez le symbole en commun entre ces deux cartes (seule la taille peut être différente). Le premier qui le trouve, l’énonce et pose deux nouvelles cartes. Ça, c’est la base. Mais Dobble dans sa version classique, c’est cinq règles du jeu. Pour la version Dobble Teams on renouvelle totalement les règles en ne proposant rien de moins que huit défis où deux équipes s’affrontent en jouant en même temps. Le jeu nous invite à ne pas être plus de 3 joueurs par équipe,

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Angi

Vengeful Guardian: Moonrider, le test sur PS5

Le moins que l’on puisse dire, c’est que les différents aperçus de Vengeful Guardian: Moonrider ont immédiatement fait battre le cœur des rétrogamers. En particulier ceux des 90s et des fans de plateforme action 2D en général. Le studio brésilien JoyMasher, déjà auteur de Blazing Chrome, revient aujourd’hui avec ce titre édité chez The Arcade Crew. C’était pas ma guerre Vengeful Guardian: Moonrider s’ouvre sur un scénario simple, qui sent bon le nanard mais met tout de suite dans le bain. Après un attentat, le gouvernement construit des super soldats cybernétiques pour rétablir l’ordre et protéger la population. Rapidement, le Moonrider, l’une de ces « sentinelles » prend conscience qu’il s’agit surtout de répression et de totalitarisme. Notre héros décide donc de se rebeller, et l’aventure commence. L’inspiration la plus évidente Vengeful Guardian: Moonrider est très probablement Shinobi, et The Super Shinobi II (Shinobi III en Europe) sur Megadrive pour être plus précis. La maniabilité, l’architecture des niveaux, les thèmes abordés (la cave, la base cybernétique)… Tout rappelle ce jeu, dans ce qui aurait pu facilement sortir à l’époque et s’appeler The Super Shinobi III. Ainsi, en termes de mouvements, le héros pourra avancer, sauter, attaquer au sabre ou via

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Angi

Stupéfix !, l’avis

Désormais âgée de plus de vingt-cinq ans, la saga Harry Potter n’en finit pas de déchaîner les passions et… Les produits dérivés. Aujourd’hui, Stupéfix ! entend se faire une place au milieu des étagères déjà bien remplies. Voyons si le jeu de société conçu par Ludovic Maublanc et édité chez Repos Production va réussir à conquérir le cœur de Potterheads. Baguette de sureau ou acajou ? La première chose qui étonne à l’ouverture de la boîte, c’est la qualité du matériel fourni. Huit baguettes, qu’on a directement envie de saisir. Un jeu de cartes conséquent. Et surtout un environnement de jeu très bien pensé, la boîte faisant elle-même office de support pour représenter les quatre écoles et stocker les récompenses saisies au fil du jeu. Stupéfix ! se pratique de deux à quatre joueurs, pour une durée moyenne de trente minutes. A l’installation, chaque joueur est associé à une école. Puis il se voit affublé d’une baguette, de trois cartes « Stupéfix » et de cinq cartes « Sort raté ». On dispose neuf cartes au centre de la table, qui constituent « le butin ». Et on désigne « le Chouchou », c’est-à-dire le joueur qui va animer la

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Manoloben

Cobra Kai 2 : Dojos Rising, le test sur Switch

Pour ceux qui suivent le site depuis quelques mois, vous avez dû lire mon test à contre-courant de Cobra Kai. Le titre, bien que moyen dans sa réalisation, proposait un bon défouloir. Et quand on est amoureux de Beat Them Up souvent, c’est ce qui compte. De fait, Game Mill a souhaité proposer une suite à la franchise sur console avec : Cobra Kai 2 : Dojos Rising. Et on peut conclure que son aîné a dû avoir un succès suffisant, car Game Mill se permet de ne pas proposer le même jeu avec juste un reskin, mais une refonte assez conséquente. Est-ce que la voix du poing ne risquerait pas de nous mettre KO cette fois? Cobra Kai 2 tente de se renouveler et de s’enrichir de nombreuses fonctionnalités Cobra Kai 2 : Dojos Rising est la suite directe de Cobra Kai The VideoGame. C’est à dire un Beat Them Up nerveux, mettant en scène les protagonistes de la série Netflix Cobra Kai. Vous parcourez les niveaux, taper nerveusement le bouton X pour enchaîner les mandales ou si vous êtes du genre fin, vous pourrez faire quelques sauts, choppes ou user de vos compétences de Chi. Contrairement à Cobra

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Flo

Vitamin Connection, le test sur Switch

Vitamin Connection sur Switch, un jeu unique et mignon comme tout qui va vous faire travailler vos réflexes ! Dans Vitamin Connection, vous incarnez Vita-Boy et Mina-Girl, deux petites vitamines qui commencent par devoir soigner un petit enfant très malheureux (malade, il ne va pas pouvoir faire sa sortie avec le centre aéré…) et qui vont finir par sauver le monde ! Enfin… Cette conclusion dépend de vous 😉 mais chaque épisode de Vitamin Connection vous rapprochera de cette fin heureuse. Mais alors, comment est-ce qu’on contrôle deux petites vitamines dans un jeu vidéo me direz-vous ? Plutôt inhabituel comme persos non ? Et bien Vita-Boy et Mina-Girl vont naviguer dans le corps humain à l’intérieur d’une capsule qui ressemble à s’y méprendre à un joycon. Le principe pour se déplacer est très simple, globalement la progression se fait automatiquement, à vitesse variable, et vous allez pouvoir déplacer votre capsule sur l’écran en avant et en arrière, mais vous allez surtout devoir incliner votre capsule dans différentes directions pour éviter les parois. Facile sur le papier, mais évidemment des obstacles vous obligeront régulièrement à effectuer différentes figures acrobatiques pour éviter de détruire votre capsule. Par ailleurs, vos petites vitamines vont naviguer dans des corps

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Flo

Sonic Frontiers, le test sur Switch

Sonic Frontiers sur Switch, de l’action et de l’aventure pour ce bon vieux Sonic qui s’aventure pour la première fois dans un monde ouvert On ne peut pas dire que Sonic ait été très présent sur nos consoles ces dernières années. Notre petit hérisson né au début des années 90, qui nous a ébloui à grand renfort d’accélérations fulgurantes et de loopings à couper le souffle, était un peu en semi-retraite. Avec Sonic Frontiers, il revient dans un monde ouvert, tel Link dans le Royaume d’Hyrule ! Pour notre plus grand plaisir ? Voici mon avis sur la question. Commençons par l’histoire ! Elle est assez classique : une catastrophe arrive, Sonic et ses amis sont pris entre deux mondes. Il doit les sauver et retrouver les « Chaos Emeralds ». Oui, apparemment « Emeraudes du chaos » ça ne passait pas bien en français donc on reste sur de l’anglais. Personnellement je n’ai rien contre ce scénario assez classique, mais mon dieu… pourquoi avoir donné une voix française si désagréable à Sonic ! Ça écorche les oreilles. La technique se mouille pas sur Switch Et à l’œil, qu’est-ce que ça donne me direz-vous ? Et bien le monde ouvert est un peu… vide. Il présente de beaux reliefs, quelques

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Angi

Goat Simulator 3, le test sur Xbox Series

Développée par Coffee Stain Studios, la série Goat Simulator ne devait au départ même pas exister. Parodie volontairement bourrée de bugs, le jeu d’origine est finalement réellement sorti en 2014, sous la pression de la communauté. On y incarnait une chèvre invincible, dans un monde ouvert rempli de défis idiots et d’un humour absurde. Après de multiples extensions et un réel succès, débarque aujourd’hui le second (et non troisième) épisode. Beau comme une biquette Goat Simulator 3 s’ouvre sur une parodie assumée (et franchement drôle) de Skyrim, qui annonce la couleur. Le contexte n’aura toujours ni queue ni tête. Le principal but du jeu sera toujours de débloquer des défis ridicules et autres items décalés. L’ensemble repose sur l’idée de se payer une bonne tranche de rigolade vidéoludique et de pop-culture, tout simplement. Les actions de base de Goat Simulator 3 sont toujours présentes : sauter, donner des coups de boule et attraper des objets en les léchant. Celles-ci sont un peu plus élaborées, comme le coup de boule chargé ou le vol de voiture façon GTA par exemple. Les objets permettant de booster les capacités ou de s’équiper de nouvelles (planer, tirer des lasers, escalader les murs, tirer des

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Angi

NeoGeo Pocket Color Selection vol.2, le test sur Switch

Il y a un peu plus d’un an, l’ami Kuk vous proposait le test de NeoGeo Pocket Color Selection vol.1, la compilation plutôt réussie de titres historiques de la console portable SNK. Vient aujourd’hui un second volet que, soyons francs, nous n’attendions pas vraiment. Les mastodontes de la console sont déjà passés par le premier opus et pourtant, quelques bonnes surprises sont tout de même présentes ici. On prend la NGPC et on recommence Au lancement de la compilation NeoGeo Pocket Color Selection vol.2, quiconque s’était déjà intéresse au premier volume ou aux portages individuels de titres NeoGeo Pocket sur Switch sera en terrain connu. L’interface comme les fonctionnalités sont exactement les mêmes. A savoir la possibilité de zoomer, de régler l’affichage comme bon vous semble, et de personnaliser les contrôles. Le retour arrière à court terme est aussi de la partie. Beaucoup plus surprenant, aucun save/load à tout moment n’est disponibles. On notera tout de même la possibilité de reprendre le jeu exactement à l’endroit où vous l’aviez laissé, en cas d’arrêt en pleine partie. L’option deux joueurs en écran splitté demeure toujours également. De ce côté-là, donc, c’est du tout bon. Ces titres peu connus, et c’est tant

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✎Interview
VTG

Interview de Yoan FANISE, directeur de DigixArt.

Nous avons eu l’honneur de réaliser une interview de Yoan FANISE, co-fondateur et directeur du studio DigixArt. Ayant participé avec Ubisoft au succès mondial Soldats Inconnus : mémoires de la Grande Guerre, il fonde en 2015 son propre studio. Road 96, 11-11 Memories Retold ou encore Lost in Harmony font partie des œuvres réalisées par ce studio français. Leur œuvre

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¶Dossier
Manoloben

Quand Holy Grail Games dépose le bilan : une histoire de David contre Goliath

Je suis profondément attristé d’apprendre plusieurs mois après, la mort de Holy Grail Games. Ce n’est pas passé au 20H (que je ne regarde pas) et même sur Twitter, l’information n’était pas parvenue jusqu’à moi. J’étais en train d’écrire sur un de leur très bon titre : Rallyman GT quand j’ai fait quelques recherches pour étayer mon article. Quelle fut

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✎Interview
VTG

Interview de l’équipe Joymasher, Développeurs de Vengeful Guardian: Moonrider

Interview en français Bonjour à toute l’équipe de Joymasher ! Je vous remercie de nous avoir accordé cette interview. Nous profitons de la sortie de Vengeful Guardian: Moonrider et de son succès auprès des joueurs pour en savoir un peu plus sur l’équipe et sur le développement du jeu. Air-gaming : pourriez-vous présenter les différents membres composant l’équipe (avec éventuellement

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