Tazmania Devil : Munching Madness, le test Game Boy Color

La mascotte de Warner Bros fait ses débuts en solo sur Game Boy Color dans un jeu de plates-formes assez réussi. En créant Tazmania Devil : Munching Madness, Sunsoft savait que ce jeu devrait être suffisamment original pour se démarquer de la concurrence.

Ce qui étonne est la perspective utilisée, aérienne, un style plus approprié aux RPG. Mais l’action reste maîtresse de ce jeu, Taz doit amasser des quantités impressionnantes de nourriture tout en éliminant ses adversaires. Une mission d’autant plus difficile que les cartes sont véritablement gigantesques (neuf en tout). Une fois cette nourriture collectée, un médaillon apparaît. Au cinquième, vous passez au niveau suivant et ainsi de suite. Ultra répétitif !

Heureusement que de nombreuses variantes ont été incluses dans la cartouche : combattre des boss, faire la course avec le frère de Taz, etc. Malheureusement, cela ne sauve pas le joueur de l’ennui, les niveaux étant bien trop vastes. On se perd facilement, même si Taz se tourne automatiquement dans la direction du bout de nourriture le plus proche. Un système de mots de passe permet de sauvegarder la partie.

La réalisation technique se situe dans la bonne moyenne même si les sprites auraient pu être un peu plus gros. L’attaque fétiche de Taz, le tourbillon, a, bien sûr, été conservée. La maniabilité ne pose pas de problème particulier. Quant aux musiques, elles se révèlent un peu lassantes au cours du jeu, mais il est possible de les désactiver. Et c’est, en fait, la seule option de jeu !

Heureusement que de nombreuses variantes ont été incluses dans la cartouche : combattre des boss, faire la course avec le frère de Taz, etc. Malheureusement, cela ne sauve pas le joueur de l’ennui

Tazmania Devil : Munching Madness

Passe-Temps !

Mis à disposition par l’éditeur : Non

Pas d'anecdote

Medias

Les meilleures Stockage

Les meilleures Précommandes

Les jeux sûrs et pas cher

Accesoires testés et approuvés

On est vraiment désolé, mais internet et Wordpress oblige, on doit surement stocker des cookies sur votre ordinateur. Si vous n'en voulez pas, je vous invite à partir (de l'internet). Sinon, venez, on est sympa!