(Gamescom2017) Kingdom Come: Deliverance, la guerre médiévale c’est pas joli

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Kingdom Come: Deliverance est un des jeux PC qui nous attirait le plus à la Gamescom 2017 (et d’autant plus depuis que nous avons fini The Witcher III pour tout dire). Un titre qui nous vient de Warhorse Studio. Celui-ci nous place dans le contexte historique de guerres fratricides dans la Bohème du début du XVe siècle.

Nous avons pu prendre les commandes du protagoniste sur une PS4 Pro. A ce moment de l’aventure, ce dernier est au service d’un des barons locaux. C’est à ce titre qu’il est envoyé avec un détachement de soldats enquêter sur l’attaque d’un village par des bandits. Un des pillards est probablement l’un des mêmes responsables de la mort des membres de votre famille et de l’attaque de votre village.

C’était donc une bonne occasion de tester les commandes, ainsi que le moteur 3D de Kingdom Come: Deliverance. On sera donc encore indulgent sur le framerate qui tournait autour de 30 images seconde (selon un indicateur à l’écran), ainsi qu’au sujet du clipping, omniprésent.    

Notre partie nous a donné à voir un univers particulièrement vaste et détaillé. Les déplacements – avec un cheval – étaient assez réalistes (et donc moins permissifs qu’avec The Witcher III). Sur les lieux mêmes de l’attaque, nous constatons le massacre de chevaux et de personnes qui avaient essayé de les protéger. Nous avons à discuter avec les différents témoins. Pour cela, il faut d’abord les trouver dans le périmètre de la zone (aucun marqueur n’était affiché dans le jeu pour nous orienter, pour moi c’est plutôt bon signe). Selon vos aptitudes ou le ton employé, les réponses ne sont pas les mêmes. Et vous pourrez apprendre plus ou moins de choses.
Dans cette quête, il semble que les bandits sont venus pour tuer uniquement les chevaux. Après une dispute, il semblerait que la bande se soit divisée en deux groupes, l’un s’étant enfui dans la forêt. Là aussi, les choix pour résoudre cette quête étaient ouverts, et vous laissent une assez grande marge de manœuvre.

On n’est certes pas encore complètement rassuré sur le rendu technique (notamment sur console). A l’inverse, on a été particulièrement intéressé par le monde ouvert qui semble assez vaste, et où les possibilités d’action paraissent assez diversifiées. Le ton des dialogues, dans un contexte historique, donne un caractère particulièrement adulte et mature. Du côté de Kingdom Come: Deliverance, notre attente est maximale !

 

 

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Par Kuk