Vous ne vous en rendez peut-être pas compte, mais la communication dans le monde des Jeux Vidéo est parfois étrange. Quand l’équipe doit prendre ses rendez-vous pour la Gamescom 2022, il y a souvent des jeux « secrets », tels des mystères devant être préservés. Dans le cas présent, il s’agissait de découvrir un nouveau jeu non annoncé chez l’éditeur Arcade Crew… Mais juste quelques jours avant la Gamescom, Vengeful Guardian: Moonrider fut annoncé…
Vengeful Guardian : Moonrider est donc un jeu de plateforme et d’action à défilement latéral, qui rappelle les grands moments des consoles 16 bits comme la Megadrive ou la Super Nintendo.
Il vient à la vie et il n’est pas content
Dans un état totalitaire, le pouvoir en place élabore une armée de supers soldats pour asseoir sa domination. Au cours d’une de leurs expériences, il crée une entité surpuissante du nom de Moonrider qui se rebelle contre ses maîtres. A vous d’incarner ce bras vengeur pour délivrer l’humanité.
Voilà donc la bonne excuse pour créer un jeu d’action dans un univers robotique ultra-violent. Avec des Ninjas, des robots et de l’hémoglobine…
On a pu le prendre en main Vengeful Guardian : Moonrider une petite demi-heure, en commençant au tout début du jeu. On a donc effectivement pu constater les graphismes 2D pixelisés. Mais cette fois, le gameplay de Blazing Chrome et son inspiration de Probotector sont abandonnés. On s’oriente plus ici vers une inspiration type Shinobi (plutôt The Revenge of Shinobi pour être tout à fait exacte), dont il est d’ailleurs vu par certains comme étant le successeur spirituel.
Alternance plateformes et combat
Plusieurs puces modificatrices sont disséminées tout au long du jeu. Ces bonus vous permettent de personnaliser le style de combat de votre personnage, en obtenant des avantages et des capacités particulières.
Vengeful Guardian : Moonrider propose huit niveaux. Nous avons essentiellement testé le premier. Pour le coup, la prise en main est plutôt bonne et répond bien évidemment aux amateurs de pixels bien précis. Pourtant, en l’état, nous avons eu un peu de mal avec une animation un poil rigide. Celle-ci nous semblait assez pénalisante dans les sauts, notamment entre les plateformes (mais bon, Manoloben dira aussi que je suis juste mauvais).
