Une jolie surprise est arrivée ce jour dans la boîte aux lettres de la rédaction. A savoir un calendrier d’Halloween sur le thème d’Harry Potter – les Forces du Mal de chez 404 Editions. « 100% magie noire », le nom de l’objet est relativement explicite quant à sa nature et à son objectif.
Avada Kebella Treiza !
Le calendrier prend, à l’ouverture, l’allure d’un format livre assez grand. La couverture, rigide et solide, donne le ton. Un logo désormais reconnaissable entre mille, soutenu par deux mangemorts imprimés en relief. A l’ouverture, on y découvre « celui dont on ne doit pas prononcer le nom », Bellatrix Lestrange et surtout treize pochettes.
Pourquoi treize ? Aucune idée à vrai dire. Ce chiffre étant synonyme de malchance, et la magie du marketing aidant, la plupart des calendriers de l’avent Halloween contiennent treize cases. Celui-ci ne fait pas défaut.
Dans un compte à rebours à treize jours avant Halloween, vous aurez donc l’occasion d’ouvrir les dites pochettes une par une. Pour y découvrir des surprises et de objets en lien avec l’univers d’Harry Potter, telles que des décorations, des cartes, de recettes de cuisine, des stickers, des mini-livres… D’après l’éditeur, tous ces objets sont collector – comprendre introuvables ailleurs que via ce calendrier.
La magie de la passion
Nous avons ouvert trois cases et pas plus pour illustrer ce test, pour ne pas vous spoiler et pour être honnêtes, pour ne pas trop nous gâcher la surprise non plus. Vous trouverez les objets découverts sur les photos de cet article. Tout ce que nous pouvons vous dire, c’est qu’ils sont d’une certaine qualité, mais qu’aucune case n’est réellement « épaisse » non plus (Non, il n’y a pas de Funko Pop dans le calendrier).
Alors, ce calendrier de l’avent Halloween et Harry Potter, il vaut le coup, ou pas ? Surtout à vingt-cinq euros la bête ? La conclusion sera probablement la même que pour tous les objets de ce genre. Ceux qui sont distants voire hermétiques à l’univers du jeune sorcier crieront au fanboyisme et scandale hors de prix. Et ils auront peut-être un peu raison. Les Potterheads y verront de la qualité, des références à leur univers adoré et une belle occasion d’y replonger. Et ils auraient sûrement tort de s’en priver.