Tremblez, Barry Steakfries débarque sur PSP ! « Personne n’a quelque chose à redire face à un bon jeu de zombies, c’est juste qu’il y en a beaucoup ». C’est en partant de ce constat, très juste, que les développeurs de Halfbrick Studio se sont dit : « Pourquoi ne pas développer un jeu de zombies ? »
Mais un jeu quelque peu différent des autres et dans la gamme PSP Mini cette fois (on leur doit déjà un certain Blast Off, toujours dans la même gamme). Dans Age of Zombies, il ne s’agit pas de faire mordre la poussière à une tonne de morts-vivants, mais de voyager dans le temps et de faire mordre la poussière à une tonne de zombies dinosaures, momies, hommes préhistoriques, etc. A la base, un scénario totalement loufoque, avec un savant fou qui cherche à répandre la « zombie-attitude » sur toute la terre. Mais, comme toutes ses tentatives se sont révélées infructueuses – Barry Steakfries est là ! -, il décide alors d’envoyer quelques spécimens dans le passé, à des époques différentes pour augmenter ses chances de réussite. Manque de bol, Barry Steakfries était encore là. Ni une, ni deux, il saute dans la dernière faille ouverte.
Concrètement, nous avons là un jeu d’action sauvage, dans lequel vous devez abattre des hordes de monstres. Les zones de jeu ne sont pas bien vastes et les zombies apparaissent par vagues : il s’agit donc bien de survie à tout prix, aussi longtemps que possible. Votre progression dans le niveau se mesure au remplissage d’une barre. Il y a en tout six mondes à visiter qui : la préhistoire, l’Egypte, le japon… et même le futur. Tous sont sanctionnés par un boss : un T-Rex zombifié, une voiture des années 1930 tout aussi « morte-vivante », etc. A votre disposition, tout un arsenal de guerre qui apparaît aléatoirement : fusil à pompe, mitrailleuse, bazooka, etc. Vous l’aurez compris, les aventures de Barry Steakfries sont délirantes et franchement bien mises en scène, grâce à la présence toute simple de dialogues savoureux, à prendre au douzième degré. Les zombies explosent dans d’abondantes gerbes de sang sous vos balles, et Barry Steakfries s’en félicite.