Jeu

iDracula, le test iOS

Sous ce titre typiquement « iPhone » se présente un jeu d’action-RPG réalisé par les développeurs de Moregames Entertainement. iDracula ne déroge pas aux règles du genre. L’objectif est simple : dans la peau d’un apprenti, Val Helsing, vous devez tirer sur tout ce qui bouge. La vue adoptée est isométrique.

Les commandes sont simples, grâce aux deux sticks analogiques virtuels situés sur les côtés de l’écran. L’un vous sert aux déplacements du personnage et l’autre à la visée. Pour vous faciliter la tâche, le jeu tire automatiquement et en continu lorsque l’on touche ce dernier stick. Tout ceci donne à iDracula des airs de Diablo. C’est pourtant très trompeur. Certes, vous aurez de l’expérience et de nouveaux pouvoirs au fur et à mesure de la tuerie (télékinésie, plus de vie, plus résistant, etc.) et vous trouverez de nouvelles armes dévastatrices, six en tout. Mais la ressemblance s’arrête là. Ici pas de missions, et pas d’histoire. Vous serez juste placé dans l’une des trois cartes du jeu. Des cartes graphiquement travaillées, mais linéaires et ridiculement petites. Votre seul but sera de faire le meilleur score (classement en ligne disponible) et de tuer des montres de plus en plus gros et résistants. A noter l’ajout d’un mode de jeu, Super Survival qui ne diffère pas tellement de l’original dans la version 1.1 (vendue plus chère désormais), où on commence avec une arme simpliste.

 

Mis à disposition par l’éditeur : Non
Image de Manoloben

Manoloben

Enfant des années 80, joueur jusqu'au bout des doigts. Si vous retrouvez du Julien Clerc dans ce texte? Bravo! Amateur de RPG (tout type) et clairement fan de Sega. Manoloben reste un touche à tout. GP32, NeoGeo Pocket, N-Gage et aujourdhui Evercade sont passées dans ses mains.

Disponibilité

Age conseillé

Thèmes

Format

Editeurs/Auteurs

Pas d'anecdote

Avis sur
iDracula

A éviter

Alors oui, le tableau était alléchant, l’intérêt aurait pu être là avec un mode multi-joueurs ou bien encore la possibilité de « customiser » un peu plus son personnage. Mais iDracula s’arrête aux frontières de l’amateurisme, ressemblant plus à une démo qu’à un véritable jeu.