[Gamescom2016] Gods and Glory ou la standardisation du pouvoir

Gods and Glory marque la volonté de Wargaming de s’affirmer dans le monde l’édition. Le jeu est développé par Friday’s Games un développeur russe. Il sera disponible à la fin de l’année sur iOS et Android en France, même s’il est déjà disponible dans certains pays européens.

Le jeu est un tactique free-to-play massivement multijoueur dans un univers heroic fantasy. Vous contrôler un héros, qui doit se tailler un empire, pour cela vous devrez développer des alliances avec les autres joueurs, développé vos cités et vos armées.

On voit que le jeu s’inspire pour beaucoup de la série des Heroes of Might and Magic et des productions free-to-play de la concurrence actuelle comme ceux proposés par l’éditeur Innogame. Le principe reste le même :
_ Faire évoluer votre avatar et augmenter sa puissance en lui associant des armes, armures et autres équipements.
_ Développer des bâtiments de votre cité et accroître la recherche technologique.
_ Faire appel à six dieux qui vous donneront des bonus spécifiques.

Vous aurez à former des armées  pour régulièrement piller les ressources des autres joueurs. Si votre héros est immortel, ce n’est pas le cas de vos unités ni des bâtiments de votre cité. Une protection trop faible ou un temps d’absence trop prolongé pourra réduire à néant vos rêves de grandeurs, même si un coffre fort pourra protéger certaines de vos ressources.

Vous le voyez, rien de très original en somme. Après on attend de voir comment sont conçues les mécaniques de jeu, et surtout les achats en ligne. Même si il n’y a rien de nouveau non plus de ce côté, les gemmes étant des accélérateurs de temps, l’impact sur le gameplay n’est lui pas encore connu. Pour le coup, les seules particularités notables de Gods and Glory semblent être la taille du monde, véritablement gigantesque, et la fonction diplomatique des alliances entre joueurs. L’avenir nous dira si cela sera suffisant pour s’imposer dans ce marché ultra concurrentiel des jeux tactiques free-to-play.

Par Kuk