Gamescom 2017

Chaque année, le salon allemand grossit, se renouvelle, et chaque année il nous propose une véritable odyssée du jeu vidéo. Beaucoup trop de stands, beaucoup trop de jeux à essayer, beaucoup de trop de personnes à rencontrer. C’est simple, si on le pouvait, on resterait un mois dans le couloir du salon de Cologne. Mais au lieu de ça Kuk, Angi et Manoloben, nous courrons, courrons de rendez-vous en rendez-vous, de présentation, de preview, et autre discours informel. C’est une véritable expérience que de vivre ce salon, mais c’est aussi éprouvant. Plus de centaines d’articles à écrire, alors qu’en général Air-Gaming tourne à une dizaine d’articles par semaine (indie oblige, on a tous un métier en plus).

Alors forcément on a pris un peu peur cette année quand le communiqué de presse nous annonçait une année spéciale. Les 10 ans de la GamesCom, ça se fête! Mais que vont-ils nous réserver d’encore plus grand?

Cette semaine est vraiment spéciale, donc surtout : suivez-nous pour ne pas en perdre le fil!

Articles

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(Gamescom 2017) Huntdown, des punks et des guns sur Switch

Quand on est passé devant le stand de la Sweden Game Arena dans la zone businessde la Gamescom 2017, on a remarqué une borne d’arcade. Avec Manoloben, on a flairé le piège à journalistes. Et c’est donc en ricanant qu’on s’est approchés en se disant qu’on ne la faisait pas à des vieux routiers comme nous. Trente minutes après, nous étions toujours collés aux sticks.

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(Gamescom2017) Kingdom Come: Deliverance, la guerre médiévale c’est pas joli

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Kingdom Come: Deliverance est un des jeux PC qui nous attirait le plus à la Gamescom 2017 (et d’autant plus depuis que nous avons fini The Witcher III pour tout dire). Un titre qui nous vient de Warhorse Studio. Celui-ci nous place dans le contexte historique de guerres fratricides dans la Bohème du début du XVe siècle.

Nous avons pu prendre les commandes du protagoniste sur une PS4 Pro. A ce moment de l’aventure, ce dernier est au service d’un des barons locaux. C’est à ce titre qu’il est envoyé avec un détachement de soldats enquêter sur l’attaque d’un village par des bandits. Un des pillards est probablement l’un des mêmes responsables de la mort des membres de votre famille et de l’attaque de votre village.

C’était donc une bonne occasion de tester les commandes, ainsi que le moteur 3D de Kingdom Come: Deliverance. On sera donc encore indulgent sur le framerate qui tournait autour de 30 images seconde (selon un indicateur à l’écran), ainsi qu’au sujet du clipping, omniprésent.    

Notre partie nous a donné à voir un univers particulièrement vaste et détaillé. Les déplacements – avec un cheval – étaient assez réalistes (et donc moins permissifs qu’avec The Witcher III). Sur les lieux mêmes de l’attaque, nous constatons le massacre de chevaux et de personnes qui avaient essayé de les protéger. Nous avons à discuter avec les différents témoins. Pour cela, il faut d’abord les trouver dans le périmètre de la zone (aucun marqueur n’était affiché dans le jeu pour nous orienter, pour moi c’est plutôt bon signe). Selon vos aptitudes ou le ton employé, les réponses ne sont pas les mêmes. Et vous pourrez apprendre plus ou moins de choses.
Dans cette quête, il semble que les bandits sont venus pour tuer uniquement les chevaux. Après une dispute, il semblerait que la bande se soit divisée en deux groupes, l’un s’étant enfui dans la forêt. Là aussi, les choix pour résoudre cette quête étaient ouverts, et vous laissent une assez grande marge de manœuvre.

On n’est certes pas encore complètement rassuré sur le rendu technique (notamment sur console). A l’inverse, on a été particulièrement intéressé par le monde ouvert qui semble assez vaste, et où les possibilités d’action paraissent assez diversifiées. Le ton des dialogues, dans un contexte historique, donne un caractère particulièrement adulte et mature. Du côté de Kingdom Come: Deliverance, notre attente est maximale !

 

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(GamesCom 2017) Splasher en met partout!

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C’est encore une fois chez Playdius qu’on a pu essayer une conversion sur Switch d’un jeu vraiment convaincant (désolé, on ne l’avait pas suivi sur PC, on regrette!). Le dénommé Splasher, fruit du cerveau malade qui a donné naissance au merveilleux niveau de Rayman Legend et de développeurs talentueux. Splasher bien qu’il soit « indé » – graphisme épuré, enchainement des niveaux sans énorme cinématique et sans musique de John Williams ? – il a tout du bon jeu, un rythme frénétique, des niveaux léchés au pixel prêt, et des mécaniques riches. Votre homme aidé de ce canon à « peinture » pourra déjouer les pièges, les ennemis et autres embuches. Les différentes couleurs de peinture vous donnent des habilités particulières (rebondissante, collante, nettoyante) afin de vous frayer un chemin. Le titre pourrait paraitre simpliste, mais au fond se cache un level design parfait pour les speed-runner en herbe, chaque ennemi ou piège peut être passé de façon optimale afin de grappiller quelques secondes au chrono. Même si je ne suis pas grand fan de ce type de scoring, je trouve cela particulièrement bien fait. Ça permet à la fraction de joueurs adeptes de compétition de multiplier la durée de vie. Splasher est prévu sur Switch – on l’a testé sur la console de développement – on attend avec impatience sa date de lancement.

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(GamesCom 2017) BombSlinger, quand les Cowboys jouent avec la TNT sur Switch

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TOI AUSSI LUTTE CONTRE LES BELIERS DE L’ENFER! 

Avant toute chose, j’aimerais présenter mes plus sincères félicitations au développeur de Mode4 Game qu’on a rencontré, car il a eu le courage de nous avouer qu’il avait bossé sur Koh-lanta le jeu… il n’avait visiblement aucune séquelle apparente. Trêve de plaisanterie, on était sur le stand des indépendants Belges pour tester BombSlinger sur Switch, ce n’était pas prévu (j’ai vu la lumière, Kuk a vu la Switch).

Quelle grande idée nous a pris. Le titre, un Bomberman-like enrichit en Western et Spaghetti, il nous propose au travers de modes Solo et Multi de déployer quelques barils de TNT afin d’exploser joyeusement vos collègues et/ou ennemis. Comme je fais cet article un mois après une Gamescom riche en rendez-vous et un cahier de notes absolument atroce à relire, je vais pour une fois juste vous donner un feeling. J’ai apprécié ce jeu! C’était simple, mignon avec de jolis pixels, et surtout ça remplace tranquillement le mauvais Bomberman de la Switch. On a pu jouer à 3/4 avec les développeurs sur Switch, c’était un régale! Le mode solo lui était plus classique (et facile au début), même si les ennemis des derniers niveaux ont l’air plus amusants à affronter. J’attends donc pour le juger définitivement sa sortie qui devrait être prochaine.

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(Gamescom 2017) Dans Moonlighter, aventurier ça peut payer !

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Moonlighter est un jeu qui sera édité par 11 bits studio. Avec ses gros pixels et son concept proche d’un Children of Morta, il s’agit d’un action-RPG en 2D en préparation sur Steam, Xbox One, PS4. Reste que le jeu, développé par Digital Sun Games, a tout de même des caractéristiques qui lui sont bien propres.

Si les donjons conservent cette représentation 2D chère à nos cœurs, ils intègrent des fonctionnalités et une maniabilité plus proche d’un Zelda III que d’un rogue-like moderne. En effet, on explore ici une succession de petites salles dans lesquelles il faut liquider des monstres, mais en observant bien leurs techniques d’attaque, de défense et de déplacement. Pas toujours évident.

Du coup, à la Gamescom 2017, nous avons débuté l’aventure par le tutoriel, assez long et assez bien fait, qui vise à nous faire intégrer toutes les principales fonctionnalités et possibilités du jeu.

Mais l’aventure ne se limite pas à cela bien évidemment. Vous devrez, au cours de vos missions d’exploration, récupérer des matières premières pour réaliser les objets que vous mettrez en vente dans votre boutique. Car dans Moonlighter, vous devrez surtout développer votre commerce. C’est d’ailleurs vous qui aurez à prendre soin de votre clientèle, en proposant un prix sufisamment attractif, mais avec des bénéfices à la clé. 

Le village vous sert de base. C’est là où vous avez votre magasin. Vous avez aussi accès à d’autres marchands chez qui vous pourrez acheter du matériel plus performant.

Finalement, le jeu développe peu l’aspect scénaristique, mais beaucoup plus l’accumulation d’objets et d’expérience. Du coup, la Gamescom n’était peut-être pas le meilleur endroit pour vivre une bonne expérience de jeu, avec une partie évidemment trop courte. 
Résolument, Moonlighter est à surveiller, en espérant que les développeurs réalisent une version Switch, chose qui est encore en discussion.

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And the Winner 2017 is

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C’est dans une salle cloisonnée, sombre et sentant le renfermée (mon bureau) qu’eu lieu le tirage au sort du super concours clôturant notre troisiversaire. Le public en masse (mon chat) miaula son approbation quand fut tiré au sort parmi les concurrents les trois gagnants. Oui, vous avez bien entendu : 3 gagnants.

Pourquoi 3? Ça ne pouvait en être autrement en faites, nous avons fait 3 concours (le Pokemon en court ne compte pas), nous fêtions nos 3 ans, il fallait donc continuer. Il y a donc un gagnant pour le superbe lot comprenant la 2DS, 2 jeux et divers goodies. Mais aussi un gagnant d’un petit cadeau collector pour avoir fait l’effort de partager notre actualité, et pour finir une sorte de prix spécial du jury.

Qui sont-ils? (Je gagne encore quelques lignes et je vous le dis) Déjà, ils font partie de la caste des gens bien, ils aiment Air-Gaming. (Environ 15% n’aimez pas/plus la page au moment du tirage au sort). Ensuite, ils ont osé donner le code dans se tromper (1% n’ont pas réussi). Mais surtout, ils sont les zélus grâce à la moulinette magique, grande tireuse au sort parmi les grandes tireuses au sort – j’ai nommé le random (aléatoire pour les non anglophone – Sauf le prix spécial du jury, ça va de soi).

Le premier, c’est Eiki, Eiki a aimé notre page il y a 4 mois déjà. Il est visiblement un sacré joueur de MMORPG. Eiki gagne le prix spécial du jury, car il a trouvé le Konami Code assez rapidement. Son cadeau, un jeu à choisir parmi une petite liste.

La seconde, car il fallait bien une fille dans ce groupe de gagnants : Anaïs. Anaïs aime Air-Gaming depuis quelques semaines. Elle va gagner (et nous détester au passage!) un cadeau collector provenant de la Gamescom 2017. Un truc que personne n’a (ou ne veut avoir, on ne sait pas trop!), on vous en parlera plus tard pour garder le suspense.

Quant au dernier, the winner : David aime notre page depuis plus d’un an, presque un précurseur. Lui gagne la box, celle qui contient une 2DS, 2 jeux, un Amiibo introuvable et d’autres goodies. On le félicite!

On espère pouvoir remettre ça à Noël, mais pour ça il faut que vous continuiez de nous suivre, afin que les éditeurs/agences de communication nous suivent aussi dans nos idées folles de concours, comme avait pu le faire Cosmocover il y a un an déjà. Moi et toute l’équipe d’Air-Gaming vous remercions pour votre participation. On est très fière de pouvoir continuer à vous donner une information sans trucage, sans publicité, sans publirédactionnelle, et sans influenceurs. On est un peu le Bio du jeu vidéo tout bien réfléchi…

 

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(Gamescom 2017) Children of Morta, le rogue des familles

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On ne le redira jamais assez, la Gamescom nous donne l’occasion de voir la production de petits studios du monde entier. Nous avons pu rester un petit moment lors de la présentation presse du stand de l’Indie Arena Booth dans le Hall 10.1, notamment chez les Polonais de 11 bits Studio qui présentaient deux jeux qu’ils vont éditer normalement courant 2018.

Children of Morta, est un jeu développé par Dead Mage. Il s’agit d’un jeu d’exploration et de combat, aussi bien en solo qu’en coopération. La famille Bergson vit sur la montagne Morta, gardiens anonymes des souterrains qui s’étendent sous leurs manoirs. Une bonne occasion donc de nous faire profiter des souterrains générés aléatoirement pour des séries d’expéditions qui nous font explorer ce dédale de plus en plus profondément.

La présence d’une famille nombreuse donne un choix de classe assez habituel, mais suffisamment varié : six personnages étaient sélectionnables (du père au petit dernier), pour différents types de combattants : main nue, magie, épée/bouclier, lance, marteau, arc. Chaque personnage dispose également de pouvoirs spéciaux ainsi qu’un arbre de compétence dédié. La construction d’objets et l’amélioration constante de vos armes sont également à l’honneur même si nous n’avons pas testé ces possibilités.

Les donjons sont assez grands mais se présentent en zones délimitées dont on active certaines portes. Globalement, cet artifice nous permet de nettoyer zone par zone. Du coup les combats s’enchaînent particulièrement bien et de manière fluide. Les ennemis étaient assez variés et disposaient de paternes spécifiques. On a pu constater la présence de quelques pièges, qui pouvaient être judicieusement utilisés à son avantage contre les hordes de monstres.

Children of Morta se joue à un ou deux joueurs « uniquement ». A titre personnel, je l’aurais bien essayé avec un nombre plus important, car le jeu semble bien s’y prêter.

Bref, combiné a un pixel art de qualité et une très belle animation, c’est indiscutablement un titre qu’on attend. reste à découvrir l’ensemble du scénario et les interactions des personnages. Pour le moment, Children of Morta est prévu pour PC, Xbox One, Playstation 4, on espère bien sûr une version Switch et PS Vita.

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(Gamescom 2017) Dead & Cells, la mort comme éternel recommencement

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Le stand public de l’Indie Arena Booth dans le Hall 10.1 à la Gamescom 2017 a été pour nous l’occasion de rencontrer bon nombre de petits studios. Il est toujours paradoxal pour un média français de faire tout ce chemin pour rencontrer… d’autres Français, en l’occurrence ici une partie de l’équipe du studio Motion Twin pour le jeu Dead & Cells. C’était aussi l’occasion d’essayer le jeu lui même qui commence maintenant a faire un peu de bruit.

Dead & Cells se présente comme un jeu de plates-formes/RPG dans un univers médiéval fantastique dont les niveaux sont générés de manière procédurale.

Une partie de l’arbre de compétence était déjà pré-sélectionné. Nous choisissions entre un bouclier ou un arc comme équipement secondaire, et à nous les donjons. Le jeu est très nerveux, on enchaîne facilement coups d’épée, magie, « dash », arme secondaire (etc.) pour essayer de progresser le plus loin possible. Avant de mourir, puis de recommencer en ayant gardé une partie du butin accumulé.

Un jeu qui s’inspire de tout ce qui a pu se faire de Castelvania à Rogue Legacy. Classique en somme, mais particulièrement bien réalisé. La direction artistique est vraiment superbe, avec un pixel art très impressionnant, et surtout combiné à une animation particulièrement fluide.

Dead & Cells est encore en version early acess sur Steam, les retours étant particulièrement positifs. Si pour le moment le studio se concentre sur cette version, les membres de l’équipe présent à la Gamescom étaient particulièrement intéressés pour l’adapter sur d’autres supports, notamment la PS Vita et la Switch. Chez Air-Gaming, on a été conquis. Nous attendons les versions portables avec impatience !

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(Gamescom 2017) The Flame in the Flood, fait monter la pression…de l’eau sur Switch.

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Sur le stand de Curve Digital, à la gamescom 2017, nous avons également eu la possibilité de prendre en main The Flame in the Flood, qui nous arrive sur Switch (après les versions Steam, PS4 et Xbox One). 

Vous incarnez une jeune fille et son chien dans une région désertée en proie au dérèglement climatique. Le niveau de l’eau ayant drastiquement augmenté, vous partez à la recherche de la dernière antenne radio qui émet encore, signe d’une présence humaine. Vous voilà à voyager d’une zone émergée à une autre, via des bateaux de fortune. Vous aurez à explorer les mini-niveaux de terres fermes, tout en évitant ou combattants les animaux sauvages qui vous guettent. Ces phases de recherche sont surtout l’occasion de découvrir et de fabriquer les objets nécessaires à votre survie.

Le jeu bénéficie d’une direction artistique d’assez grande qualité et originalité. Celle-ci est véritablement magnifiée par l’écran et la résolution de la Switch en mode portable. Les commandes, notamment lors des déplacements en bateau, répondaient plutôt bien, même si il y a véritablement un coup a prendre.

Alors bien sûr, reste à savoir si les mécaniques de The Flame in the Flood arrivent à nous captiver durant tout le temps de jeu. Pour répondre à cette question, on attend de voir si la Complete Edition en version Switch tiendra ses promesses.  

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(Gamescom 2017) Away, le Skyrim Switch pour petits et grands

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Lors de la Gamescom 2017, on pu tester sur le stand de Playdius la version Switch d’Away Journey to the Unexpected. Il s’agit d’une sorte d’action-RPG en vue subjective, façon FPS, dans un univers entre heroic fantasy et contemporain décalé. Vous êtes en effet dans la peau d’un petit garçon qui découvre un monde étrange dans la cave de sa maison…

Nous avons donc eu accès au premier monde, une sorte de prairie verdoyante (oui, oui dans la cave…) qui, globalement, était une sorte de grand « hub », où quatre donjons étaient accessibles. C’est également ici qu’on peut s’équiper dans une boutique ainsi que recruter des alliés. Ceux-ci sont assez nombreux, mais seul un nombre limité pourra vous accompagner. Mais pour cela, il faudra valider des dialogues de recrutement et faire des propositions que les alliés jugeront intéressantes.

Les donjons se présentaient comme des petits labyrinthes générés de manière procédurale. Le but était d’actionner un levier au fond de trois des donjons pour avoir accès au quatrième.

Les graphismes sont vraiment superbes, très décalés, on sent le côté rêveur du petit garçon (comme avec cette machine à laver qui émerge dans un puits de lave). Autre élément de très bon goût, on alterne entre le héros et ses alliés, chacun dispose d’une arme spécifique (classique) mais aussi une représentation/vision différente (et ça c’est déjà plus innovant) : un vieux magicien à lunettes, alcoolique, a des verres cassé (au début j’ai cru que l’écran avait un problème…), l’arbre teigneux qui veut combattre a une vision sépia etc. 

La maniabilité semblait assez correcte, même si comme souvent les environnements étroits pouvaient créer quelques petit soucis de visibilité. 

Away Journey to the Unexpected est particulièrement prometteur et ambitieux pour la Switch qui manque cruellement de titres d’envergure.

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(Gamescom 2017) Deep Sky Derelicts, personne ne vous entendra chercher dans l’espace…

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Nous avons eu l’occasion d’essayer, en avant-première lors de la Gamescom 2017, Deep Sky Derelicts du petit studio Snow Hound, édité par 1C Compagny. Il s’agit d’un jeu de rôle au tour par tour dans un univers futuriste décadent. Vous êtes un citoyen de seconde zone vivant dans l’espace, à qui l’on promet une pleine citoyenneté et un retour sur Terre, en échange d’informations sur un légendaire artefact alien.

Vous voilà parti explorer les confins du secteur Deep Sky, notamment tous ses vaisseaux abandonnés. Ceux-ci se présentent sous la forme de zones à explorer représentées par des cases. Seules certaines d’entre elles intègrent des éléments d’action (discussions avec des personnages, découverte d’objets, combats, etc.). Chaque déplacement vous coûtera une certaine quantité d’oxygène, si vous arrivez au bout de vos réserves c’est la mort assurée. Chaque vaisseau est généré de manière procédurale pour conserver une certaine rejouabilité. Les personnages que vous pourrez recruter auront un type de classe spécifique et un arbre de compétence personnalisé.

Honnêtement, les mécaniques sont assez classiques. On parle de ce projet, prochainement en early acces sur Steam, car il pourrait tout à fait être porté sur tablettes et Switch. On ne peut préfigurer de l’écriture du scénario comme des dialogues, ce qui est fondamental dans ce type de jeu. En revanche, on a particulièrement apprécie la qualité du design des personnages comme des décors qui lui confèrent une personnalité, très orientée BD. Bref, on en attend plus pour juger, mais en raison de tous les aspects évoqués dans cet article, on garde un œil sur Deep Sky Derelicts.  

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(Gamescom 2017) Haimrik, le pouvoir des mots et du sang

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Lors de la Gamescom 2017, j’avais fait ma petite liste de ce que je voulais voir. En regardant les images, j’avais mis Haimrik dans le peloton de tête…avant de le rabaisser dans ma liste après avoir vu le principe du jeu dans des vidéos de présentation. Sur le stand de l’éditeur 1C Compagny, le développeur était juste a coté de moi, alors de guerre lasse j’ai fini par l’essayer… grand bien m’en a pris.

Haimrik est un jeu un peu particulier. Il s’agit d’un jeu d’aventure/action où un jeune garçon commande directement les mots de son aventure. Ceux-ci sont écrits juste en dessous de lui et il peut en choisir certains pour directement les utiliser. Ainsi, en sélectionnant « épée » il pourra faire apparaître la dite épée. Bien sûr, à lui aussi de les combiner dans un ordre précis. Par exemple les mots poudre, baril et feu pour avoir une bombe.

Ce principe même de gameplay m’avait rebuté de prime abord. Au final, il fonctionne vraiment très bien. Le « die and retry » étant particulièrement bien maîtrisé. Surtout grâce à une histoire assez drôle, violente et sanglante. D’ailleurs, les graphismes style BD collent parfaitement au gameplay. Seul élément de couleur, le sang qui éclabousse de manière régulière l’écran.

Pour essayer de diversifier un peu le gameplay, un certain nombre de minijeux ou de QTE ont été intégrés. Leur maniabilité ne m’a pas toujours semblé parfaite, mais ils ont le mérite de diversifier un peu les missions.

Au final, j’ai passé un très bon moment. A voir si Haimrik garde sa fraîcheur et son intérêt sur la durée, mais pour moi il reste à surveiller. Le jeu est encore en développement sur PC et très clairement, il irait très bien sur tablettes et portables. Malheureusement, Nintendo à demandé trop de modifications au jeu en l’état (pas de sang, pas de mot grossier, etc.). Mais qui sait, peut être qu’un chiffre de vente conséquent sur Steam pourrait leur faire changer d’avis.

A noter que le jeu est uniquement en anglais. Quand on voit que certains « serious games » essayent de faire apprendre les langues étrangères avec des jeux sans saveur (oui j’en ai aussi testé mais je ne ferai pas d’article…), donner plutôt ce type de jeux à vos ados, ça les fera certainement progresser !

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(Gamescom 2017) Neuro Voider shoot sur Nintendo Switch

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On connaissait déjà Neuro Voider dans sa version Steam/consoles (PS4, Xbox One). Du coup, nous étions curieux d’essayer la version Nintendo Switch à la Gamescom 2017.

Pour rappel, dans Neuro Voider, il est question de quatre cerveaux qui sortent de leurs cuves pour prendre possession de robots dans un monde cyber-futuriste pour lutter contre le maître Neuro Voider… Bref un prétexte pour orienter ce shoot-RPG vers une combinaison hack and slash, collecte de butin et améliorations.

Indiscutablement, le jeu se prête très bien à une version portable. Le rendu est là, la maniabilité des deux sticks semble assez bien fonctionner.

Pour l’occasion, Hama Doucouré, responsable presse de l’éditeur Playdius, s’est prêté au mode coopératif avec une Switch posée sur une chaise et nous deux assis par terre avec un Joycon à la main. Finalement, on a été assez surpris de voir que ça fonctionnet plutôt bien avec les demi-manettes de la Switch. Cette petite réussite est surtout due à une concession. En effet, contrairement aux versions déjà disponibles, il y a désormais un lock automatique des ennemis. Le jeu est donc sympa pour quelques sessions. L’écran reste malgré tout trop petit pour qu’un usage de longue durée soit agréable. Cela reste honnête, mais il semble que le réseau local – sur deux ou quatre Switch distinctes donc, puisqu’on peut jouer jusqu’à quatre – proposera un meilleur confort de jeu. 

Neuro Voider semble vraiment prometteur dans sa version portable Switch, même si à titre personnel, on aurait tout autant souhaité une version PS Vita.

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(Gamescom 2017) Stand-Alone, Dishonored 2 est sauf

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C’est dans une salle bien cachée du stand Bethesda qu’on a pu prendre en main Dishonored 2 : La Mort de l’Outsider durant une petite heure. La souris en main, bien installé dans un fauteuil pour Gamer, il a fallu réapprendre à jouer au combo clavier-souris (mon dernier jeu en vue à première personne est Skyrim). Afin que l’on puisse s’amuser rapidement, le titre nous lance dans la campagne principale, campagne où Billie Lurk une tueuse redoutable et habile se donne pour mission de tuer l’Outsider, juste le personnage clé (et ultrapuissant) de l’histoire des Dishonored qui donne successivement à Corvo et Emily leurs pouvoirs. C’est une nouvelle histoire, une nouvelle héroïne, et de nouveau pouvoir que ce stand-alone va vous proposer.

Première mission indiquée par un cercle, trouver un document. Bien évidemment celui-ci sera derrière une porte fermée. À vous de trouver la porte arrière gardée par deux chiens, ou encore de berner les gardes pour qu’ils vous ouvrent. Pour vous aider dans cette mission Billie, possède de nouveaux pouvoirs et armes. Le premier pouvoir des trois disponible dans la session était un système de téléportation sur de courtes distances. Le second vous permettra de voir au travers des murs dans une pseudo vision astrale. À vous les joies de marquer vos cibles pour pouvoir plus facilement les traquer. Et pour finir, celui qui nous a permis de facilement avancer dans cette session de jeu, un pouvoir permettant de prendre l’apparence d’une personne afin de passer inaperçue. C’est assez pratique et ça permet dans bien des cas de se faire ouvrir les portes.

Mais Billie comme tout bon assassin possède des armes redoutables, le premier est un Voltaic Gun sur son avant-bras bien pratique pour se débarrasser à distance de ses ennemis. En plus il s’offre le luxe d’avoir différents types de munitions (électrique, incendiaire, voltaïque). Avec des effets plus ou moins intéressants, les gardes peuvent prendre feu par exemple. Mais elle a aussi tout un tas d’objets dans sa besace, grenade Hyperbar, ou encore Mine Electric. Pratique quand on a besoin de fuir une zone de combat. Car oui, le jeu est difficile pour qui voudrait faire le bourrin. On a dû recommencer bon nombre de fois une scène ou quatre gardes vous tombent dessus si vous ne vous dissimulez pas correctement.

Pour ce qui est de la trame principale, et des activités secondaires, on a pu constater la nécessité d’exécuter les 22 chefs de Gangs de la ville, mais rien à propos de l’Outsider ici. De plus, bon nombre de messages document, sont prétexté à des quêtes Fedex un peu rébarbative. Mais bon, le jeu étant tellement bon dans ses phases d’infiltration qu’on lui pardonnera ce genre d’astuces pour augmenter la durée de vie. En une heure, on a eu le temps de visiter 3 maps en parti sans trop fouiller, et de tuer 3 chefs de Gang, cela grâce à la rage de Billie qui manie l’épée et son arbalète comme personne.

Dishonored 2 : La Mort de L’Outsider, plaira sans aucun doute à ceux qui ont « retourné » l’un des précédents. On peut aussi espérer qu’ils répondent à quelques questions sur le monde surnaturel qui entoure la série. De plus, la mission même de tuer littéralement un dieu (malin-génie) comme l’Outsider est vraiment grisante, on espère réellement des moments d’anthologie dans ce stand-alone. Réponse : demain, le 15 septembre sur Xbox One, PlayStation 4 et PC.

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(Gamescom 2017) Le saint GRAAHL : Of Feather and Grit à la Gamescom

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C’est dans l’Indie Garden de Cologne (un espace de 3 mètres sur 3 pour promouvoir la production indépendante) qu’on a pu retrouver nos petits Français de chez Swing Swing Submarine. Ils nous présentaient leur dernier jeu : Graahl : Of Feather and Grit, un jeu multijoueurs dit « stratégie narrative ». Pour ma part, ça m’a fait furieusement penser à un jeu de plateau comme Walking Dead. D’ailleurs on nous avoue qu’avant d’être un proto, le jeu a été testé en mode papier… comme quoi on n’était pas si loin.

C’est durant une session de 30 minutes qu’on a pu prendre en main avec un chapeauté rédacteur de Gameblog le titre des Montpelliérains. Le soft étant un prototype (débuté il y a un mois), on excusera donc les petits glichs en jeu.

Après quelques minutes, on prend ses repères. On y dirige une équipe de personnages possédant ses propres caractéristiques de force, d’intelligence et de chance. Ces attributs serviront dans le jeu pour accéder aux observatoires (on revient dessus un peu plus tard – mais c’est le « but » du jeu) ou vérifier votre capacité à combattre. Car oui, dans ce jeu de stratégie semi-coopératif, vous aurez quelques opportunités pour taquiner vos amis dans des parties allant jusqu’à 4 joueurs.

Mais encore ? Quel est réellement le but de ce titre au nom bizarre ? Trois fois rien, vos équipes devront réussir à accéder à trois observatoires, chaque observatoire fournira une pièce du « puzzle ». Et nos bons hommes ont besoin d’avoir trois pièces pour trouver leur ultime salut sur l’île indiquée par ces pièces. Les observatoires seront aléatoirement disposés sur les différentes planètes du jeu qui sont elles-mêmes générées aléatoirement et indéfiniment. Pour cela, ils devront visiter d’autres lieux afin de gagner en intelligence, en force, en chance, subir des événements aléatoires, récupérer de l’énergie pour aller vers d’autres planètes ou encore recruter quelques membres d’équipage. Le monde de Graahl est surprenant, car totalement différent de nos conventions, ici les planètes sont des sortes d’îles flottantes sur lesquelles vos membres d’équipages pourront se rendre. Chaque joueur, chacun son tour place ses membres d’équipage sur une zone. Puis une fois le tour de chacun défini, le jeu exécute les combats – en cas de multiple joueur sur le même lieu – et la partie narration. Les combats sont sommaires, ils ne font que comparer un attribut aléatoirement choisi, pour la partie narration, c’est déjà un peu intéressant. On retrouve le côté Out There (ou Livre Dont Vous Etes le Héro) avec des prises de décisions. Celle-ci influençant le déroulement de l’histoire, vos statistiques, votre alignement (bon, hors-la-loi), ou vos capacités (Pilot, Borgne). Ces éléments qui auront eux-mêmes une influence sur la suite de la partie. Et une fois leur quête commune exécutée, les divers membres se rendront sur leur ultime planète pour s’y installer et fonder une communauté. On nous informe que la fin de partie sera déterminée par les événements précédents. Ainsi si les personnages finissent hors-la-loi, ils pourront fonder une sorte de dictature sur leur île, etc., etc.

Pour Swing Swing Submarine, une partie de Graahl : Of Feather and Grit devrait durer 20 minutes, mais rien n’empêche les joueurs de faire trainer en n’allant pas chercher les pièces du puzzle dans les observatoires.

Bien évidemment le jeu étant un prototype, il s’améliorera et s’étoffera avec le temps. À voir donc dans quelques mois. Il est pour le moment prévu sur PC. Même si, de mon point de vue, il se marierait parfaitement à la Switch… Wait & See…

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(Gamescom 2017) InnoGames fait le point sur ses jeux mobiles

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Nous avons été reçus par InnoGames lors de la Gamescom 2017. Cette société est surtout connue comme développeur/éditeur de jeux de stratégie sur navigateur Internet, ensuite adaptés sur smartphones et tablettes. Leur catalogue comprend maintenant six titres depuis 2007. Le premier à avoir sa version iOS/Android a été Forge of the Empire puis Tribal Wars 2.

Cette année, InnoGames tenait à donner des nouvelles à son public français, en 3e position en termes de part de marchés, ce qui représente 10% de l’argent dépensé par les joueurs dans ses jeux (après les Etats-Unis et l’Allemagne). Aujourd’hui, les projets d’InnoGames se résument en deux points.

D’abord par l’acquisition de titres, le premier étant Warlords acheté à la société Wooga en février 2017 et qui s’inscrit dans le portfolio de jeux de gestion déja détenu par InnoGames. De nombreuses modifications de gameplay et de mécanique de jeu sont prévues, si bien que le jeu a été rebaptisé en Warlords of Aternum. Cette version porpose notamment une redistribution d’experience entre les unités plus équilibrée, mais aussi en ce qui concerne vos champions.

Par ailleurs, la société développe au moins deux titres en interne directement pour les téléphones portables, notamment via son studio de Dusseldorf. Normalement annoncés courant 2017, ils pourraient être disponibles un peu plus tard.

Un rendez-vous qui indiscutablement nous amènera à prendre des nouvelles d’InnoGames, car comme on peu déja le prévoir, beaucoup d’annonces pour détailler tout cela seront publiées dans les mois qui viennent. 

 

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(Gamescom 2017) Des jeux NIS America pour notre PS Vita/Switch en 2017 et 2018

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TOKYO TATTOO GIRLS, IL FALLAIT OSER, JE SUIS FAN ! 

C’était une sympathique piqûre de rappel effectuée par Nis America. Durant plus d’une heure, nous avons pu voir et discuter des jeux à venir pour cette fin 2017, mais aussi pour 2018. C’était aussi l’occasion de comprendre à quel point certains font l’effort de sortir des titres sur PS Vita et nous de les remercier. Voici les titres présentés :

YS VIII : Lacrimosa of Dana, prévu pour le 15 septembre sur PS Vita, PS4 et PC. Les versions PC et PS4 étant des conversions de la version PS Vita, elles ont le droit à quelques éléments en plus (zone de combat plus grande, chapitres et donjons supplémentaires).

Danganronpa V3 : Killing Harmony est prévu pour le 29 septembre sur PS Vita et PS4. La nouvelle version de Danganronpa, jeu complètement barré mettra en scène Monokuma et ses enfants, et le jeu sera sous-titré en français.

– On continue avec Culdcept Revolt : le célèbre jeu de cartes sera disponible sur 3DS le 6 octobre. On a déjà réservé notre édition collector. ?

– Le 13 octobre, c’est au tour de Touhou Kobuto Burst Battle sur PS4, PS Vita et … Switch, on essayera de le tester sur cette dernière.

– Octobre toujours, le jeu qui stresse et met l’angoisse, nous avons nommé Yomawari Midnight Shadows. suite de Yomawari: Night Alone, la recette semble la même. Il sera disponible à partir du 27 sur PS Vita, PS4 et PC.

– Mon chouchou débarquera le 17 novembre, j’ai nommé Tokyo Tattoo Girls, un jeu où il faut tatouer vos héroïnes pour leur donner des pouvoirs/boosts! Je suis déjà fan. Disponible sur PS Vita et PC.

– 17 novembre toujours, on aura la chance d’avoir sur PS Vita et PS4 la suite du formidable Demon Gaze, le bien nommé Demon Gaze II. Du dungeon-RPG comme on aime !

– On n’oublie pas 2018, avec en prévision The Longest 5 minutes sur Switch, PS Vita et PC. Mais aussi Penny Punching Prince$$ sur les mêmes plates-formes.

Ça va être dur de suivre tant le nombre de sorties pour cette fin d’année est énorme ! Si avec ça vous ne trouvez pas votre bonheur, je ne sais plus quoi faire.

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(Gamescom 2017) Gwent: The Witcher Card Game en mode campagne

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Pour rappel, Gwent: The Witcher Card Game est tiré d’un mini-jeu de cartes issu de The Witcher III. Cela fait maintenant presque un an que le jeu est en bêta fermée et va être disponible assez prochainement sous forme de jeu complet en free to play.

La présentation de CD Projekt Red visait d’abord à nous présenter leurs volonté d’intégrer pleinement l’e-sport. D’abord avec le premier championnat qui a eu lieu à la Gamescom et qui sera amené à être renouvelé (notamment pour la Paris Games Week par exemple). Dans la continuité de cette logique, au moins trois types de tournois à différentes échelles sont prévus avec également des lots de plus en plus importants : 25 000€, 100 000€ et 250 000€…  

Beaucoup plus intéressant pour nous, le lancement prochain du mode aventure, ou Thronebreaker Campaign. Celle-ci vous mettra aux commandes de Meve, reine des deux royaumes du nord, Lyria et Rive, un personnage évoqué dans la série The Witcher et notamment dans le DLC Bood and Wine (et plus précisément durant l’épisode du tournoi). Dans la chronologie de la saga, il prend place un peu avant les événements de The Witcher III et suit en parallèle les événements évoqués dans cet épisode.

On nous a présenté le tout début du jeu où la reine revient sur ses terres après quelque temps d’absence et doit faire face à des bandes de brigands.  Ce mode se présente un peu comme un Might and Magic, vous déplacez votre personnage sur une carte où vous pourrez récolter des trésors et déclencher des combats de carte Gwent. Les dialogues sont à choix multiples et ont un impact sur l’aventure et les embranchements disponibles durant les phases d’explorations.
Vous pourrez modifier votre deck dans votre camp où les bâtiments vous permettent certaines modifications (création de carte, entraînement, présentation de vos alliés recrutés, etc.). Sachant que les bâtiments sont améliorables.

On est un peu circonspect sur la manière de nous vanter le côté exploration qui nous faisait surtout suivre une route… De même, le déplacement de votre personnage était un peu poussif. En revanche, la réalisation graphique en 2D est vraiment superbe. Les dialogues sont eux aussi toujours aussi matures et profonds. Pour le coup, on attend vraiment de tester la version finale avec impatience, avec les derniers ajustement de gameplay, de nouvelles factions et bien sûr ce mode aventure.

Vous vous doutez bien qu’on a demandé où en était la version tablette… Les développeurs ont, comme on s’en doutait, botté en touche, en précisant qu’ils se concentraient sur la sortie prochaine sur PC et console. On attendra donc l’année prochaine… en même temps que les prochaines nouvelles de Cyberpunk 2077 ?

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(GamesCom 2017) Skyrim sur Switch, vous n’allez pas en croire vos yeux!

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MOI ET MON SKYRIM ! 

La Gamescom révèle toujours son lot de surprises. Une des surprises pour moi était Skyrim Switch jouable en mode portable. Le stand Nintendo était énorme, mais pourtant Skyrim n’était pas des plus visibles. Il n’y avait qu’une file d’attente quasi-vide au bout de laquelle Skyrim m’attendait. Let’s Go !

Autant vous dire que je l’attendais au tournant. Je l’ai sur PC, j’ai installé les différents patchs de textures HD. Pour moi, Skyrim avant d’être un jeu énorme, c’est une claque graphique. Incroyable, le jeu sur Switch est très très correct. Regardez les photos dans la galerie pour vous en convaincre. J’ai tenté durant mes 10 minutes de jeu de me balader dans de nombreux lieux : la forêt, la ville, la montagne. Verdict, ils sont tous très bien rendus ! Les combats sont toujours bourrins, les sorts magnifiques. Vraiment, aucune mauvaise surprise, c’est une version que je souhaiterai avoir avec moi dans les transports. J’y passerai bien 100 heures de nouveau tant le jeu est gigantesque, épique et propose de nombreux choix. À moi la possibilité de me transformer en loup-garou dans la ligne 13, ou encore en vampire la nuit venue… Un doux rêve bientôt réalité ! Amazon annonçait initialement une date de sortie au 23 octobre, puis au 30 novembre… Et puis a tout retiré. La Fnac elle annonce décembre 2017 (tout comme Play-Asia). Ce qui est sûr, c’est qu’il ne loupera surement pas Noël.

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(GamesCom 2017) Another Lost Phone, un jeu d’interêt général ?

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C’est avec plaisir que nous avons discuté avec Elizabeth Maler, cofondatrice d’Accidental Queens durant cette Gamescom 2017. À défaut de nous fournir de nombreux éléments sur leur dernier jeu Another Lost Phone, nous avons pu avec Elizabeth Maler discuter du processus créatif. Car Another Lost Phone, comme son grand frère A Normal Lost Phone, est ce que l’on pourrait appeler un serious game. Sous couvert de jouer au voyeur dans le téléphone d’un(e) inconnu(e) (et au passage de bien faire baisser votre Karma… on l’oublie vite tant Facebook nous a appris à être de bons petits voyeurs amateurs !), les titres d’Accidental Queens traitent de sujets difficiles, voir tabous dans de nombreuses sociétés/familles. Et c’est bien ce sujet, la façon dont il est présenté, l’écriture qui sont les éléments les plus intéressants dans ce genre de titre. Afin d’en garder donc tout l’intérêt, Elizabeth Maler est restée très floue sur le contenu et le déroulement de l’histoire. C’est donc un article garanti sans « spoiler » puisque nous-mêmes ne savons rien de l’histoire à part les quelques minutes passées sur la démo !

Another Lost Phone est donc comme son grand frère un puzzle-game, comprendre par là qu’il vous faudra trouver les clés, codes et autres messages cachés contenus dans le téléphone de Laura. Dont visiblement la SIM a été retirée, mais le téléphone n’est pas formaté pour autant. C’est donc dans ses messages reçus, son messenger, ou ses notes que vous pourrez vous balader afin d’éclaircir ce mystère. Bien évidemment, nombreux éléments sont protégés par mot de passe et il vous faudra les dénicher. On pourra retrouver dans le titre certains sujets de société difficiles à appréhender pour le joueur (relation professionnelle, relation personnelle, barrières entre ses différents réseaux, isolement, dépression). Certains éléments qu’on peut retrouver dans des séries/livres comme 13 Reasons Why, même si visiblement le livre n’a pas été une source d’inspiration, je suppose que le sujet n’est pas tout à fait le même.

Globalement, Elizabeth Maler aime traiter les sujets complexes, et j’imagine qu’elle continuera tant qu’elle trouvera un sujet qui n’a pas encore été traité dans le jeu vidéo. En tant que bon investigateur, je lui ai demandé quelles étaient ses sources pour traiter des sujets si difficiles (toujours sans savoir le sujet, la conversation en était d’autant plus amusante). Les membres du studio effectuent un véritable travail de recherche auprès d’organismes spécialisés comme des associations d’aide aux personnes en difficulté. Cependant, bien que le monde réel soit leur source d’inspiration, à aucun moment elles ne situeront l’action. Une façon d’améliorer l’immersion pour le joueur qui pourra imaginer réellement avoir trouvé le téléphone près de chez soi ! L’unique référence assumée sera le groupe de musique qui a participé au titre qui pourra apparaitre dans les notes/messages. Des crédits déguisés…

Maintenant, pour être plus terre à terre, on a réellement hâte chez Air-Gaming de mettre la main sur la version finale qui on l’espère sera disponible sur les stores avant la fin du mois de septembre. Le peu que l’on a pu essayer et la durée de vie annoncée (de 1 à 5h) nous ont conquis. Bon, il faut dire qu’on était déjà fan de A Normal Lost Phone.

PS : Merci encore à Elizabeth Maler pour son temps, on échangera plus longuement la prochaine fois sur le déroulement du processus de création artistique. ?

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(Gamescom 2017) Atari dans la Tempest

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Tempest 4000 nous revient de loin, et ce n’est pas une seulement une question d’ancienneté… Car certes Tempest c’est d’abord, dans sa version d’origine, un classique des années 1980. Cependant la série doit surtout sa notoriété aux suites réalisés en 1994 sur Jaguar dénommée Tempest 2000, puis en 2000 avec l’édition Tempest 3000 sur le lecteur DVD/console Nuon. Toutes les deux ont été réalisées par Jeff Minter, un anglais grand amateur de lumière psychédélique et de musique techno… responsable du studio LLamasoft qui était jadis très proche d’Atari. Il semblerait donc que les deux sociétés aient décidé de travailler à nouveau ensemble, même si l’Atari d’aujourd’hui n’a strictement plus rien à voir avec le géant de l’époque.

Jeff Minter a également sorti en 2014 une version PS Vita sous le nom de TxK. Mais Atari s’en mêle estimant que ce dernier présente trop de similitudes avec Tempest, licence qui lui appartient. Atari fait alors arrêter la diffusion du jeu, les fans hurlent au scandale, un événement que nous avions déjà relaté. Du coup, on croyait Tempest définitivement perdu pour les joueurs (Atari ne dispose aujourd’hui aucunement des ressources pour développer un tel jeu, et encore moins pour faire un jeu de cette qualité), mais à la surprise générale un accord est passé entre les deux protagonistes, puisque Tempest 4000 est attendu prochainement sur PS4, Xbox One et Steam.

Nous avons donc rencontré Atari qui éditera le jeu, le développement étant laissé à Llamasoft. Ouf ! Nous avons pu essayer Tempest 4000 dans un hôtel proche de la Gamescom 2017. Le jeu reprend les mécaniques du jeu original, il y aura une centaine de niveaux sous forme de grilles 3D où votre vaisseau évolue sur une des extrémités et tire sur des hordes de vaisseaux ennemis arrivant à l’opposé. De l’arcade néo-rétro 100% pur jus.

Le gameplay est très proche du Tempest 2000 Jaguar, on retrouve les mêmes mécaniques. Trois modes de jeu sont annoncés : Standard, Pure et Endurance.

De même, on retrouve la patte graphique du jeu, une sorte de shoot 3D minimaliste, mais coloré et plein d’effets psychédéliques le tout en version estampillée « 4K ».

Bref, pour nous c’est un vrai plaisir de retrouver une licence typée arcade, avec une bonne actualisation graphique par son créateur d’«origine».

Il est fort probable que les amateurs de la première heure seront conquis. Reste à voir maintenant la réaction du public d’aujourd’hui, face à ce qui leur semblera être certainement un ovni.

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(GamesCom 2017) Hacktag, quand les chats jouent aux souris !

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ALIAS ET BURN NOTICE REVISITE PAR PIECE OF CAKE STUDIOS ! 

Je ne pensais pas entendre ça à la Gamescom, mais visiblement la série Burn Notice a joué un rôle dans la création de HackTag. Pour les fans de Bruce Campbell (dont moi !), ça ne peut qu’attiser leur curiosité. Nous avons pu, pendant une petite demi-heure, prendre en main le titre de Piece of Cake Studios dans la configuration idéale (c’est à dire à deux joueurs). Après des débuts difficiles – bien que la prise en main soit facile – on a pu enfin infiltrer correctement les locaux d’une méga-corporation.

HackTag est un jeu d’infiltration pour deux joueurs avec un gameplay asymétrique comme on dit dans la presse vidéoludique. Traduction : on ne joue pas de la même façon selon que l’on soit le hacker, ou l’espion. L’un se baladera de noeud en noeud dans la matrice pour ouvrir/fermer les portes voire assommer un garde au passage, désactiver les caméras, faire sonner les téléphones pour faire diversion, cracker des codes et éviter les antivirus. L’autre pourra désactiver les protections des firewalls, bloquer les antivirus, se cacher et souvent courir pour ne pas se faire arrêter. Là où les personnages vont se rejoindre (et se disjoindre un peu aussi !), c’est sur la récupération d’information, but de la mission du jour. Cependant, bien que partenaires, ils pourront se la jouer personnel et faire en sorte de récupérer un maximum d’information pour leur compte, laissant au dépourvu l’autre joueur quand, à la fin du niveau, pour réussir, il devra entrer un code secret justement trouvé grâce aux informations récoltées plus tôt. Nous n’avons malheureusement pas eu le temps de voir cette dernière phase. Les protagonistes pourront bien évidemment se faire capturer, mais le collègue aura quelques secondes pour libérer son partenaire, dans le cas contraire, c’est la fin de la partie. À noter la possibilité de personnaliser les capacités des personnages avec un choix de talents dans différentes branches afin de donner de la rejouabilité et un peu de changement tactique dans l’approche.

À ce stade, HackTag est plaisant, avec une charte graphique faisant penser à BlackSad, la BD. Il propose aussi un défi intéressant, j’en veux pour preuve notre incapacité à résoudre la première mission dite facile. Après quelques minutes, l’équipe a été mise à mal. À noter que le jeu est déjà disponible en early access sur Steam, en proposant un mode de coopération en ligne ou local. Des versions PS4, Xbox One et Switch sont annoncées sans date précise pour le moment. On espère début 2018.

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(GamesCom 2017) La PS Vita n’est absolument pas morte, on a des preuves !

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VELOCITY 2X N’EST QU’UN DES NOMBREUX JEUX EDITE PAR BADLAND GAMES SUR PS VITA!! 

C’est durant la Gamescom 2017 à Cologne qu’on a pu discuter avec David Castaño – directeur marketing de BadLand Games. BadLand Games est entre autres choses un éditeur de jeu pour PS Vita. C’est donc avec un plaisir malsain qu’on l’a interrogé sur ses futures sorties. Car oui, il y a « des » futures sorties sur PS Vita, et en version physique qui plus est.

Le premier des titres que l’on voit débarquer sur PS Vita est Velocity 2X sur le point de sortir (ou déjà disponible au moment où vous lirez ces quelques lignes) ce 25 août. En Espagne, le titre est disponible dans une édition physique avec un artbook de 24 pages pour les précommandes. Pour moins de 20€ sur Amazon.es. Ou pour les acharnés, vous pouvez le trouver dans une version bien moins intérressante chez Micromania, le seul visiblement autorisé à distribuer le jeu sur le sol français. Un autre élément trouvable sur le store espagnol, c’est la version PS Vita (physique toujours) d’Axiom Verge, prévue pour le 20 octobre et pour un peu moins de 25€. Micromania en France l’annonce pour le 30 septembre à 29,99€ mais avec un CD audio en bonus. On notera l’existence d’une version Switch au passage qui sera disponible en France aussi.

On a en bonus une information supplémentaire, mais à prendre avec de petites pincettes : Pixel Noir aurait le droit à une version physique sur PS Vita. Mais là, on n’en saura pas vraiment plus pour le moment. Le jeu est prévu pour janvier 2018.

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