Street Fighter X Tekken Gauntlet, le test sur iOS

Ne vous laissez pas avoir par le titre alléchant de Street Fighter X Tekken Gauntlet et son prix de zéro euro. En effet, ce « jeu » de Capcom n’est rien d’autre qu’une courte démonstration de Street Fighter X Tekken (lire notre test). Les contenus proposés sont extrêmement limités.

Street Fighter X Tekken Gauntlet propose de prendre le contrôle de Ruy (Street Fighter) ou de Kazuya (Tekken). Les deux têtes d’affiche doivent faire face à une vague d’adversaires ininterrompue avec une seule barre de vie et, par le dessus le marché, un chronomètre implacable de quelques dizaines de secondes. Il est possible de rallonger légèrement le compteur en remplissant certains objectifs qui se mettent à jour en temps réel pendant les affrontements. D’aucun diront que cela rajoute du piment à l’action, d’autres du stress.

La fin de la partie ? L’inévitable game over. Un score vous est alors attribué, vous permettant de comparer votre performance à celle des joueurs du monde entier. Bref, vous l’aurez compris, Street Fighter X Tekken Gauntlet ressemble à ce que pourrait être un mode totalement secondaire dans le jeu de base (il n’a pourtant pas été intégré). Il vous permettra simplement de le prendre en main, de juger la qualité de la réalisation technique et du gameplay, avant de passer éventuellement à l’achat du jeu complet. Un bon conseil (ou plutôt deux) : consultez directement notre page de test de Street Fighter X Tekken et, si le cœur vous en dit, filez sur l’App Store : il ne vous en coûtera que 2,69 €, et parfois 0,89 € en période de promotion. Pas de temps à perdre !

 

Il devrait y avoir une conclusion ici... bizarre

Street Fighter X Tekken Gauntlet

A éviter !

Mis à disposition par l’éditeur : Non

Pas d'anecdote

Medias

Les meilleures Stockage

Les meilleures Précommandes

Les jeux sûrs et pas cher

Accesoires testés et approuvés

On est vraiment désolé, mais internet et Wordpress oblige, on doit surement stocker des cookies sur votre ordinateur. Si vous n'en voulez pas, je vous invite à partir (de l'internet). Sinon, venez, on est sympa!