Roadsters Trophy, le test sur Game Boy Color

On est en l’an 2000. Mais à force de retards, Roadsters ne pouvait être commercialisé avec le millésime 1999 ! Changement de nom, donc. En fait, derrière Roadsters Trophy se cache le vénérable Crazy Cars 3 qui a connu quelques heures de gloire dans le passé sur Amiga et Atari ST. La recette est très simple : mélangez des courses illégales, des paris avec des milliers de dollars en jeu et vous obtenez un cocktail explosif !

Vous devrez participer à des courses sur les cinq continents contre des concurrents prêts à tout pour rafler la mise et froisser de la tôle. La police locale se mêle également de vos petites affaires et ne se gênera pas pour vous coller d’innombrables amendes pour excès de vitesse. Des sommes à régler cash grâce aux gains des courses et des paris. En effet, il est possible de parier une certaine somme sur votre propre victoire : un moyen de plus pour mettre la pression sur le joueur qui aura déjà bien du mal à entretenir, réparer et améliorer son bolide grâce aux nombreuses pièces proposées en boutique… Bref, pour gagner, il faut rouler sur l’or (hé hé !).

L’interface de jeu est d’une clarté exemplaire : on sélectionne son personnage, sa course, sa mise et c’est parti ! En ce qui concerne la compétition elle-même, les graphismes et la maniabilité auraient pu être un peu plus soignés. Les virages, même courts, sont difficiles à négocier et la circulation l’est encore plus. Une fois la course finie et gagnée, un password vous sera attribué. Car vous en verrez du pays avant de passer avec succès les quatre divisions proposées !

La recette est très simple : mélangez des courses illégales, des paris avec des milliers de dollars en jeu et vous obtenez un cocktail explosif !

Roadsters Trophy

Preview !

Mis à disposition par l’éditeur : Non

Pas d'anecdote

Medias

Les meilleures Stockage

Les meilleures Précommandes

Les jeux sûrs et pas cher

Accesoires testés et approuvés

On est vraiment désolé, mais internet et Wordpress oblige, on doit surement stocker des cookies sur votre ordinateur. Si vous n'en voulez pas, je vous invite à partir (de l'internet). Sinon, venez, on est sympa!