N++, le test à contre-courant sur PlayStation 4
Mais quelle bonne idée d’acheter N++ chez Limited Run il y a quelques années! Je devais être bourré ou ils faisaient partie d’un bundle, je ne sais plus trop. En tout cas, l’intérêt d’avoir une version physique du jeu est passé totalement à la trappe quand la galette m’a demandé une update 1,2 Go pour passer en version 1.11. Mais bordel de C** ils m’ont redownloader le jeu ces cons! (enfin ils l’ont téléchargé 6 ou 7 pour me prendre 1.2Go)
Bon déjà, on commençait très mal les présentations, surtout que juste avant j’avais lancé Pix the Cat bien plus enclin à ne rien déposer sur mon disque dur LUI! Revenons à N++, ce titre au nom autant évocateur « Marennes Oléron » cache un jeu pour hardcore gamers en mal de sensation et difficulté. Un titre où votre seul objectif est de sortir de ladite salle dans laquelle vous êtes piégé et cela le plus rapidement possible. Bien sûr entre vous et la porte de sortie, il y a un ou des interrupteurs à actionner. Ça serait trop facile s’il ne fallait pas éviter les mines, les missiles, les champs électriques, etc., etc.
Mais le titre ne serait rien sans sa physique aux fraises. À vous la difficulté de faire faire un foutu Wall-Jump à votre héros, héros qui est bien mou avec une inertie de dingue. Mais paraitrait qu’en 2005, ça faisait rêver… perso là, 15 ans plus tard et après Splasher, j’ai beaucoup de mal à adhérer. M’enfin…
L’objectif étant de finir tous les niveaux (2340 niveaux rien que ça, le genre de jeu qui pense que vous avez que ça à foutre!) et d’être dans le top du classement mondial. J’avais ce genre de rêve à 13 ans. Depuis j’ai changé, j’ai donc très vite lâché la manette, les die&retry mous, ça me déprime.
Petite note, si vous êtes du genre à aimer vous faire mal à plusieurs, y’a du Co-op. 🙂
N date de 2005, c'était un jeu Flash (quand Flash était à la mode) codé par une personne. N+ et N++ sont des améliorations.
anecdote Tweet
Pseudo chiasse de couleurs sur fond de chiasse musicale avec une chiasse de maniabilité. J'ai pas adhéré. Faut être scato pour aimer N++. (poésie du samedi soir)
La Team Tweet