Fate/Samurai Remnant (PC), un ARPG Fate au Japon médiéval

Fate est une série de jeux qui fêtera bientôt ses 20 ans (30 janvier 2004 pour la première parution de Fate/Stay Night, l’original d’où tout est parti). Si Type-Moon avait commencé par des visual novels, Fate s’est portée dans d’autres domaines, de nombreux films, animes (la liste est trop longue), manga et light novels (Fate Zero, Fate Kaleid, Apocrypha), jeux de baston (Fate/Unlimited Codes, Tiger Colosseum), beat’em up (Fate/Extella) et même RPG (Fate Grand Order -gacha-rpg/VN sur mobile, Fate/Extra -dungeon crawler sur PSP). C’est dans cette dernière catégorie que se place Fate/Samurai Remnant, dernière sortie dans l’univers Fate, produite par Koei Tecmo et développée par Omega Force. Vous aussi le nom du studio vous met la puce à l’oreille? Lisez donc la suite.

Fate, un peu d’état de l’art

Il faut d’abord faire le point, si vous ne connaissez pas bien l’univers, sur ce qui se passe dans Fate. Un rituel se tient à intervalles réguliers dans l’histoire: la Guerre du Saint Graal. Celle-ci confronte sept Maîtres (Masters), des mages capables d’invocation, et leurs Serviteurs (Servants) dans des combats à mort où le dernier vainqueur pourra obtenir le Graal, réputé exaucer n’importe quel souhait. Les Serviteurs sont répartis en différentes classes qui leur tienne lieu de nom de code: Saber, Archer, Berserker, Caster, Rider, Archer, Assassin. Celles-ci déterminent leur manière de combattre et leur permet de cacher leur vrai nom. En effet, les Serviteurs sont en vérité des « esprits héroïques », des personnages légendaires qui ont marqué l’histoire et reviennent sous cette forme magique; or, comme dans les principes de sorcellerie, leur vrai nom les rend plus vulnérables. Pour compliquer le tout, ces héros peuvent venir de mondes parallèles et ainsi un héros masculin dans notre monde se manifestera sous la forme de son son alter ego féminin d’une autre dimension.

Vous suivez toujours? Bien, maintenant passons à une rapide histoire des jeux Fate : le tout premier était d’abord un eroge (jeu érotique, le pluis souvent au format visual novel, donc une bande dessinée interactive). Il fut réédité 3 ans plus tard dans une forme édulcorée (moins de sexe) puis suivi de Hollow Ataraxia, également VN. Ensuite, le succès grandissant au Japon avant qu’il ne soit traduit ici, les spin-offs et jeux d’un autre genre autour de l’univers de Fate, qui s’est grandement étendu avec des histoires parallèles, ont vu le jour, jusqu’à celui-ci, Samurai Remnant.

Une guerre secrète de magiciens à l’époque Edo ça vous tente?

Fate au Japon féodal

Dans le présent jeu, nous incarnons Miyamoto Iori, fils adoptif et élève du légendaire escrimeur Miyamoto Musashi, auteur du Livre des Cinq Roues, un traité de stratégie et héros légendaire de la période des royaumes guerriers (l’ère Sengoku, oui, celle de Samurai WarriorsSengoku Musou en japonais, d’Omega Force justement et de Sengoku Basara chez Capcom).
Malheureusement pour lui, l’ère des royaumes en guerre est achevée, il est en pleine ère Keian (1651 de notre calendrier), autrement dit après l’établissement des Tokugawa à Edo (future Tokyo) et l’établissement de diverses lois forçant la paix au Japon. Formé à l’escrime, mais ayant perdu son maître avant la fin de sa formation, il ne se sent pas légitime à suivre un seigneur et a décidé qu’il servirait de mercenaire pour venir en renfort à la police dans le bourg d’Asakura.
Un jour il est subitement attaqué par un épéiste aux pouvoir surnaturels et se se retrouve attaqué par le maître de celui-ci. La marque qu’il porte sur la main gauche s’active alors et lui permet d’invoquer un épéiste surpuissant, qui se présentera comme Saber, refusera de lui donner son nom, mais lui viendra en aide. Yui, l’épéiste qui cherchait à tuer Iori réalise alors que celui-ci n’a aucune idée des raisons pour lesquelles il fut pris pour cible, considère comme indigne d’attaquer quelqu’un sans qu’il ne sache pourquoi, lui explique brièvement qu’il fait partie du rituel de la lune croissante, et que leurs chemins se croiseront à nouveau dans un combat à mort.

Et c’est ainsi que cette spin-off de Fate se déroulant dans le passé commence.
L’histoire nous sera dévoilée progressivement au cours de longues scènes de dialogues (tous doublés et animés avec le moteur du jeu) qu’on peut heureusement accélérer et zapper, mais que l’on peut revoir et réécouter dans l’archive fournie dans les sous-menus. On rencontrera ainsi d’autres maîtres, des serviteurs libres attachés à une zone particulière, on en apprendra plus sur la magie, on rencontrera le « vieux » compagnon de Iori, un grimoire occidental qui parle et qui connaît bien les guerres du Graal, et qui nous aidera à devenir un mage bien plus fort afin de survivre à ce jeu de la mort que constitue le rituel, le tout sur fond de sinistres complots politiques.

Le Japon fantastique et son lot de costumes baroques

Et alors comment ça se joue?

Les premiers combats du tutoriel m’avait un peu inquiétés, j’avais peur d’avoir à faire à un énième Musou (Dynasty Warriors, Samurai Warriors, Warriors Orochi). Heureusement il n’en est rien, si le système de combat propose bien d’affronter des bandes de chair à canon qui protègent un chef plus fort, nous n’allons pas courir à travers une vaste carte à moitié vide en moissonnant du fretin avant de se friter avec un gros boss absurdement blindé. Le combat emprunte aussi à Nioh la mécanique des postures, qui sont plus ou moins adaptées aux ennemis rencontrées et proposent différents types d’attaques et combos, ainsi qu’une technique consistant à changer au bon moment de posture pour bénéficier d’un buff temporaire. On commence avec deux postures (l’eau et la terre), mais de nouvelles s’ajouteront au fil de l’histoire, idem des sortilèges qui dépendant de votre niveau d’expérience, de vos compétences débloquées et de tâches accomplies. En outre, on peut esquiver, parer et riposter, ce qui rend les combats dynamiques, bien plus que dans un Musou.
Très vite, Iori ne se battra plus seul, mais constamment accompagné de Saber à qui il peut donner des ordres (moyennant une jauge de pouvoir) voire permettre au joueur d’en prendre complètement le contrôle pour un temps limité. Ceci est important car même avec ses sorts, Iori peut, de par sa nature humaine, se révéler incapable de blesser certains ennemis ou d’endommager leur armure efficacement (notamment des monstres d’élite), tandis que Saber, étant entièrement constitué de magie, est capable d’infliger des dégâts bien plus importants.
On a donc un système de combat de type beat’em all avec des niveaux d’expérience et des arbres de compétences à débloquer qui iront croissant au fur et à mesure que l’on complètera diverses tâches (utiliser la magie offensive, éliminer tel type d’ennemi avec telle posture, trouver un lieu-clé dans un bourg et ainsi de suite), aussi bien pour Iori que pour Saber. Saber pourra même vous appeler pour que vous lanciez ensemble une attaque synchronisée, puissante et efficace.

Iori est peut-être moins puissant que Saber, mais il n’en reste pas moins un escrimeur redoutable

On ne fera pas que taper quand même

On peut aussi caresser des chiens…

Le reste du temps, on aura de nombreux dialogues et l’exploration des bourgs et quartiers (parmi lesquels des temples et sanctuaires, des châteaux de seigneurs, mais aussi le quartier rouge), chacun constituant une zone plus ou moins grande avec des passages plus ou moins cachés et des secrets à trouver, ainsi que des petites tâches à accomplir contre des récompenses. Ce pourra être éliminer un brigand qui rôde, acheter à manger chez chaque vendeur, parler avec diverses personnes dans la rue ou prier à chaque sanctuaire, voire caresser les chiens et les chats. Petit détail, la première fois qu’on joue avec l’un d’entre eux, on peut regagner des PV. Je vous recommande d’enclencher le turbo sur le bouton « action » car il faut appuyer plutôt vite, d’autant que Saber peut lui aussi jouer avec ensuite, augmentant la quantité de PV restaurés.

… et aussi des chats.

Vaincre ses ennemis fournira évidemment des trésors, sous la forme de divers matériaux d’alchimie et de forge, d’entretien de votre épée (un entretien réussi booste la quantité d’XP gagnée pendant quelques combats), mais aussi des babioles (daruma -figurine porte-bonheur, éventail, couvercle de marmite, louche, carillon à vent cassé, collier de chat, shunga -estampe érotique, abîmé, porte-bonheur, et j’en oublie) que vous pourrez revendre aux chiffoniers pour garnir votre porte-monnaie, l’argent servant non seulement à acheter à manger mais aussi des matériaux, ainsi qu’à renforcer votre atelier (cf. ci-dessous). Notons au passage que dans les divers bourgs que vous pouvez visiter, vous trouver aussi ces mêmes cochoncetés par terre et que certains lieux respawnent au bout d’un moment (idem des ennemis génériques, dormir chez vous pour vous soigner semble aussi aider à rafraîchir ces mêmes spots d’ennemis et d’objets).

Votre QG, qui au départ ne paie pas de mine…

Bob Iori le bricoleur

Évidemment, un jeu Fate a aussi des loli…

Une autre mécanique importante est la transformation de votre taudis, dévasté lors de l’attaque initiale, en atelier de sorcier. Ceci vous permettra de débloquer des buffs comme baisser les prix des magasins, augmenter le prix auquel vous vendez, mais aussi de modifier les pièces de vos sabres. En effet, vous trouverez au fil de vos explorations et combats des pièces pour modifier vos sabres, vous pourrez changer la garde, la poignée, les cordes et le fourreau, chacun fournissant un bonus différent (ATK, DEF, MAT -magie en fait) et potentiellement un buff passif (plus de dégâts sur les ennemis, regagner de la vie après avoir tué un ennemi, meilleures chances de loot, bonus de synchro avec Saber). Une des capacités à débloquer en améliorant son atelier sera de pouvoir modifier ces pièces au lieu de simplement démonter celles dont on ne veut pas.

La magie de l’amitié

Prenez le temps de parler avec Saber, il est étranger à votre monde

Enfin, une fois que vous aurez appris ce que sont les ley lines (alignement de monuments supposés former un réseau d’énergie tellurique), vous aurez des missions les concernant, en créant un réseau sur un système de tactique au tour par tour, vous pourrez renforcer votre niveau de magie et assurer plus de puissance à Saber, ces moment sont souvent liés à des passages narratifs et rompent un peu l’éventuelle monotonie d’enchaîner farm et dialogues.

La carte des ley lines pour renforcer votre réserve de magie

On peut également noter que, aussi bien en explorant les quartiers que la carte d’Edo, Saber parfois attirera votre attention sur quelque chose; lui parler permettra alors de renforcer sa jauge de synchronisation (qui permet d’en prendre le contrôle), sa jauge de pouvoir, mais donnera aussi des points de compétences supplémentaires et le jeu n’en est pas avare car il faudra en payer nombre pour débloquer les arbres. Celles-ci vont des augmentations de compétences au déblocage de nouveaux pouvoirs et elle ne sera pas à négliger. Accessoirement cela renforce votre lien avec votre serviteur, ce qui, d’un point de vue narratif, le rendra à terme plus efficace au combat.

Mais un ensemble qui parfois montre trop ses rouages

C’est là que pour moi le bât blesse un peu, dans le design général. D’une part le jeu tend à vous forcer la main un peu trop dans les premiers chapitres, vous bloquant parfois l’exploration pour exiger que vous avanciez l’histoire, ensuite dans la structure générale des quêtes et mission. J’appelle cela le design Ubisoft, car tout relève de la checklist, quasiment tout ce que vous faites affiche un indicateur de progression (caressé 1 chat sur 2 pour la récompense dans ce quartier, tué X sur Y ennemis de telle façon, etc.) et le jeu semble surtout vouloir vous rappeler que vous êtes dans un jeu avec des mécaniques de jeu. L’aspect hermétique de la guerre du Graal et le côté très RPG des classes de serviteurs et du besoin pour le maître de gagner en puissance n’aident pas de ce point de vue. Un autre exemple, parfois vous trouverez par terre des marqueurs de couleur, certains vous donneront des bouts de papier qui vous racontent la vie dans le quartier que vous explorez. Systématiquement le jeu vous collera alors une alerte pour vous signifier que votre encyclopédie est alimentée et que vous pouvez appuyer sur une touche pour la consulter.
Merci, je me doute, fous-moi la paix!
On se retrouve donc souvent avec des petites alertes dans tous les sens dans le menu pause, parce qu’on a rencontré un PNJ alors on a des pages de sa bio, et puis du lexique et les tutoriels. Alors oui c’est bien qu’on puisse les relire, mais à trop attirer mon attention dessus je me sens à force constamment houspillé par le jeu que je suis dans un jeu avec « du contenu » pour justifier « la durée de vie ».

Japon féodal fantastique oblige, on aura divers yôkai à exorciser… par dézingage!

Même si le système de combat est intéressant, j’ai par moments le sentiment d’être dans une boîte de Skinner qui m’agite des récompenses à l’horizon pour que j’appuie sur les boutons (la boîte de Skinner est une expérience d’éthologie pour voir si on peut programmer un animal à coups de renforcement positif -de récompenses en somme, mais il a été constaté que cela fonrtionne aussi sur les humains, c’est ainsi que sont faits la majorité des AAA en monde ouvert, particulièrement chez Ubisoft, somme Immortals Fenyx Rising et les Far Cry depuis le 3). Fort heureusement ce n’est pas tout le temps, mais je trouve que ce design rend le jeu plus froid qu’il ne l’est en vérité. Il faut dire que j’ai été pourri par Genshin Impact et Honkai Star Rail, qui ont l’élégance de cacher ces checklists dans le menu des succès, rendant par conséquent l’exploration plus naturelle et immersive.

Au fur et à mesure qu’on joue on débloquera une galerie des illustrations de certains dialogues ou cut-scenes en plus des cut-scenes elles-mêmes et la direction artistique est excellente

Mon autre souci, pour ainsi dire, est que le jeu s’écoute parfois parler. De nombreux clichés des anime d’action (dialogues avec des sous-entendus narratifs qui seront clarifiés bien plus tard, jargon hermétique pour donner une impression de profondeur alors que cela pourrait très bien ne rien vouloir dire si on creuse), des attitudes de personnages souvent elles aussi à l’emporte-pièce, on ne peut pas dire que l’on fait dans le grand art. D’un autre côté, l’histoire ne se perd pas forcément dans des méandres et cherche l’équilibre entre l’action et le récit, bien que trop souvent dans les premiers chapitres on soit interrompu à tout bout de champ par une cut-scene à dialogues. Les 6 premières heures sont bouffées environ à moitié par des dialogues d’exposition dans lesquels le joueur n’a aucun choix, c’est un VN avec du combat ARPG.
Je n’ai rien contre mais c’est un peu frustrant d’être sans arrêt freiné par de la narration.

Toutefois, les mécaniques sont propres et les divers styles de gameplay se combinent bien. Il faut aussi reconnaître des temps de chargement de qualité même sur un HDD 5400RPM de portable (oui j’ai aussi testé sur une config un peu datée). Certes j’avais mis les graphismes en mode performance, mais les zones ne se chargeaient pas en plus de 15 secondes environ ce qui est très appréciable.
Petite filouterie, les PNJ civils à qui on parle ou qui marchent dans la rue sont en fait intangibles et deviennent transparents quand on est au contact. Parfois il est un peu malaisé de bien s’aligner face à un PNJ ou objet avec lequel on veut interagir, mais rien de dramatique.

C’est beau, ça sonne bien, mais enfin pourquoi ce choix débile !?

D’un point de vue audiovisuel, c’est plutôt beau, lors des cut-scenes les modèles des personnages ont des expressions faciales et articulent quand ils parlent, prennent des poses et le doublage (en japonais) est expressif sans tomber à chaque fois dans la caricature (certains personnages oui mais c’est logique si je puis dire, quand on les rencontre). Les attaques libèrent des flashes de couleurs, les combats contiennent des codes couleur pour aider le joueur à réagir à temps et certaines super attaques forcent la caméra dans des cadrages spéciaux pour renforcer l’impact. Le plaisir des yeux est là et malgré des combos un peu rigides, les animations restent fluides et le flux du combat est assez naturel. Musicalement la bande-son est excellente et varie aussi bien les ambiances que les instruments, et lorsqu’un combat commence la transition se fait ans coupure, le design sonore est très propre avec un son bien spatialisé, ce qui aide à l’immersion.

J’ai néanmoins un TRÈS gros reproche à faire à Koei Tecmo, même s’il porte sur un détail facultatif. Le DLC Artbook numérique et OST ne fait qu’ajouter des menus dans le jeu. Impossible de les avoir à côté en PDF et MP3 (je ne demande même aps du WAV ou du FLAC).
Une seule question : pourquoi !?
Ça n’a aucun sens. Vous avez si peur que ça que des vilains pirates les dumpent en ligne? Mais les éditions console du jeu proposaient un CD avec la version deluxe, enfin c’est ridicule!

Saber est à la fois curieux et observateur et cela donne de la profondeur à la mécanique de duo.
Il ne se gênera pas non plus pour vous chambrer..

Alors Docteur ? Votre avis ?

En résumé, Fate/Samurai Remnant est un action RPG qui s’adresse d’abord aux fans de Fate, ensuite aux amateurs de beart’em all et d’ARPG. L’histoire est bien écrite et les personnages attachants, très bien joués et il est intéressant d’explorer une reconstitution d’Edo au milieu du XVII° siècle. Ce n’est sûrement pas le pire achat que vous puissiez faire cette année, mais en-dehors d’une nouvelle interprétation de Fate, ce qu’il offre reste assez convenu en termes de gameplay et surtout il souffre occasionnellement de sa structure en checklists apparentes, ainsi que du syndrome Musou, à savoir des nuées de fretin qui vous cachent les attaques des lieutenants et chefs. Néanmoins je le considère comme un bon jeu, mais pas forcément plein prix. Et je ne pardonne pas ce DLC OST qui est franchement stupide, même si cela n’influera pas sur la note, mais je pensais que vous deviez le savoir. Pour rappel il est disponible sur PlayStation 4, PlayStation 5, Steam et Switch à 70 euros (PC du moins).

Il y a 2 DLC actuellement: le Season Pass (40 euros) qui contient 3 épisodes supplémentaires qui sortiront fin avril, juillet et septembre 2024. et l’infâme DLC artbook & OST (10 euros, qui est haï sur Steam pour la raison mentionnée supra).
La Digital Deluxe qui contient tous les DLC et également des pièces de sabre fumées et un costume pour le Berserker féminin est à environ 110 euros sur PC.

PS: À l’heure où je publie, il persiste une erreur débile identifiée dans une news du 25 octobre 2023.
Le jeu est en textes-écran japonais si on le lance par le raccourci du bureau et non via Steam (en paramétrant la langue dans les options de réglage). Comment réparer ça ? Mais en éditant le raccourci manuellement bien sûr !
J’vous jure…

PromoMeilleure Vente n° 1
Fate/Samurai Remnant (PlayStation 4)
  • Une nouvelle guerre se prépare : Découvrez pour la première fois un nouveau récit, s’adressant tant aux fans qu’aux nouveaux joueurs.
  • Votre Servant sera votre clé pour la victoire : Combattez de concert avec votre Servant Saber dans des combats dynamiques de haute-volée
Meilleure Vente n° 2
Fate Samurai Remnant
  • COOPERATION WITH SERVANTS IS THE KEY TO COMBAT
  • In Fate/Samurai Remnant, players control Miyamoto Iori, a master who studied the Niten Ichiryu style of swordsmanship. He fights alongside Saber, a servant who possesses strength beyond that of humans! When facing enemies beyond human control, players will be able to instruct their servant to attack with powerful magical techniques, or even take direct control of the servant to attack the enemy swarm. Dynamic battle scenes between servants help elevate the action to new heights and are must-see contests for fans of the series.
Meilleure Vente n° 3
Fate Samurai Remnant
  • COOPERATION WITH SERVANTS IS THE KEY TO COMBAT
  • In Fate/Samurai Remnant, players control Miyamoto Iori, a master who studied the Niten Ichiryu style of swordsmanship. He fights alongside Saber, a servant who possesses strength beyond that of humans! When facing enemies beyond human control, players will be able to instruct their servant to attack with powerful magical techniques, or even take direct control of the servant to attack the enemy swarm. Dynamic battle scenes between servants help elevate the action to new heights and are must-see contests for fans of the series.

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Si Fate/Samurai Remnant ne réinvente ni Fate, ni l'aRPG, ni le beat'em all, le mélange reste cohérent, agréable à jouer et somme toute intéressant. À réserver en priorité aux fans de Fate, les autres attendez les soldes.

Fate/Samurai Remnant

👍Amusant👍 !

Mis à disposition par l’éditeur : Oui

Pas d'anecdote

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