Voici l’exemple type du jeu doté d’une licence en or massif et bâclé : Shrek ! Il y avait pourtant de quoi faire un soft intéressant avec un film sympa et un héros attachant… Pour exploiter le filon le plus rapidement possible, les développeurs n’ont rien trouvé de mieux que de réaliser un jeu de… combat.
Presque aucun rapport avec le film donc, si ce n’est les neuf personnages mis en scène (dont deux cachés). Les coups sont ridicules au possible (pet enflammé, cri strident, coup de sac à main, etc.) et ne présentent aucun aspect technique (aucun combo). Les graphismes sont laids, les protagonistes minuscules et très mal animés. Pis, tout ce petit monde se permet même le luxe de ramer, un comble !
Et dire que cette cartouche risque de se vendre comme des petits pains… J’en suis vert.