Loot River, le test sur Xbox series
Les Souls-like ont clairement le vent en poupe, Elden Ring en tête. A côté de ces titres AAA, de nombreux jeux indépendants à la réalisation 2D mais à la logique de gameplay similaire débarquent chaque moi. Aujourd’hui, il s’agit de Loot River, né de l’imagination de Straka Studio. Combinant univers glauque, exigence des Souls et mécaniques à la Tetris, il entend à l’évidence surfer sur la vague de l’originalité. Waterworld chez Bloodborne Dès les premières parties de Loot River, la qualité de sa réalisation saute aux yeux. Esthétiquement, il joue la carte du pixel art raffiné et finement animé. Les couleurs sont harmonieuses et bien choisies. La direction artistique alterne avec succès entre le terne glauque ou oppressant (la plupart du temps) et le coloré plus épique. Les seuls bémols se situent au niveau des effets de l’eau un peu en retrait et des musiques bien plus discrètes. Mais rien de méchant. Le scénario se veut minimaliste et classique. De nombreux conflits ont généré la chute de la vie terrestre, entraînant la naissance de cités sous-marines. Celles-ci abritent une relique légendaire, suscitant la convoitise de nombreux chasseurs de trésor nomades. Malheureusement, ces derniers se retrouvent alors perdus dans un cycle