Metropolis: Lux Obscura, le test sur Switch
J’aurai aimé adorer Metropolis: Lux Obscura, parce que le titre respire le film noir. Quand je l’ai vu sur le store, j’ai pensé Sin City. Et forcement ça me parle! D’ailleurs, graphiquement il assure de bout en bout, et vraiment il propose de très beau visuel. On regrettera un peu de facilité avec les scènes olé olé cependant… digne des montages papiers que l’on pouvait faire enfant… Mais le graphisme ne fait pas le Comics, et sur la vision du jeu à multiple fins Metropolis: Lux Obscura se plante littéralement. Quatre fins, dont une qui est une quasi ligne droite sans choix. Alors on pourra revenir sur les choix scénaristiques, personnellement je ne critiquerai pas, même si l’aspect « destiné » de notre pauvre homme est troublant. Mais par contre, avoir l’impression que nos actes ne changent rien, c’est assez désagréable. On se fait mener par le bout du nez tel un lapin de quatre semaines. Indé et ça se sent! Le problème vient du budget, on ne peut pas proposer un vrai jeu à choix sans avoir un budget qui le permet. Résultat, on sent la coupe dans le déroulé, et les personnages principaux sont catapultés, les relations enchainées et les