Mon fils avait 5 ans, je suis passé à Tofopolis, mon fournisseur officiel de jeux de société (quand Gigamic m’ignore). Bref, ce jour-là, j’avais envie d’un jeu un peu différent de ce que mon fils avait déjà eu (Pas de pitié pour les monstres de chez Helvetiq, et il faut que j’écrive un article dessus un jour …). Bref, on me conseille SOS Dino, la boîte ne fait clairement pas rêver, ça sent le jeu amateur au bout des doigts (et pourtant Théo Rivière est loin d’être un amateur). Mais je fais confiance et je rentre avec mon cadeau d’anniversaire sous le bras. Plusieurs mois sont passés avant qu’on ne dépunch SOS Dino, qui il faut le dire, contient beaucoup de cartons. En plus des quatre figurines mignonnes de Dino (qui sont un élément marketing), on trouve aussi des montagnes, des volcans, des rochers pointus et des buissons épineux en carton à monter. Une fois ce beau monde réuni avec le sac et les tuiles ainsi que les œufs de dinosaures, on peut commencer la partie. Objectif : sauver le maximum de dinosaures et œufs avant que les volcans et les météorites ne tombent. Pour cela, nos dinos vont devoir