NeverAwake, le test sur Switch
Après une fin d’année propice aux jeux AAA du fait de l’arrivée du père noël, le mois de Janvier est traditionnellement assez creux dans le monde du jeux video. Toutefois, certains jeux sortent du lot à leur annonce à travers un univers, un style qui leur est propre. C’est ainsi que je suis tombé sur NeverAwake. Un monde cauchemardesque Le premier point qui m’a interpelé lors de la découverte du trailer fut la direction artistique choisie par les développeurs. Nous découvrons ainsi Rem, une petite fille endormie, luttant face à ses songes cauchemardesques et psychédéliques. Par exemple, le joueur devra faire face à un dentiste, une poupée ou un légume. Ces différents « monstres » sont dépeints à la main et dans une thématique qui se rapproche de Tim burton. A l’inverse, votre personnage sera totalement en 3D même si on a parfois du mal à la discerner dans cette pléthore d’effets graphiques. En effet, si le jeu reste agréable en mode dock sur un grand écran, il se veut beaucoup plus confus en mode portable. En outre, la multiplicité d’ennemis à l’écran couplé aux tirs de ces derniers rends l’ensemble bordélique. Par exemple, vous pourrez être touché par un tir ennemi