Je n’avais pas eu le temps d’y jouer sur PS Vita, pourtant SIGI – A fart for Melusina interpelle tout de suite sur le store. Son design façon Ghouls’n Ghosts, le dessin enfantin, les graphismes pixel art mignon. Ça touche forcément le quarantenaire que je suis.
Retombe comme un pet
Alors, au détour d’une solde Switch, j’ai craqué pour SIGI – A fart for Melusina. J’ai découvert un chevalier amoureux d’une sirène, sirène qui s’enfuit suite à un pet de notre gourmet du hot-dog. Et voilà 20 niveaux de pur plateforme/action pour tenter – en vain – de faire perdre du poids à notre chevalier.
On reconnait la mécanique « Arthurienne », avec un saut, des armes type lance, sort, couteaux, hache et cuisse de poulet. On retrouve les coffres à casser, les pièces à récupèrer. Mais Sigi va se démarquer pour l’obligation de farmer les vies. Pour cela plusieurs méthodes à votre disposition :
- retrouver les sigles S I G I du niveau qui vous attribue une vie
- prendre 100 pièces
- trouver des vies cachés
Les vies vous serviront pour les boss qui ne possèdent pas de pattern complexe, mais son des sacs à points de vie et surtout vous n’êtes pas des plus mobile.
Un boss tous les 5 niveaux, et c’est clairement eux qui apporteront un peu de sel sur une soupe trop rance. En effet, SIGI – a fart for Melusina s’endort en proposant des niveaux trop court, trop plat (avec quelques passages secrets certes) qui ne donnent pas envie de s’y attarder. En moins d’une heure (peut être même trente minutes) vous arriverez au boss de fin. Alors oui, il y a des clins d’oeil, mais ça ne fait clairement pas tout.