Je me suis mis que trop récemment à Puyo Puyo Tetris, je savais le concept bon. Mais le confinement, le manque d’amis à proximité, et la pléthore de jeux de 30 heures ont eu raison de mon temps libre. À la suite de ce test de Puyo Puyo Tetris, on a reçu Puyo Puyo Tetris 2 à la rédaction (enfin chez moi, vu que la rédaction est dispatchée entre Figeac, Poissy, Romilly, Juvisy, etc., etc.). Tout de suite, première question que je me suis posée : qu’ont-ils pu ajouter de plus? Le premier titre était juste incroyable de richesse. La réponse ne saute pas aux yeux. On a bien sûr une nouvelle aventure dont je ne spoilera pas l’histoire (je n’ai pas le droit …). Mais on sait vous et moi que les fans de puzzle ont que faire de ce genre d’histoire. Déjà parce que c’est souvent grotesque, peu motivant et juste un prétexte à des combats. Et j’ai beau aimer ce Puyo Puyo Tetris 2, il n’échappe pas à la règle. Seul point positif, la difficulté est croissante et chaque niveau de ce mode histoire vous transportera dans un mode de jeu du titre. C’est d’ailleurs là que

Un peu d’histoire On connait tous Tetris, les plus vieux sur « PC » dans les années 80, les un peu moins vieux sur Game Boy, les plus jeunes … bah vous avez  surement joué à Tetris 99 sur Switch… Pour Puyo Puyo, c’est plus « jeune », puisque le titre lui ne débarque sur console que vers les années 90. Le titre se verra convertir chez nous en Docteur Robotnik Mean Bean Machine, parce que bon, pour un occidental « Puyo Puyo » c’est ridicule voyons… Heureusement, le monde a évolué, et désormais Puyo Puyo s’assume, Tetris est revenu dans les bras de son créateur et chacun avait sa « fanbase » (un peu façon Trekkers versus fans de Star Wars). Un génie du mal s’est demandé si on ne pouvait pas mélanger les deux styles. Et franchement, c’est une idée qui pourrait bien bouleverser nos bases, nos idées reçues voir même réconcilier deux mondes. Puyo Puyo Tetris est né, incroyable! Un poil trop Kawai ce Puyo Puyo Tetris Bon autant l’idée est louable et vous le verrez plutôt bien réalisé, autant on va commencer à parler de ce qui fait mal. Mal aux oreilles (les voix), mal aux cerveaux (les dialogues), et mal au cœur (à l’idée que