C’est clairement un article à charge que vous allez lire. En effet, ce DragonBall Z Goku Densetsu m’a amusé un petit peu durant l’été 2016. J’étais perdu à Vinax bled de 27 habitants pas si loin de La Rochelle. Le titre a pris dizaine quelques heures de ma vie avec l’espoir qu’il se diversifie. En vain…

Pourtant ça partait bien, un Dragon Ball Z avec des cartes, des combos possibles, de l’attaque, de la défense, des animations pas si mauvaises pour de la Nintendo DS. Mixé avec un RPG light (XP et objets) pour apporter un vent de fraicheur. Et puis le titre se paye l’arc narratif de mon enfance, donc forcément j’adore. 

Le titre se joue sur deux plans, la carte du monde où vous vous déplacez pour résoudre les missions dans le nombre de tours imparti. Il y a certains événements sur cette carte comme des objets, des magasins, et des lieux. Et les combats sous forme de jeu de cartes. Cette deuxième partie va vous prendre BEAUCOUP de temps. Un combat c’est votre deck contre celui de l’adversaire, votre deck s’améliore avec votre niveau d’XP et vous verrez que ce dernier point EST crucial. Durant ces combats on choisit les cartes que l’on veut jouer (une ou plusieurs, dans ce cas nommé Combo). Ces cartes vont déterminer le type d’action parmi huit disponibles, la puissance de l’action, et la parade si ça se passe mal. Dans les faits, il y a peu de stratégie, on bourrine l’attaque, ou l’on joue le vicelard à inverser notre jeu avec l’adversaire. Dommage, on ne s’improvise pas Magic comme ça.

Mais là où DragonBall Z Goku Densetsu se vautre lamentablement, c’est sa courbe de difficulté. Le jeu vous force à farmer littéralement dès le début du jeu le moindre point d’XP. Sans cette information vous allez terminer trop rapidement les niveaux, et après une dizaine d’heures vous serez bloqué face à un ennemi trop puissant. Quasi impossible pour vous de vous en sortir.