Un noobs comme héros
Ici point de grand guerrier, le joueur incarne Tristan, un cartographe qui n’a aucune expérience du combat. Sa faiblesse martiale contraste avec ses compétences en exploration et en cartographie, qui deviennent essentielles dans l’aventure. D’ailleurs vous avez ici une carte ou vous pouvez placer vos propres marqueurs pour identifier des lieux importants et les points d’intérêt.
L’exploration comme mission
Tristan est envoyé en mission secrète pour livrer un message crucial. Son équipe est prise en embuscade, la moitié est massacrée et Tristan ne doit sa survie qu’à l’aide d’un ermite. À partir de ce moment, le monde s’ouvre totalement à l’exploration du joueur. L’aventure se déroule sur une grande île composée de plusieurs biomes : forêts, prairies, marécages et zones glacées.
Craft, survie et gestion des ressources
Le jeu intègre des mécaniques de crafting et de survie. Le joueur doit surveiller la faim, la soif et la fatigue de Tristan. Ses statistiques incluent l’endurance, la santé et l’expérience. L’endurance joue un rôle crucial, puisqu’elle conditionne les combats, la course et l’esquive. Les contrôles restent classiques pour un RPG, la prise en main est assez facile. Il y avait ainsi trois type de marche, qui bien sur fatigue de manière différente
Par contre la difficulté est vraiment au rendez-vous, ma volonté de me mesuré à la faune local c’est vite soldé par de cuisants échec (empoisonnement la première fois, et lapidé par des rats la seconde oui oui). L’ambition ici est donc d’avoir une évolution réaliste et cohérente du personnage loin des combattants badas de ce qu’on nous propose souvent. Pour ça la proposition semble intéressante .
Premières impressions
Ash of Steel a été développé par une toute petite équipe d’une quinzaine de personnes. Leur ambition est claire : reprendre le meilleur des RPG qui les ont marqués par le passé pour en proposer une synthèse moderne. Pour le coup le jeu rappelle un peu Moorowind ou le heros, assez faible doit consolider les aptitudes qu’il veut utilisé. Cependant, Ash of Steel reste la production d’un petit studio, et cela se ressent. Le rendu global est correct, mais les limites techniques apparaissent parfois. A voir le rendu qu’il peut avoir selon les configurations de chacun.