Situé entre l’épisode un et deux de la série Jak And Daxter, le soft nous montre que la beloutre est capable d’endosser le rôle de héros. Et le moins que l’on puisse dire c’est que cela ne va pas être de tout repos ! Mais cela ne se fera pas sans humour !
Daxter prend place durant le dernier mois de l’ellipse de deux ans, entre le moment où Jak est capturé par les Grenagardes et où Daxter vient le délivrer de sa prison. Puis un vieil homme (Osmo) engage Daxter comme exterminateur. Son travail consiste à exterminer les « Metal Bugs » qui pullulent dans tous les recoins de la ville. Après quelques missions, notre beloutre préférée (en même temps j’en connais pas beaucoup des beloutres…) retrouve la trace de son ami Jak et se lance donc dans une mission ‘libération ».
Daxter est déjà la caution comique de la série Jak And Daxter. Alors quand on fait un jeu à son effigie, autant vous dire que l’humour est présent partout!
ROMgamb
Daxter pourra se mouvoir facilement comme dans tout bon plateformeur 3D qui se respecte et pourra compter sur quelques armes afin de compléter son panel de mouvement et de mise à mort. Très vite armé d’une tapette à mouches électrique pour le corps à corps, Daxter pourra rapidement compter sur un pulvérisateur à insecticide. Il servira tantôt de « lance flamme » tantôt de « jet pack ». Impossible de trouver des défauts au gameplay tant il est soigné, seul le joystick (problème lié plus à la PSP) pourra au début poser problème.
Si bon nombre de missions principales vous demandent de collecter des orbes dorés, lâchées par les insectes tués (en même temps, c’est votre métier !), les niveaux regorgeront d’œufs à collectionner. La collecte de ces œufs débloquera des rêves accessibles au QG de votre entreprise anti-nuisible. Les rêves sont des mini-jeux (QTE), parodiant des films cultes, qui une fois terminée débloque vie supplémentaire ou nouveau mouvement pour Daxter.
Le jeu est vraiment convaincant graphiquement et très peu de ralentissements sont à signaler. On les subira principalement lors de vos retours en ville (ce qui correspond probablement à des temps de chargement masqués). Sinon c’est parfaitement fluide. On n’en attendait pas moins cependant pour une licence Sony. À noter que Daxter ne propose pas de difficulté particulière et ne demandera que dix petites heures pour libérer Jak. Ce n’est franchement pas long (NDR : si ça passe vite, c’est que le jeu est bon) mais il faut quand même que toute cette aventure tienne sur les 900 Mo du disque UMD.
