Cthulhu – Death May Die, l’avis
Week-end prolongé oblige, on en profite pour voir les amis devant un bon jeu de plateau. Cette fois-ci, c’est Cthulhu – Death May Die qui a été sélectionné pour nous occuper durant les trois prochaines heures. Sous ce titre tiré d’un James Bond se cache un Zombicide remanié à la sauce Cthulhu. Même si l’appeler Zombicide est un raisonnement simpliste, tant le jeu propose une tension un peu plus palpable. C’est l’histoire d’un Cthulhu Cthulhu – Death May Die nous propose de sélectionner une équipe parmi des aventuriers tous plus extravagants les uns que les autres. On a bien évidemment les classiques bourrins, mais aussi quelques « magicien » à l’instar de Raspoutin ou de l’adorable petite fille. Chaque personnage aura sa fiche spécifique et des pouvoirs tout autant personnels. Raspoutin par exemple a une capacité à « revivre » tandis que la petite fille elle sera une véritable pyromane. Dans Cthulhu – Death May Die on ne trouvera pas d’intellectuel, tant le jeu se veut brutal, les cultistes ayant plus le rôle de Markmen (vous savez ceux qui meurent par dizaine dans les films). Cependant dans Cthulhu – Death May Die on ne va pas affronter que des petits cultistes, loin de là.