Bonito Days, le test Switch
Parfois, la motivation ou l’envie de tester un jeu viennent d’un élément peu courant. Concernant Bonito Days, j’ai surtout été attiré par sa bande-son, mélange de pop-sucrée à l’Anglaise, de son Lo-Fi et de chansons Japonaises. Pour le reste, je m’étais dit que l’originalité du concept et l’aspect party-game du jeu feraient le reste. Voyons si mon intuition était bonne. Poissons fumés et fumette Comme évoqué, donc, la première impression au lancement de Bonito Days est de sauter à pieds joints dans un univers un peu barré, mais surtout relaxant et acidulé. Les couleurs tantôt pastelles, tantôt chatoyantes. La musique digne d’un bar à bobos dans le deuxième arrondissement Parisien. Les personnages se qui ressemblent amicalement tous, à savoir des poissons dotés de pieds et d’ailes (oui, oui). Tout contribue à accueillir le joueur de manière bienveillante. Ensuite, vient le temps des premières parties. La jouabilité de Bonito Days peut être décrite assez simplement. Chaque partie commence de la même manière. Votre avatar est en boule, et commence à rouler façon Monkey Ball. Très rapidement, un tremplin ou une rampe de lancement surviennent. Une fois dans les airs, vous pourrez déployer vos ailes et commencer à voler. Poissons volants planeurs