

Gynoug, le test Switch
Avant de commencer ce test, je dois vous livrer une petite confession. Au milieu des célèbres Musha Aleste et autres Thunder Force, Gynoug a toujours été mon shoot de cœur parmi ceux de l’ère Megadrive. Initialement développé par le studio NCS Masaya (également responsable de Gley Lancer, récemment testé ici-même), il revient aujourd’hui sur Switch, via un portage édité par Ratalaika Game. Lorsque j’ai eu l’occasion de pouvoir le tester, j’ai donc été confronté à la fois à un sentiment d’excitation nostalgique, ainsi qu’à un important besoin de faire preuve d’objectivité. Blue bullets chez les Grecques Gynoug est un shoot them up du tout début des années 90, aux principes tout à fait classiques. Le scrolling est généralement horizontal, avec quelques variations minimes. Vous y dirigez Wor, le guerrier ailé. Il va s’agir ici d’éviter les ennemis et leurs projectiles, tout en leur tirant dessus et en boostant régulièrement votre attirail. Le tout sur cinq chapitres eux-mêmes divisés en deux sous-niveaux chacun. Puis un sixième chapitre final compilant les demi-boss précédents et le boss final. Le point essentiellement marquant de Gynoug concerne son identité, sauf erreur de ma part toujours sans équivalent trente ans plus tard. Sa direction artistique générale