Disciples : Liberation, le test Playstation 4
Vieillir, c’est mal. Ou pas. Je garde encore un souvenir agréable et ému de mes soirées jeu de rôle entre amis. Un livre de maître du jeu, quelques dés, un crayon et c’était parti. Quelques années plus tard, pouvoir retrouver un peu de ces sensations sur support numérique enlève bien entendu la magie conviviale du moment. Mais cette possibilité s’avère tout aussi pratique qu’agréable. C’est donc avec un a priori positif mais aussi une certaine curiosité que je me suis lancé dans l’aventure du titre développé par les Québecois de Frima Studio et édité par Kalypso média, Disciples : Liberation. « Les actes d’abord, les regrets plus tard ! » En avant pour l’aventure, ta tata taaa ! L’univers de Disciples : Liberation est classique et efficace, mais surtout accrocheur. La narration y est extrêmement bien travaillée, et constitue à coup sûr le point fort du titre. C’est simple, je n’avais pas trouvé de récit autant structuré et fouillé depuis The Witcher III. L’univers répond à tous les standards de l’Heroic Fantasy. L’ambiance, tant sur le fond que sur la forme, rappelle les premiers épisodes de Diablo et les plus belles heures de Baldur’s Gate. Que d’excellentes inspirations, donc. Dans le même ordre d’idée, notez que