

Splasher, le test sur Switch
Premier bébé de la Splashteam incluant notamment l’ancien concepteur de Rayman Origins, Splasher y puise indubitablement son inspiration, tout en allant également flirter du côté du légendaire Super Meat Boy. Est-il à la hauteur de ses mentors ? On vous dit ça tout de suite. Entre labyrinthes métalliques et pièges en tous. Genres, il va falloir être habile pour survivre. Splasher s’ouvre sur une pseudo-cinématique, et en contient régulièrement tout au long du jeu, histoire de nous mettre dans l’ambiance. Dans les grandes lignes, le héros du jeu découvre qu’une espèce de savant fou réalise des expériences génétiques au beau milieu de l’usine INKORP. Bien que tout soit subjectif, très franchement, ces petites scénettes sont d’un goût plutôt douteux. Citons par exemple la strangulation d’un collègue, une pseudo-dissection ou encore des doigts d’honneur à toutes les sauces. Ça plaira sûrement aux adolescents en mal de violence gratuite, mais laissera tout adulte de marbre (voire dans l’incompréhension) et surtout écartera tout joueur un peu plus jeune de l’expérience potentielle. Rien de grave, mais il nous semble tout de même dommage de se priver d’une partie d’un public potentiel pour des raisons aussi idiotes. Mais l’essentiel n’est pas là, passons au moteur