Lego Worlds, le test sur Switch
Disponible en early access depuis 2015 puis sorti il y a environ six mois sur PS4/PC/XBoxOne, Lego Worlds avait alors eu un accueil quelque peu mitigé. Nous n’avions pas eu l’occasion de le tester à l’époque, mais celui-ci arrive aujourd’hui sur Nintendo Switch. Nous allons donc aujourd’hui voir si jeu de construction légendaire et jeu vidéo mobile font bon ménage. Certains environnements sont immenses, et la variété sera de mise. Lancement. Introduction. Le capital sympathie de la licence fait immédiatement son petit effet, nous rappelant d’excellents souvenirs d’insouciance architecturale (ou de souffrance plantaire). Dans le mode « aventure » de Lego Worlds, vous incarnez un spationaute ayant atterri par mégarde sur une planète inconnue. Le long de mondes principalement générés de manière procédurale, s’en suivront ensuite de nombreuses rencontres, quêtes et bien entendu constructions (ou destructions). Car ici, titre à la vocation créatrice oblige, les challenges « puzzles » de la série Lego sont ici remplacés par d’autres plus… « constructifs », tels que le repeinte de certains éléments ou la construction de barrières protectrices, par exemple. D’autres quêtes consisteront à combattre des ennemis et/ou à défendre des PNJs, selon l’habituelle (très faible) difficulté des titres Lego en la matière.