Et un jeu iPhone sur PSP, un ! DynoGems est un puzzle game avec un principe basique, mais assez addictif. Il s’inspire un peu du célèbre Klax : des pièces de couleur tombent progressivement sur un plateau vertical. Il faut les éliminer avant qu’elles ne s’entassent jusqu’à remplir l’écran, ce qui conduit au game over fatidique. Et, pour ce faire, un petit dinosaure va les attraper (jusqu’à trois) et les relancer en direction du plateau pour les éliminer, par groupe de quatre pièces de couleur identique. Simple comme bonjour, nous vous le disions. Le principe de jeu s’avère assez accrocheur. D’autant plus que la réalisation est fort sympathique, colorée et tout en 3D. La musique (une seule) est excellente et entraînante. Question contenus, le développeur Stormbasic a été un peu chiche, avec seulement deux modes de jeu : Classique et Survie. Dans le premier, on joue par vagues. Il faut remplir un quota de pièces éliminées, pour passer à la série suivante. Le second mode, comme son nom l’indique, est infini : il n’y a qu’une seule vague de pièces et l’on joue pour sa survie. Quelques bonus viennent égayer des parties qui, au bout d’une heure, finissent par être

Le grand, le vénérable Tetris fait son retour sur PSP au travers de la gamme de jeux PSP Minis ! On aura beau dire qu’Electronic Arts use et abuse de la licence d’un grand classique, c’est la première fois qu’il débarque sur la console portable de Sony. D’ailleurs, cette entrée est remarquée puisqu’elle constitue la meilleure vente de la gamme, depuis son lancement. Tetris a donc toujours autant la côte auprès des joueurs. 20 Mo de téléchargement plus tard, nous nous lançons dans ce Tetris PSP. La célèbre musique du jeu original (1985) remixée nous accueille. Voilà qui fait plaisir et qui ravive inévitablement de nombreux souvenirs, notamment la version Game Boy en 1989. Le puzzle game d’Alexei Pajitno a captivé plus de 100 millions de joueurs à travers le monde sur un nombre incroyable de plates-formes. Et à juste titre : son principe, simple et accessible, avait quelque chose d’hypnotique, d’obsédant. Le principal mode de jeu Classique ressemble beaucoup au jeu original, avec toutefois quelques variantes. Il s’agit toujours d’éliminer des lignes de pièces qui s’accumulent verticalement dans une zone de jeu donnée. Auparavant, nous avions la possibilité de voir en avance la forme de la prochaine pièce à

Bloons est une petite variante du célèbre Puzzle Bobble. Petite, dans tous les sens du terme. Vous y contrôlez un petit singe qui lance des flèches dans un lot de ballons. Le nombre de flèches est limité et, dans chaque niveau, vous devez crever un nombre minimal de baudruches. Regardez les quelques images proposées dans ce test et vous comprendrez le principe en un quart de seconde. Certains ballons sont spéciaux, explosifs par exemple. D’autres éléments auront plus l’aspect de malus, à l’image des pièces qui gèlent les ballons sur place et qui constituent alors de nouveaux obstacles à éviter. Du coup, il faut effectuer des enchaînements lorsque le nombre de flèches disponibles est vraiment trop limité. Une autre fois, il faudra faire s’envoler des ballons contenus dans des urnes, pour les faire exploser en plein vol lorsqu’ils passeront à proximité d’explosifs. Le principe est assez accrocheur. Oui, mais voilà, Bloons pose un sérieux problème de challenge : le nombre d’essais est illimité et il n’y a aucun chronomètre. Du coup, lorsqu’on ne sait pas vraiment comment faire, il suffit de tâtonner et de tenter le coup, millimètre après millimètre. Cela fini toujours par passer, pour peu que l’on soit