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Olivier B.

Patapon 2, le test sur PSP

Pata, Pata, Patapon ! Pata, Pata, Patapon ! Pata, Pata… Misère, de misère. Si tout comme nous, vous aviez enfin réussi à vous défaire du rythme musical du jeu Patapon sur PSP, sachez que tout est perdu. Les petites créatures belliqueuses et bicolores sont de retour ! Patapon était un jeu réellement rafraîchissant sur PSP, débarqué dans une période disette sur la console de Sony. Un cadeau pour les joueurs ! La bonne surprise passée, on était en droit de se demander ce que nous apporterait ce second volet, en termes de gameplay et de nouveautés. C’est ce que nous allons voir. Les Patapons sont des petits personnages qui ressemblent un peu aux célébrissimes (en France tout du moins) Shadocks. Sauf qu’ici, nos petits amis ne pompent pas, ils se battent ! Avec un seul objectif dans ce nouvel épisode : atteindre le bout du monde. Et tout cela sous les ordres d’un Dieu unique : vous-même. Pour les motiver sur le champ de bataille, rien de plus efficace que des tambours de guerre, que vous martèlerez en rythme (en appuyant sur les quatre touches Croix, Carré, Triangle et Rond de votre console pour former les combinaisons attendues). Seulement voilà,

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Olivier B.

Bliss Island, le test sur PSP

Bliss Island est un étrange mélange. A la vue des captures d’écran, on s’attend à retrouver un petit puzzle game. Il y a de la prise de tête au programme, certes, mais le jeu de Codemasters s’oriente plutôt vers le jeu d’action et de tir, dans un univers complètement original. Vous y contrôlez un Zwooph, une petite créature bleue et velue, dotée d’un coup puissant, d’une queue touffue et d’une longue trompe qui lui permet d’envoyer des bouffées d’air. Ces petites bestioles passent leur temps à envoyer des nuages dans le ciel, pour créer de la pluie. Mais pas le vendredi. Le vendredi a été décrété jour d’amusement pour tous, l’occasion de s’adonner à toutes sortes d’épreuves plus amusantes les unes que les autres. A vous de montrer que votre Zwooph est le meilleur d’entre tous ! Les défis sont plutôt variés, mais tous reposent sur les capacités pulmonaires de notre petit ami. Vous devrez tantôt jouer à un clone de Break Out en vous propulsant pour détruire des briques de couleur (dans un ordre défini), fuir une grotte qui s’écroule en vous propulsant encore dans un niveau à scrolling horizontal ou bien encore jouer au yoyo, en propulsant –

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Olivier B.

Naruto Shippuden Ninja Council 3 European Version, le test sur DS

La série Naruto Ninja Council en est déjà à son troisième épisode sur nos Nintendo DS européennes, mais la série n’évolue pas vraiment, en conservant les mêmes travers. L’objectif est de traverser de vastes niveaux, dans une action mêlant plates-formes et combats. Naruto est de retour au village caché des feuilles après un long voyage initiatique de deux ans et demi en compagnie de Jiraya. Il apprend que la mystérieuse organisation de l’Akatsuki a infiltré le village caché du sable. C’est ainsi que Naruto et ses compagnons préparent un plan d’action pour sauver ce dernier. Naruto Shippuden Ninja Council 3 European Version est donc basé sur les 30 premiers épisodes de l’époque Shippuden. Question contenus, on est plutôt bien servis, avec 17 personnages jouables qui peuvent travailler de concert pour effectuer des techniques combinées puissantes. Vous serez amenés à lancer des jutsus de manière régulière, en grattant énergiquement sur l’écran tactile dans une direction donnée ou bien encore en soufflant sur la console. A noter qu’il est possible de gagner de l’argent et de s’acheter ainsi, régulièrement, de nouveaux pouvoirs. Avec son gameplay rigide, son action redondante et son game design basique au possible, on ne voit pas bien comment

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Olivier B.

Code Lyoko, le test sur DS

Lorsque quatre adolescents surdoués décident de sauver le monde en luttant contre un programme mutant qui n’a autre dessein que de détruire la terre, cela donne naissance à la série d’animation Code Lyoko ! Cette production française existe depuis cinq ans maintenant, il était donc temps qu’une adaptation vidéoludique nous arrive. Et, sans surprise, c’est sur Nintendo DS que cela se passe. Yumi, Ulrich, Odd et Jérémie sont à l’école. Ils y vivent en internat, y travaillent, mais expérimentent aussi des passages dans le monde virtuel de Lyoko grâce à un ordinateur quantique qu’ils ont découvert dans une usine désaffectée. C’est pour eux le seul moyen de lutter contre les attaques du programme malveillant, XANA. Voilà pour le pitch, prétexte à trois phases de jeu bien distinctes. La première phase se présente sous la forme d’un jeu d’aventure classique en 2D. On évolue dans l’école ou à l’usine, on ramasse des objets utiles et l’on discute avec d’autres personnages pour faire avancer le scénario. C’est plutôt réussi, avec un coup de crayon moderne qui rappelle indubitablement celui de la série. Viennent ensuite les phases de combats lorsqu’une alerte se déclenche. Là, nos compères filent vers leurs scanners pour se projeter

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Olivier B.

Star Wars : Lethal Alliance, le test sur PSP

Un an après le très décevant Star Wars : Battlefront II, la saga la plus connue du monde retente sa chance sur PSP. Sous la forme, cette fois, d’un jeu d’action en 3D, à la troisième personne. Vous y incarnez Rianna Saren, une ancienne esclave Twi’Lek devenue mercenaire, légèrement remontée contre l’Empire. A l’aide de son fidèle droïde Zeeo, vous avez pour missions de voler les plans de l’Etoile Noire, la future arme la plus redoutable de votre ennemi juré. Scénaristiquement parlant, Star Wars : Lethal Alliance prend place entre les épisodes III et IV de la saga. Voilà pour les présentations. Notre héroïne se dirige à l’aide du stick analogique de la PSP. Il est possible d’effectuer une rotation de la caméra avec les boutons L et R. Il est possible de recadrer la caméra à tout moment, de cibler ses adversaires dans l’ordre voulu, etc. Par pression du bouton Rond, on peut, à l’arrêt, effectuer une roulade ou, en mouvement, un plongeon en avant. Bref, cela se contrôle assez simplement, avec un gameplay facile d’accès pour tous. Rapidement, les prouesses acrobatiques de Rianna n’auront plus de secret pour vous. La réalisation graphique est propre, un peu trop peu

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Olivier B.

Star Wars Battlefront II, le test sur PSP

A la base, Star Wars Battlefront II est un bon jeu d’action PlayStation 2. Sur PSP par contre, on se demande un peu ce que le titre vient faire là. Il se présente sous la forme d’un jeu d’action en 3D à la troisième personne, qui varie les plaisirs entre le combat au sol et à bord de divers coucous, tous tirés de la célèbre saga. Trois modes de jeux vous sont proposés : Défis (une succession de missions avec des objectifs précis à remplir), Conquête Galactique (le mode de jeu solo le plus consistant qui vous met à la tête d’une flotte) et, enfin, Action Immédiate (des parties rapides, que l’on paramètre à souhait). Il n’y a aucun mode Histoire, pas de trame scénaristique à suivre. En réalité, lorsque l’on découvre pour la première fois Star Wars Battlefront, on ne peut s’empêcher de penser qu’il s’agit là d’un jeu pensé uniquement pour le multi-joueurs. En mode Conquête Galactique, quelques notions de stratégie entrent en jeu. L’objectif est de conquérir toutes les planètes présentées sur une carte. On s’y déplace au tour par tour, case par case. Vos ennemis (Empire, Rebelles, etc.) se déplacent également pour étendre leur pouvoir. En

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Olivier B.

Hi ! Hamtaro, le test sur DS

Les Ham-Hams ? Ce sont de petits hamsters qui vivent de grandes aventures ! Ils sont adorables et invitent les plus jeunes d’entre vous à jouer à cache-cache ou bien encore à partir à la chasse au trésor. Hi ! Hamtaro est en fait une compilation de 13 mini-jeux qui reprennent les personnages du dessin animé japonais éponyme. Des jeux et des exercices spécialement conçus pour stimuler la mémoire, la logique et la coordination de vos jeunes enfants (moins de dix ans obligatoire). La partie débute dans la maison du petit héros de la série. C’est ici que l’enfant va comprendre qu’il peut effectuer des nombreuses interactions avec les décors, simplement en cliquant dessus : le faire boire ou manger, lui faire faire ses besoins, le faire courir dans sa roue… Cette zone explorée, on passe au square, dans lequel on retrouve ses amis. Et ils sont nombreux ! Ils ont tous quelque chose à dire, ou une activité à proposer. On se déplace, comme dans un petit jeu d’aventure, à leur rencontre. Bijou vous proposera de tenir le stand de jus de fruit (jeu de mémorisation des commandes des clients), Tigrette vous proposera le jeu de la corde à

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Olivier B.

Le Cauchemar de Garfield, le test sur DS

Le chat le plus paresseux de la terre, j’ai nommé Garfield, est de retour sur la Nintendo DS ! Et, bonne surprise : si tous les jeux de la série édités sur la console portable de Nintendo jusqu’alors s’étaient révélés être particulièrement mauvais ou inintéressants, nous avons là, avec Le Cauchemar de Garfield, une petite perle. Chose qui n’est pas étonnante lorsque l’on sait que le développement de ce titre a été confié au studio Shin’en, déjà responsable de l’excellent shoot’em up Nanostray sur Nintendo DS. Le Cauchemar de Garfield est un jeu de plates-formes tout ce qui a de plus classique, mais parfaitement réalisé de bout en bout. Les graphismes sont colorés, cartoon et, surtout, très fins, une chose rare sur la console de Nintendo. La bande son, plutôt discrète, parvient tout de même à nous plonger dans une ambiance bon enfant. Après un repas un peu trop copieux pour notre matou (c’est-à-dire, gargantuesque), Garfield s’endort et se met à avoir des cauchemars. Des mauvais rêves dans des endroits lugubres, pleins d’araignées et de fantômes. Il faut s’en sortir ! On saute, on cours, on écrase ses ennemis de ses fesses bien dodues, on tire ou pousse des caisses…

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Olivier B.

Harry Potter et l’Ordre du Phénix, le test sur PSP

Après la performance très moyenne de Harry Potter et la Coupe de Feu sur PSP, il y a deux ans, c’est avec une certaine appréhension que l’on prend en main sa suite, Harry Potter et l’Ordre du Phénix. Harry Potter et l’Ordre du Phénix est l’adaptation directe du titre éponyme sur PlayStation 2, la réalisation technique un bon ton en dessous et avec des contenus qui se voient très largement amputés, des coupes qui influent directement sur le déroulement de l’aventure. Les séquences intermédiaires sont sabrées, certains dialogues ne sont pas doublés (on se demande pourquoi d’ailleurs) tandis que d’autres le sont… Un seul constat s’impose : les joueurs PSP ont le droit à une version au rabais. Sur le plan technique, c’est un véritable désastre. Non pas pour l’aspect graphique qui (vous en conviendrez en regardant les images) est tout à fait honnête pour un jeu portable, mais plutôt pour ce qui est de l’utilisation des caméras. Elles sont désespérément fixes. Si bien que vous pouvez très bien vous retrouver à marcher vers l’avant, subir un changement de caméra et voir tout à coup tous vos repères perturbés, c’est-à-dire ne plus savoir où vous êtes et dans quelle direction

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Olivier B.

Harry Potter et la Coupe de Feu, le test sur PSP

Harry Potter et la Coupe de Feu vous invite, fort logiquement, à revivre les moments forts du film sur votre PSP. Au programme donc : la participation d’Harry au Tournoi des Trois Sorciers, un affrontement avec le terrible Magyar à pointes, l’épreuve de nage dans les profondeurs glacées du lac et, enfin, l’exploration du labyrinthe enchanté. Mais aussi la traditionnelle découverte du petit monde de Poudlard et l’affrontement « final » contre Lord Voldemort… Tout un programme ! Tout débute à la coupe du monde de Quidditch, lorsqu’un groupe de Mangemorts, partisans de celui dont on tait le nom, dévaste tout sur leur passage. On se retrouve à contrôler l’un des trois compères (au choix), qui doivent fuir les lieux et affronter leurs premiers adversaires. C’est aussi l’occasion de lancer ses premiers sorts, dont le célèbre Wingardium Leviosaq, qui permettra à nos amis, leurs forces combinées, de soulever rocs et troncs d’arbres qui bloquent le passage. Ceci fait, on se retrouve à Poudlard, pour la rentrée scolaire annuelle. Au choix : participer à son premier cours de Défense contre les Forces du Mal, tenter les défis de Maugrey, visiter l’extérieur de l’école, explorer la forêt interdite, etc. Tous ces niveaux

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Air-Bot

Une brève histoire de la Game Boy et de l’impact qu’elle a eu sur les jeux vidéo

‍La Nintendo Game Boy est la console de jeu vidéo portable ayant la plus belle réussite de l’histoire. Elle a connu un succès massif, se vendant à quelque 118 millions d’unités en 2001. L’appareil est tellement emblématique que son nom est devenu synonyme de « console de jeu vidéo portable » pour bon nombre de familles, tout comme « Kleenex » est devenu synonyme

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La Team

Les 10 jeux les plus cher de la GameBoy (et non « le »)

La GameBoy est LA première console de jeux vidéo portable développée et fabriquée par Nintendo, a été lancée en 1989 (on ne compte pas les Game & Watch). Elle a connu un immense succès et a accueilli une grande variété de jeux. Et forcement aujourd’hui, elle fait des envieux, je vous comprends les jeunes, ça me foutrait la haine de

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La Team

Les jeux cachés des consoles Blaze Evercade VS et EXP

L’Evercade VS est une console de jeu de salon développé par Blaze Entertainment, une société spécialisée dans les consoles rétro. Sortie après le succès de l’Evercade, sa version portable, l’Evercade VS propose une expérience de jeu plus traditionnelle pour les téléviseurs. Voici quelques points clés sur l’Evercade VS : 1. Conception et matériel : Contrairement à l’Evercade portable, l’Evercade VS

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