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Olivier B.

Alone in the Dark 4, le test Game Boy Color

S’il manquait un genre à la GBC pour compléter sa panoplie de milliers de titres, c’est bien le survival horror… Ce vide est aujourd’hui comblé grâce au talent de Pocket Studios qui a réalisé un excellent jeu d’aventure avec Alone in the Dark 4, en respectant l’univers sordide imaginé par HP Lovecraft. Edward Carnby, détective privé de métier et chasseur de fantômes à ses heures perdues, reprend du service. Son meilleur ami, Charles Fiske, a été retrouvé assassiné sur la petite île de Shadow Island. Ce dernier enquêtait sur trois étranges tablettes runiques dotées de pouvoirs terrifiants. Notre héros décide de découvrir les circonstances exactes de cet homicide, au péril de sa vie. En effet, les lieux sont infestés d’hideuses créatures que vous rencontrerez aléatoirement. Quelques armes et munitions sont à découvrir au cours de votre périple, mais il n’y en a jamais assez ! Les objets qui viennent garnir votre inventaire sont indiqués par de simples points lumineux. Certains permettent de résoudre des « puzzles » pour débloquer un passage et accéder à la pièce suivante. Chaque avancée importante dans le scénario est gratifiée par de magnifiques écrans intermédiaires. Le jeu se déroule, en fait, en deux parties techniques

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Olivier B.

Lynx Othello, le test sur Lynx

Pas de grosse surprise avec Lynx Othello : il s’agit d’une reprise du classique jeu de plateau du même nom où vous devrez placer vos pions sur un grand damier, de telle sorte que ceux de la partie adverse se retrouvent cernés et de plus en plus isolés. Dans ce cas, ils changent de couleur et sont placés sous votre contrôle ! La réalisation est sans éclat. Les menus sont sobres, les graphismes peu colorés et la musique absente tout au long de la partie. Dommage… Un petit dragonnet vous accompagne dans les quatre modes de difficulté proposés. Avec un peu d’entraînement, on parvient facilement à s’adapter à la tactique du joueur géré par l’ordinateur et même à le défaire en mode Ultra-hard… Le point fort de cette cartouche réside dans son mode deux joueurs qui se décline de plusieurs manières. Classique tout d’abord : chacun à son tour sur la même portative ou par le Comlynx, ce qui nécessite deux consoles chacune équipée d’une cartouche. Encore plus fort, l’auteur a développé un nouveau système qui permet de jouer sur deux postes différents avec une cartouche « maître » et une seconde « esclave ». Explications : la cartouche maîtresse

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Olivier B.

Alien vs Predator, le test sur Lynx

Sortez vos mouchoirs : Alien vs Predator, le jeu culte de la Jaguar d’Atari, avait été adapté secrètement sur Lynx par les bons soins de Rebellion Software. Il y a six ans de cela ! Malheureusement, le développement n’est jamais arrivé à son terme pour des raisons de financement. Aujourd’hui, les programmeurs distribuent généreusement leur travail sur l’internet sous forme de fichier (par exemple, sur http://www.ataritimes.com ), afin que tout le monde puisse profiter de cette petite merveille sous émulateur. Alien vs Predator est un Doom-like des plus réussi à l’ambiance oppressante. Le joueur peut incarner, au choix, un Marine, un Alien ou un Predator. Bien entendu, le gameplay et les objectifs changent radicalement selon le personnage choisi. Le Marine dispose d’un arsenal militaire imposant. L’Alien, quant à lui, se bat à coups de griffes et de mâchoires pour protéger sa reine mère. Enfin, le Predator ne combat que pour l’honneur, à l’aide d’armes extra-terrestres. Et, comme dans le film, il peut se rendre invisible !  

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Olivier B.

Top Gear Rally, le test Game Boy Color

Top Gear Rally ne vous est peut-être pas inconnu puisqu’il a fait un passage sur Nintendo 64 il y a déjà pas mal de temps. Un jeu que tout le monde a vite oublié du fait de sa médiocrité. Aujourd’hui, son éditeur, Kemco, va tenter de retrouver son honneur avec cette adaptation sur la Game Boy Color. Malheureusement pour Top Gear Rally, l’excellent V-Rally d’Infogrames est sorti il y a quelques mois et la comparaison risque de lui être douloureuse. La présentation de Top Gear Rally est soignée, les menus sont clairs mais déjà ils font très mauvaise impression : modes Championnat, Time Attack, Deux joueurs avec en tout et pour tout six (longs) circuits et deux voitures ! L’intérêt se retrouve donc fortement diminué car la lassitude s’installe très vite chez le joueur : en Championnat, il faut bêtement rattraper dix concurrents. Pas de points à cumuler, pas d’argent à gagner et donc impossible de customiser ses voitures. Pour couronner le tout, les graphismes semblent avoir été négligés au profit de l’animation qui, et c’est un comble, n’est pas toujours au top. Le fond d’écran est hideux, les voitures pixelisent comme ce n’est pas permis. Les bruitages ? Inexistants,

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Olivier B.

Ms Pac-Man Color Edition, le test sur Game Boy Color

Namco profite de l’occasion de la sortie de la Game Boy Color pour rééditer ses hits d’antan. Pour une fois, il n’y a pas arnaque puisque dans cette cartouche intitulée Ms Pac-Man Color Edition, on re-trouve deux jeux : Ms Pac-Man et Super Pac-Man. Ce dernier est le plus intéressant, car il propose une légère variante. Il ne s’agit plus de ramasser des pastilles mais des fruits dont l’accès est obstrué par de nombreuses portes. Pour les ouvrir, quelques clés sont disséminées dans le labyrinthe. Cela rajoute donc une petite dimension stratégique car il faut toujours garder un œil sur les fantômes qui partent en chasse, tout en guettant la prochaine clé. 

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Olivier B.

Exit 2, le test sur PSP

La silhouette de l’étrange Mr ESC est de retour sur votre PSP ! La suite d’Exit nous arrive exactement un an après la sortie du titre original en Europe. Alors, quoi de neuf au programme de cette nouvelle aventure ? Des contenus supplémentaires tout d’abord. Beaucoup ! Comptez 110 nouveaux niveaux (dont 10 de didacticiel) et, selon l’éditeur, jusqu’à 400 autres en téléchargement. Les anciens niveaux ont été retouchés et améliorés. De quatre différents types de personnages à sauver, on passer à six : l’enfant, l’ado, l’adulte, le macho, le chien et l’encombrant blessé. Ne rayez pas l’intrus de la liste, il est bien présent. Ce qui ne change pas : le principe de jeu tout d’abord, mix de Prince of Persia et de Lost Vikings. Vous devez toujours vous échapper d’immeubles piégés et utilisant les objets à votre portée et les capacités spéciales de vos compagnons d’infortune. Elles sont différentes pour chacun d’entre eux. L’adulte, balèze, pourra pousser de lourdes caisses. Le macho, quant à lui, grimper aux cordes de secours (ne nous demandez pas le rapport !). Exit 2 conserve sa richesse et sa complexité de jeu de réflexion et un bon paquet d’heures vous sera nécessaire pour

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Olivier B.

Exit, le test sur PSP

Dans Exit, le but du jeu est de trouver à tout prix la sortie avant la fin du temps imparti. Votre personnage, Mr ESC, un genre de mix de Moonwalker et de Dick Tracy, devra se faufiler dans des couloirs d’immeubles semés d’embûches : incendies, portes closes, ascenseurs, etc. La représentation du tout est en 2D, avec quelques beaux effets de profondeur pour les décors. Le style graphique est particulièrement réussi, c’est d’ailleurs ce qui retient l’attention dans le premier temps. Des couleurs chaudes, parfois criardes dans un style BD électrisant… Voilà qui contraste fortement avec la représentation des personnages qui ressemblent à des ombres polygonales. Le rendu sur l’écran lumineux de la PSP est une petite réussite ! Mais revenons à nos moutons : l’objectif est donc de fuir. Echelles, cordes d’évacuation, interrupteurs… Si, dans les premiers niveaux d’entraînement, on pense que le principe de jeu va se cantonner à cela, on apprend rapidement que le gameplay recèle quelques subtilités de taille. Les PNJ (Personnages Non Joueurs) tout d’abord : eh oui, vous n’êtes pas seul ! Vous devrez aussi sauver vos compagnons d’infortune, dont les profils sont distincts. L’homme adulte, bien costaud, pourra vous aider à pousser quelques

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Olivier B.

Mission Equitation Wild Horses, le test sur DS

Les jeunes filles sont friandes de chevaux et plus particulièrement de jeux d’équitation. Et sur Nintendo DS, elles ont de quoi faire ! Entre Alexandra Lederman, Horse Life ou encore Pony Friends, on ne sait plus trop ou donner de la tête. Mindscape tente une percée dans le domaine avec Mission Equitation Wild Horses, une série qui s’est déjà fait remarquer sur PC. Alors sur console portable, ça donne quoi ? Tout débute dans la peau de Manon lors d’une rencontre avec Monsieur Germain. Ce dernier, impressionné par votre sens du contact avec les chevaux, vous invite chez lui. Vous avez calmé une jument nerveuse devant ses yeux en quelques instants et il est très impatient d’en apprendre plus sur vous ! Ni une, ni deux, vous vous rendez sur place. Mission Equitation propose un aspect aventure intéressant. Les dialogues avec les personnages rencontrés tiennent une place importante. Petit à petit, ils vous mettront sur la piste du Akhal Téké, un cheval légendaire à la robe dorée. Quelques chiffres : 25 chevaux différents à monter, 40 missions spécifiques (courses, ballades avec itinéraire défini, sauts d’obstacles, rattraper un cheval en fuite, etc.) et 5 régions du monde (Gers, Suède, Ouest Américain,

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Olivier B.

Die Maus, le test Game Boy Color

Die Maus (la souris en allemand) est un jeu de plates-formes/ réflexion qui reprend le concept de The Lost Vikings : il faut jongler avec les aptitudes des différents personnages que l’on contrôle pour sortir du niveau sans encombre, en faisant une courte-échelle par exemple. Ici, nous manions une souris et un éléphant qui partent à la recherche d’un ami canard disparu. La souris est rapide et saute très haut, tandis que l’éléphant est plutôt lourdaud mais suffisamment costaud pour déplacer des blocs de pierre, ce qui se révèle être pratique pour traverser les cours d’eau.

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Olivier B.

Reservoir Rats !, le test sur Game Boy Color

Un nouveau héro est né ! Mr Rez, un rat bien laid, a pour mission de sauver sa bien-aimée Loretta des griffes de son père qui n’est autre que le mafioso du coin. Équipé seulement d’une paire de lunettes de soleil et d’un bon gros flingue, notre ami va devoir affronter des hordes d’ennemis dotés de pouvoirs très étranges. Comme vous vous en doutez, Reservoir Rats ! est encore un jeu de plates-formes des plus classiques. Le gameplay est simple et l’objectif est de manger toute la nourriture disponible dans chaque tableau pour pouvoir passer au suivant. Mr Rez doit sauter de plate-forme en plate-forme tout en tentant d’éviter ou d’éliminer ses adversaires. Chose difficile car chaque fois que l’on en élimine un, celui-ci mute dans un oeœuf pour donner naissance à un autre monstre encore plus coriace à abattre ! Pour éviter cela, il faut se précipiter sur l’œoeuf pendant le court instant de gestation et l’éliminer. Tout ceci est encore plus compliqué par la présence d’éléments du décor hostiles à la progression de Mr Rez tels que les marteaux en chute libre ou les flaques d’huile. Le gros point fort de Reservoir Rats est de proposer un défi

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Manoloben

Les 10 Meilleurs Jeux de Société pour Enfants de Tout Âge : Découverte Ludique

Dans un monde où la technologie occupe une place prépondérante, les jeux de société pour enfants reviennent sur le devant de la scène comme une bouffée d’air frais. Non seulement ils offrent une alternative séduisante aux écrans, mais ils se révèlent être des outils pédagogiques puissants, capables de stimuler l’imagination, de développer des compétences sociales et de renforcer les liens

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Air-Bot

Une brève histoire de la Game Boy et de l’impact qu’elle a eu sur les jeux vidéo

‍La Nintendo Game Boy est la console de jeu vidéo portable ayant la plus belle réussite de l’histoire. Elle a connu un succès massif, se vendant à quelque 118 millions d’unités en 2001. L’appareil est tellement emblématique que son nom est devenu synonyme de « console de jeu vidéo portable » pour bon nombre de familles, tout comme « Kleenex » est devenu synonyme

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La Team

Les 10 jeux les plus cher de la GameBoy (et non « le »)

La GameBoy est LA première console de jeux vidéo portable développée et fabriquée par Nintendo, a été lancée en 1989 (on ne compte pas les Game & Watch). Elle a connu un immense succès et a accueilli une grande variété de jeux. Et forcement aujourd’hui, elle fait des envieux, je vous comprends les jeunes, ça me foutrait la haine de

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