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Olivier B.

BattleZone, le test sur PSP

Quelle drôle d’idée a eu Atari de remettre au goût du jour le classique BattleZone sur PSP. Un titre exclusif à la console de Sony, qui n’a plus rien à voir avec l’autre adaptation à laquelle nous avions eu le droit en 1998 sur PC (un jeu de stratégie plus que de tir) et qui avait remporté un certain succès. Ici, l’objectif est de froisser la tôle, de réduire vos adversaires en cendres, à coups de missiles et autres lasers. L’action prend place dans un futur où la technologie militaire est utilisée dans des combats d’arène ultra violents. Aux commandes d’hovertanks (sorte d’aéroglisseurs blindés), vous devrez vaincre les équipes adverses et décrocher ainsi le titre de champion. Tout cela pour dire que, de scénario, il n’y en a pas vraiment. Ni de mode Histoire d’ailleurs. Une grosse séquence vidéo vous plonge immédiatement dans l’action. C’est de jeu multi-joueurs dont il s’agit, et uniquement de cela. Dès lors, on est en droit de s’attendre à un mode de jeu ligne. Le souci, c’est qu’il n’y en a pas ! Grosse déconvenue. A la place, on vous propose du Single Player Match, du Singler Player Tournament et du multi-joueurs. Concrètement, il est

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Olivier B.

Power Quest, le test sur Game Boy Color

Power Quest est un jeu innovateur qui nous change des sempiternels jeux de plates-formes sur Game Boy. Dès le départ, deux modes de jeu s’offrent à vous : le Story Mode ou le Versus Mode, jeu de baston classique. Le premier est une tentative de mélange de deux genres, le jeu de baston et le RPG. Intéressant au premier abord… Le décor prend place au Japon. Les Tamagotchis sont morts, vive les Modèles ! Explication : la nouvelle mode qui fait fureur est les Modèles, de petits robots upgradables que l’on fait combattre entre eux. Vous entrez dans la peau d’un gosse qui s’est mis en tête de participer au prochain tournoi. Mais, pour le moment, il n’en a pas les moyens. Il va donc devoir miser sur des combats de rue pour encaisser des gains qui lui permettrons aussi de modifier son Modèle. Dans cette phase, vous prenez le contrôle de son robot, choisi parmi six disponibles et affrontez ses adversaires. Pour les dénicher, on passe en mode exploration à travers une minuscule ville. Certes, le principe est intéressant, d’autant plus que la réalisation est de bonne facture et les combats bien fluides. Mais le jeu se révèle extrêmement

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Olivier B.

Mortal Kombat 4, le test Game Boy Color

Le principal concurrent du mythique Street Fighter arrive sur Game Boy. Qu’apporte de plus cette quatrième version de Mortal Kombat ? La couleur, évidemment ! On était en droit de s’attendre à un titre de baston à la hauteur des capacités de la Game Boy Color de la part de Midway. Malheureusement, ce n’est pas du tout le cas. Le graphisme fait presque pitié, les couleurs sont mal utilisées (le rendu est terne et baveux) et l’on a du mal à discerner les différents personnages. En contrepartie, l’animation est agréable et fluide. Les personnages répondent au doigt et à l’œil et les coups s’enchaînent à un rythme endiablé, même si leur nombre reste très limité : coups de poing et de pied, coups spéciaux et fatalités qui sortent grâce à des combinaisons de touches plus ou moins complexes. La partie sonore est quant à elle assez moyenne : les bruitages sont bons mais les musiques inexistantes. En ce qui concerne l’intérêt et la durée de vie du soft, on en a vite fait le tour : une petite demi-heure de jeu finit par lasser ! Un seul et unique mode de jeu est proposé avec trois niveaux de difficulté. Le

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Olivier B.

Defender of the Crown, le test sur GBA

Voilà un titre qui aura marqué toute une génération de joueurs à sa sortie sur Amiga en 1986. Pour ceux qui ne connaissent pas, imaginez une adaptation du jeu de plateau Risk en jeu vidéo. Ajoutez lui un scénario bien ficelé (le royaume d’Angleterre éclaté en plusieurs provinces avec autant de prétendants au trône), une gestion des armées, des scènes d’action (duels à l’épée, joutes de chevaliers, assauts de châteaux à la catapulte) et, surtout, une réalisation magnifique, et vous aviez là un hit en puissance à l’époque. Cette adaptation directe sur GBA a encore gagné en beauté, puisque les graphismes ont été entièrement refaits. Le rendu final sur le petit écran de la console portable de Nintendo est des plus réussi, l’équipe de Cinemaware a réalisé un bon travail, tout comme avec leur autre remake sur GBA, Wings. Ce jeu de stratégie au tour par tour vous propose donc d’entrer dans la peau de l’un des seigneurs qui se disputent le trône pour réunifier le royaume, parmi un choix de quatre possibles. Vos performances, si elles sont positives dans les différentes épreuves évoquées, augmenteront votre popularité. Les taxes collectées (proportionnelles au nombre de territoires conquis) vous permettront de grossir

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Olivier B.

Silent Hill Origins, le test sur PSP

Ce nouvel épisode de la série Silent Hill est à marquer d’une pierre blanche : c’est le premier à avoir été développé par une équipe occidentale ! Konami a cédé les rênes au studio anglais de Climax. Et grand bien leur a fait, puisqu’ils nous livrent là un jeu bourré de qualités, emprunt d’un certain classicisme toutefois : sans doute que le cahier des charges de Konami était très restrictif. Silent Hill Origins débute avec Tarvis O’Grady, un routier qui sauve la vie d’une jeune fille d’un incendie. Il la transporte dans un hôpital un peu perdu. Et voilà que notre homme se retrouve piège dans cette satanée ville… Les lieux sont abandonnés, et il n’arrive plus à retrouver cette jeune fille. Jusqu’au moment où il tombe sur des infirmières d’un certain genre… La suite, vous la connaissez si vous avez déjà joué à Silent Hill. Vous devrez vous saisir de tout ce qui vous passe par la main pour fracasser le crâne de ces horribles créatures, sans oublier de les achever au sol (sinon elles se relèvent sans fin). Vous arriverez rapidement dans la chambre qui était censée accueillir la rescapée et vous découvrirez que le miroir central est

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Manoloben

Les 10 Meilleurs Jeux de Société pour Enfants de Tout Âge : Découverte Ludique

Dans un monde où la technologie occupe une place prépondérante, les jeux de société pour enfants reviennent sur le devant de la scène comme une bouffée d’air frais. Non seulement ils offrent une alternative séduisante aux écrans, mais ils se révèlent être des outils pédagogiques puissants, capables de stimuler l’imagination, de développer des compétences sociales et de renforcer les liens

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Air-Bot

Une brève histoire de la Game Boy et de l’impact qu’elle a eu sur les jeux vidéo

‍La Nintendo Game Boy est la console de jeu vidéo portable ayant la plus belle réussite de l’histoire. Elle a connu un succès massif, se vendant à quelque 118 millions d’unités en 2001. L’appareil est tellement emblématique que son nom est devenu synonyme de « console de jeu vidéo portable » pour bon nombre de familles, tout comme « Kleenex » est devenu synonyme

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La Team

Les 10 jeux les plus cher de la GameBoy (et non « le »)

La GameBoy est LA première console de jeux vidéo portable développée et fabriquée par Nintendo, a été lancée en 1989 (on ne compte pas les Game & Watch). Elle a connu un immense succès et a accueilli une grande variété de jeux. Et forcement aujourd’hui, elle fait des envieux, je vous comprends les jeunes, ça me foutrait la haine de

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