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Olivier B.

Test Drive Off Road 3, le test sur Game Boy Color

Bouclez votre ceinture, conseil d’ami ! Car les pistes de Test Drive Off-road 3 sont accidentées, c’est le moins que l’on puisse dire. Ici, pas de Porsche ou de Ferrari, mais des courses de bonnes vieilles 4×4 et Jeep américaines aux amortisseurs conséquents. Ce jeu tranche radicalement avec ses cousins sur Game Boy. Les courses sont musclées, rythmées et les tracés très courts. On se situe, en fait, sur de petites pistes en boucle créées spécialement pour ce sport spectaculaire. C’est idéal pour mémoriser le meilleur tracé et réaliser des temps records. Les modes de jeu proposés ne sont pas extraordinaires mais championnat a le mérite de vous proposer six coupes à la difficulté progressive. A chaque victoire, une certaine somme vous est attribuée ainsi qu’un power up. Les dollars vous serviront ultérieurement à acquérir un nouveau véhicule plus performant. Le power up sert immédiatement à la fin de la course. Comme dans un RPG, il s’agit d’un point d’expérience que l’on attribue à son véhicule afin d’améliorer ses performances (vitesse de pointe, accélération, etc.).  

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Olivier B.

Marble Madness, le test sur Game Boy Color

Marble Madness est un très grand hit d’arcade qui doit son succès à un concept original et accrocheur : il s’agit de diriger une bille dans un labyrinthe 3D complexe jusqu’au point d’arrivée dans les temps impartis. Les parcours sont de plus en plus difficiles, les dénivelés plus importants au fil des niveaux. De plus, les passages se font plus étroits et de nombreux nouveaux obstacles se dressent contre votre progression : billes concurrentes, vers gloutons, etc. Les six niveaux proposés sont grands mais aucune solution de sauvegarde ou de password n’est proposée. Durant la partie, les vies sont infinies et la bille se matérialise sur le lieu même de destruction. Mais lorsque le temps est écoulé, la partie est finie et il faut recommencer à zéro ! Autant dire qu’il faut avoir les nerfs solides, surtout que la maniabilité est très approximative et que la bille part souvent dans une direction contraire à celle voulue. Les collisions sont assez mal gérées et il arrive même que l’animation devienne saccadée lorsque l’écran est trop chargé. Vous l’aurez compris, la réalisation est le talon d’Achille de Marble Madness. Jusqu’aux couleurs choisies qui sont trop ternes !

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Olivier B.

Astérix et d’Obélix, le test sur Game Boy Color

Il aurait été étonnant de ne pas voir débarquer un jeu basé sur l’univers d’Astérix et d’Obélix juste après l’immense succès qu’a remporté l’adaptation cinématographique de la célèbre bande dessinée en France. Comme à leur habitude, nos amis gaulois vont devoir casser du Romain à tout va. Le jeu reprend en partie la trame du Tour de Gaule d’Astérix : César a construit une palissade autour du village pour retenir ses habitants prisonniers. Les Gaulois vont parier qu’ils réussiront à traverser l’Empire romain en ramenant un cadeau de chaque pays. Les paysages parcourus seront donc très variés. L’aventure est divisée en plusieurs actes dont les objectifs sont assez originaux. Par exemple, tout commence en Angleterre où il faut libérer une équipe de rugby emprisonnée par César puis participer à un match. La réalisation est tout à fait correcte et les sprites superbement dessinés. On reconnaît aisément tous les personnages de la série ainsi que leurs mimiques. Les Romains se mettent en travers de votre chemin mais l’on retrouve aussi pas mal d’autres personnages de la série. Pour vous faciliter la tâche, de très nombreux bonus sont dispersés aux quatre coins des niveaux : une cuisse de sanglier par-ci, une rasade

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Olivier B.

Taito Legends Power Up, le test sur PSP

Voici une nouvelle compilation rétro PSP pleine de promesses. Et, cette fois, c’est Taito qui nous vide ses vieux fonds de tiroirs ! Taito Legends Power Up nous propose pas moins de 21 titres qui retracent 10 ans d’arcade. Le jeu le plus ancien est, bien évidement, Space Invaders (1978) tandis que le plus récent est le moins connu Tube It (1993). Voilà qui ne nous rajeuni pas… Justement, rares sont les jeux de cette compilation qui ont su garder leur saveur d’antan. Voici la liste complète des titres proposés : Space Invaders (1978), Phoenix (1980), Space Invaders Part 2 (1980), Colony 7 (1981), Electric Yoyo (1982), Jungle Hunt (1982), Zoo Keeper (1982), Elevator Action (1983), Great Swordsman (1984), Return of the Invaders (1985), Bubble Bobble (1986), Gladiator (1986), Tokio (1986), Exzisus (1987), Plump Pop (1987), Operation Wolf (1987), Rainbow Islands (1987), Rastan (1987), Super Qix (1987), The New Zealand Story (1988), Operation Thunderbolt (1988), Battle Shark (1989), Continental Circus (1989), Plotting (1989), Volfied (1989), Ninja Kids (1990), Space Gun (1990), Thunderfox (1990) Tube It (1993). Niveau habillage, c’est le minimum syndical pour cette compilation. Quatre modes de vue sont proposés (original, zoom, plein écran ou vertical) et quatre titres

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Olivier B.

Biomotor Unitron, le test NeoGeo Pocket Color

Biomotor Unitron apporte un grand bol d’air dans la logithèque de la Neo Geo Pocket Color puisqu’il s’agit de son premier RPG. Réalisé par Yumekobo, une petite compagnie japonaise inconnue au bataillon, on pouvait s’attendre au pire. Qu’en est-il donc réellement ? Une énorme météorite entre en collision avec la planète Elscea. Après quelques recherches, les habitants découvrent un métal jusqu’alors inconnu, aux propriétés extraordinaires, qui va leur permettre de construire toutes sortes de machines. L’action prend place à l’occasion d’un tournoi mettant en lice des Unitrons, sorte de Mechas qu’il est possible de modifier et améliorer à volonté. Il n’y a donc pas de véritable scénario proprement dit : pas de princesse à sauver, pas de quêtes à remplir… L’objectif principal est d’upgrader son Unitron afin de devenir tout simplement le meilleur et remporter le tournoi. Pour cela, il n’y a qu’un seul moyen : gagner de l’argent ! Il va donc vous falloir explorer les environs de la ville à la recherche de brouzoufs. Notre héros a de la chance puisque quatre gigantesques donjons remplis de trésors se situent aux portes de la ville. Il ne reste plus qu’à partir en exploration. Prévoyez toutefois du matériel de soin

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Olivier B.

Bomberman Quest, le test Game Boy Color

Lorsque Bomberman se marie avec Zelda, cela donne l’excellent Bomberman Quest ! C’est donc à un jeu d’action, saupoudré de quelques éléments de RPG, que nous avons affaire. Le vaisseau spatial de Bomberman, chargé de créatures maléfiques capturées, est attaqué par quatre mystérieuses lueurs vertes. Il est abattu et se crashe sur une planète voisine, libérant ainsi les prisonniers qui répandent la terreur chez les autochtones. Bomberman va devoir réparer cette catastrophe, tout en sachant qu’il y aura une multitude de quêtes secondaires à remplir afin de progresser dans l’histoire… La vue choisie est, sans surprise, celle de Zelda. La réalisation est agréable, les graphismes colorés et les musiques typiquement japonaises. Même la version monochrome est une réussite. L’arme principale de Bomberman est une… bombe que l’on peut customiser à loisir en trouvant divers composants et bonus, qui modifient la puissance et la portée de cette artillerie redoutable. On ça aussi comme Bomberman :

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Air-Bot

Une brève histoire de la Game Boy et de l’impact qu’elle a eu sur les jeux vidéo

‍La Nintendo Game Boy est la console de jeu vidéo portable ayant la plus belle réussite de l’histoire. Elle a connu un succès massif, se vendant à quelque 118 millions d’unités en 2001. L’appareil est tellement emblématique que son nom est devenu synonyme de « console de jeu vidéo portable » pour bon nombre de familles, tout comme « Kleenex » est devenu synonyme

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La Team

Les 10 jeux les plus cher de la GameBoy (et non « le »)

La GameBoy est LA première console de jeux vidéo portable développée et fabriquée par Nintendo, a été lancée en 1989 (on ne compte pas les Game & Watch). Elle a connu un immense succès et a accueilli une grande variété de jeux. Et forcement aujourd’hui, elle fait des envieux, je vous comprends les jeunes, ça me foutrait la haine de

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La Team

Les jeux cachés des consoles Blaze Evercade VS et EXP

L’Evercade VS est une console de jeu de salon développé par Blaze Entertainment, une société spécialisée dans les consoles rétro. Sortie après le succès de l’Evercade, sa version portable, l’Evercade VS propose une expérience de jeu plus traditionnelle pour les téléviseurs. Voici quelques points clés sur l’Evercade VS : 1. Conception et matériel : Contrairement à l’Evercade portable, l’Evercade VS

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