Omega Labyrinth Life, le test sur Switch
La série Omega Labyrinth s’est surtout fait connaître en Occident grâce à la pudibonderie subite de Sony qui a refusé à Pqube l’édition européenne de Omega Labyrinth Z sur PS Vita. Il n’en fallait pas moins pour qu’on s’intéresse à sa suite étonnamment publiée – sans problème – sur Nintendo Switch. « L’aspect graphique de Omega Labyrinth Life est assez simpliste […] Les représentations des personnages féminins en 2D sont par contre très réussies » Kuk Omega Labyrinth Life est un jeu de rôle japonais où plusieurs personnages féminins devront explorer des donjons infestés de monstre situés sous leur école. Vous pourrez partir avec une ou deux des sept protagonistes disponibles dans le dédale de labyrinthes générés aléatoirement. La particularité du titre vient de ce qu’aucune progression d’expérience n’est conservée en dehors d’un donjon. L’autre particularité, grivoise celle-là, est qu’a certains paliers d’évolution de votre personnage, il augmente aussi de taille de… poitrine ! Soit quatre modifications de bonnet… À chaque exploration, vous commencez donc au niveau UN… En revanche, si vous finissez en vie, vous pouvez conserver l’argent ainsi que les objets et armes ramassés au cours de la partie. Bonnet M L’aspect graphique de Omega Labyrinth Life est assez simpliste, avec une 3D agrémentée de