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Olivier B.

Monopoly, le test sur Game Boy Color

Hasbro Interactive poursuit sa politique d’adaptation de grands classiques et de titres familiaux. Dernier jeu en date sur Game Boy Color, le Monopoly ! Hasbro voudrait bien rééditer le fantastique succès du célèbre jeu de société mais qu’en est-il de l’intérêt du jeu devant son petit écran ? Pas de doute, l’adaptation est très fidèle et les règles du jeu sont respectées. Au départ, il faut choisir le nombre de joueurs (de 1 à 4) puis son pion favori (parmi huit modèles) et enfin son portrait : la partie peut débuter. L’aspect technique du jeu est loin d’être bâclé : les graphismes sont respectables, la jouabilité enfantine et les bruitages agréables. Pourtant, le plaisir de jeu est de courte durée, surtout en solo. On n’a pas tout le temps deux ou trois amis équipés de ce qu’il faut pour jouer en link. Le Monopoly est génial, mais dans sa version carton !

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Olivier B.

Uno (US), le test sur GBC

Adaptation console d’un classique, Uno se déroule au tour par tour. Chaque joueur doit déposer une carte de la même couleur ou du même chiffre que celle précédemment posée. Le cas échéant, il tire une carte supplémentaire et perd un tour, la partie arrivant à son terme lorsqu’un joueur s’est débarrassé de toutes ses cartes. Vous avez le choix entre être confronté à trois adversaires contrôlés par la console ou bien d’affronter un adversaire humain par le cable link. L’interface de jeu est superbe, il n’y a rien à redire là-dessus. Les graphismes sont colorés, les musiques gaies et les animations intermédiaires rigolotes. Pourtant, on se demande encore pourquoi avoir développé ce titre : toute la partie, ou presque, est régie par le hasard et ce n’est qu’avec des amis que l’on s’amuse réellement. Autant acheter de vraies cartes !

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Olivier B.

Fort Boyard, le test sur Gameboy Color

Le père Fourras, un jour, dans un jeu vidéo… Qui l’eu cru ? L’esprit de l’émission télévisée est fidèlement reproduit. On retrouve dans la cartouche une trentaine d’épreuves au cœur du célèbre fort. Quatre candidats sont sélectionnables. Leur apparence change, mais leurs caractéristiques sont identiques. Vous les contrôlez à tour de rôle : lorsque l’un d’entre eux voit sa barre d’énergie se vider (au contact de bestioles ou lors de chutes), il est fait prisonnier. Un autre joueur le remplace alors. Des niveaux intermédiaires sont disponibles pour tenter de libérer le ou les captifs. Les candidats se déplacent un peu comme dans Prince of Persia ou Flashback. Ils peuvent courir, ramper, s’accrocher aux rebords des parois… Tout cela serait intéressant si la jouabilité n’était pas aussi problématique : elle n’est pas précise et la collision des sprites s’avère douteuse. Dommage, car les graphismes sont colorés et agréablement fournis en détails. Quant aux musiques, comme souvent sur GBC, elles finissent par lasser. Il vaut mieux les couper. Trois modes de jeu sont proposés. Ils déterminent, en fait, la difficulté et le nombre de clés à ramener. Il n’y a pas de sauvegarde et vous serez contraints de noter une foule de

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Olivier B.

Magical Tetris Challenge, le test sur Game Boy Color

On pourrait croire que des dizaines de versions de Tetris sont sorties depuis la version originale. Toujours copié, jamais égalé ! Sur le papier, Magical Tetris Challenge, dernière mouture en date, est plus qu’originale puisqu’elle met en scène le roi de la baston, Capcom, et une souris mondialement connue, prénommée Mickey… Un mariage impossible ? Pas tant que ça puisque cette nouvelle mouture se révèle être aussi bonne qu’un Tetris DX. Ce n’est pas moins de sept modes de jeu qui sont proposés, chacun disposant d’une variante plus ou moins appréciable tout en conservant le gameplay originel ! Signal, par exemple, nécessite d’empiler les formes dans un ordre précis afin de former des lignes de couleur. Dans Target, des objets encombrants apparaissent à l’écran, il faut les éliminer avec un certain nombre de blocs. En plus de tout cela, un ultime mode Quest est également accessible où l’on affronte de nombreux personnages tirés de l’univers de Walt Disney afin de leur soutirer quelques monnaies sonnantes et trébuchantes. Mais il ne faut pas rêver, s’il s’agit bien d’une partie d’aventure, le côté RPG reste embryonnaire. Quel que soit le personnage sélectionné, l’histoire reste identique et l’action devient rapidement répétitive. Dans l’ensemble,

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Wendy Every Witch Way, le test GBC

L’adorable apprentie sorcière vient de commettre une énorme bêtise : en libérant les pierres de Lune soigneusement scellées dans un coffre, l’équilibre du monde a été rompu. Et c’est le cas de le dire : les lois de la gravité ont été bouleversées, tout est sans dessus dessous. La principale originalité de ce jeu de plates-formes réside dans la possibilité de marcher la tête à l’envers, sur les plafonds ! On est un peu dérouté au départ, mais le plaisir de jeu s’en retrouve décuplé. Les bonus et autres niveaux secrets (quatre en tout, à parcourir à dos de balais volant !) sont légion et il est impératif de fouiller les quatre mondes proposés de fond en comble. Wendy parcourira le hall du château, le jardin, les donjons et les tours d’un château, pour enfin affronter le boss final (le seul du jeu, d’ailleurs !) et lui reprendre les pierres. Chaque lieu est divisé en seulement trois niveaux, que l’on termine assez rapidement. À noter que si l’on joue sur GBA, trois niveaux supplémentaires sont débloqués ! Les parcours sont tortueux et complexes. Il faut en effet réfléchir constamment pour ne pas mourir sous les crocs de la vingtaine d’ennemis

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Olivier B.

Defender, le test sur GBA

Le jeu de tir culte des salles d’arcade revient sur nos chères consoles. Pour le pire et… pour le pire ! N’y allons pas par quatre chemins et ne perdons pas notre temps : Defender sur GBA est une bouse infâme, comme on n’avait pas osé nous en livrer depuis longtemps. On se croirait face à un mauvais jeu Game Boy Color, ni plus, ni moins ! Petit rappel pour ceux qui ne connaissent pas Defender : dernier rempart de l’humanité face à un envahisseur alien, vous devez combattre des hordes de vaisseaux dans un jeu de tir au scrolling horizontal. Petite difficulté supplémentaire : les aliens tentent de kidnapper les humains qui se trouvent au sol, tels des lemmings désorientés. Pour les sauver : shootez tout ce qui bouge et attrapez en vol les hommes dans leur chute, avant qu’ils ne finissent en crêpes. Un concept basique, mais terriblement accrocheur à l’époque. Cette version mise à jour propose cinq vaisseaux aux caractéristiques différentes et dix huit niveaux… tous plus abominables les uns que les autres. C’est laid, les sprites s’incrustent mal dans les décors. Pis, le gameplay (pourtant très basique en théorie) est complètement raté. Par exemple, un vaisseau

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Olivier B.

F-Zero : Maximum Velocity, le test sur GameBoy Advance

Les bons jeux de course futuristes ont toujours manqué sur portatives, principalement pour des limitations techniques. F-Zero arrive donc à point nommé pour combler ce grand vide. Cette conversion est très fidèle à la version Super Nintendo d’un point de vue graphique, mais il s’agit bel et bien d’un nouvel épisode. Pour tous ceux qui ne connaîtraient pas ce hit made in Nintendo, il s’agit d’un clone du jeu de courses WipeOut, son ancêtre même pour être plus précis, mettant en scène des bolides futuristes en lévitation à quelques centimètres du sol. Mais contrairement à WipeOut, Nintendo n’a jamais inclus d’armes ni de bonus extravagants. Pour atteindre les 500 km/h de pointe, il est indispensable d’utiliser à bon escient les rampes de saut et les zones de boost apposées au sol. Le niveau de jeu est élevé, finir une course sans faire exploser son véhicule relève de l’exploit. Les collisions sont nombreuses lors des premières parties, ce qui pourra en décourager plus d’un. Mais une fois le jeu maîtrisé, on se surprend à prendre des tracés d’une précision redoutable. Les musiques collent parfaitement à l’action (même si l’on regrette un peu celles de la version originale) et l’animation est impressionnante.

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Olivier B.

Snoopy Tennis, le test sur Game Boy Color

Voilà un jeu de tennis fort sympathique ! Avec Snoopy en guest-star, il ne fallait pas s’attendre à une simulation pure et dure, mais plutôt un concurrent direct de Mario Tennis. Snoopy Tennis reprend donc scrupuleusement l’univers de la bande dessinée du même nom, les personnages (Snoopy, Charlie Brown, Lucie, Linus…) et les lieux communs. Quatre modes de jeux sont proposés, cela va du très classique championnat, au mode Squash, bien plus original. Dans ce dernier, le court de tennis est cerné latéralement par d’épais murs. Conséquence inévitable, la balle ne peut sortir et il faut alors anticiper au mieux ses rebonds ! Dans un autre mode, il suffit de collecter quelques bonus bien sentis pour accélérer son jeu et mettre la pâtée à l’adversaire. Si vous êtes assez doué dans le mode Championnat, quatre personnages supplémentaires viendront grossir vos rangs (soit 12 en tout), ainsi qu’un nombre appréciable de nouveaux décors (9 au total). D’un point de vue technique, il n’y a rien à redire. Les graphismes sont fins et attachants (surtout l’animation des personnages !). Les sons sont corrects et les thèmes musicaux se font très discrets. Idéal pour se concentrer sur l’action, d’autant plus que la prise

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Olivier B.

La Mission des Schtroumpfs, le test sur GBC

Les Schtroumpfs sont de retour avec de nouvelles aventures. Cette fois-ci, exit Gargamel et son acolyte Azraël, les petits bipèdes bleus ont désormais d’autres chats (!) à fouetter. Un mal étrange vient de s’abattre sur la population, la peau des habitants vire à l’orange ! Il incombe au Schtroumpf bricoleur de construire une machine pour guérir tout le monde. Pour cela, les membres de la communauté doivent, tout d’abord, trouver tous les composants nécessaires. Chaque épreuve vous permettra de sauver un Schtroumpfeur en danger. Ils sont au nombre de 25. Chaque victoire vous octroie une petite vignette à collectionner et à échanger. Les Pokémons sont passés par là… Les niveaux sont plutôt courts et simplistes : les Schtroumpfs marin et spéléologue doivent, par exemple, retrouver respectivement un coffre plein de clous et un rocher en fer. Ces recherches se présentent sous la forme de petits jeux de plates-formes. Rien de bien excitant à vrai dire car l’action est assez répétitive à la longue et seuls les jeunes joueurs y trouveront leur compte. Un seul bouton est utilisé, il sert à sauter et à écraser ses adversaires. La réalisation graphique détaillée et colorée vient un peu relever la sauce. C’était le

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Yu Gi Oh ! 5Ds Stardust Accelerator – World Championship 2009
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Yu Gi Oh ! 5Ds Stardust Accelerator – World Championship 2009, le test sur DS

Yu Gi Oh ! World Championship 2007… 2008… En 2004 déjà, nous testions un épisode GBA. En 2009, la célèbre licence manga passé à la « cinquième dimension » sur Nintendo DS. Le titre, qui s’inspire de la série animée 5D’s diffusée depuis le début de l’année 2008 au Japon, passe à la 3D. Oui, il faut suivre ! Le résultat graphique est plutôt mitigé, pour cette fameuse partie 3D. C’est un peu brouillon. Le titre se rattrape côté artworks et, surtout, avec son mode solo au scénario développé (une nouveauté, un peu courte cependant). Le mode Histoire devient de fait l’une des parties les plus intéressantes de la cartouche. Il vous propose d’incarner un Duelliste, accessoirement héros amnésique, dont l’aventure commence dans Satellite, les bas-fonds de New Domino City. Pour y progresser, vous devez combattre en duel (quelle surprise !) contre différents adversaires, par votre deck de cartes, ou bien en séquences de courses moto. Vous pouvez donc vous rassurez, les duels de cartes sont toujours bel et bien présents. Entre les diverses discussions entre héros et PNJ (personnages non joueurs), on « customise » sa moto dans les moindres détails (châssis, etc.). Côté cartes, leur nombre est très

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Top 10 PS Vita
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La Team

Les 10 meilleurs jeux PS Vita

La PlayStation Vita, avec son écran lumineux et sa portabilité, a offert une expérience de jeu exceptionnelle pour les joueurs en déplacement. Voici une sélection des 10 jeux qui ont brillé sur cette console portable emblématique. Et comme on ne fait rien comme tout le monde, on propose aussi des expériences de jeux par rédacteurs dans le slideshow suivant :

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¶Dossier
La Team

Top 10 des jeux les plus cher de notre PlayStation PAL adorée

Je me réveille un jeudi matin, et je me dis comme ça, juste après le quadruple café « quels sont les jeux PlayStation européens les plus chers ». Je me doutais bien de trouver dans la liste du Megaman, du Castlevania, Suikoden aussi. Mais ce que j’ai pu voir de mes yeux, preuves à l’appui m’a laissé sans voix. Le Retrogaming devient

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¶Dossier
La Team

TOP 10 des jeux de société/jeux de plateau les plus valorisés (les plus chers)

Jeux de collection contre KS post-campagne, ou « comment j’ai fait fortune avec une vieille boite de Monopoly«  La tendance à « tout collectionner » ? vous connaissez ? cette peur de louper le bon jeu et de ne plus jamais pouvoir le racheter. Mais si, ce Kickstarter fantastique livré dans un demi-container assorti de plateaux « triple layers » et de 5kg de figurines

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